Le sonar qui permet aux cétacés libres de percevoir l'environnement marin riche et changeant avec une acuité extraordinaire, est en décalage complet avec l'univers morne d'un bassin à la surface lisse qui ne fait que réverbérer leur propre image visuelle et auditive. Il devient alors source d'un stress supplémentaire qui exacerbe l'ennui et la depression.
\r\nEn construisant le Tilikum Tank, en hommage à Tilikum, l'orque que la captivité a transformé en tueur psychotique, sujet principal du film documentaire Blackfish, Sea Shepherd a voulu que les gens touchent du doigt la réalité de ce qu'est la captivité pour ces animaux.
\r\nLe sol et les murs sont tapissés de miroirs car tout ce qu'ils perçoivent sous l'eau de leur environnement carcéral, c’est le reflet de leur propre image et l’écho constant de leurs propres voix, superposées à une musique de spectacle diffusée à plein volume.
\r\nLe public est invité à y passer quelques minutes pour se rendre compte... Pamela Anderson qui a inauguré le Tilikum Tank à Cannes en Mai 2016 dira au sujet de l'expérience : \"Je n'ai même pas réussi à y rester pendant les trois minutes requises et, lorsque j'en suis ressortie, j'avais envie de mordre quelqu'un. Je ne peux imaginer l'enfer que ça doit être de passer toute sa vie dans des conditions pareilles\"
\r\nLe problème éthique :
\r\nEnfermer à vie ceux que l'on aime, en disposer à volonté et contre leur gré : est ce cela le message que l'on veut transmettre à nos enfants ?\r\n
Lamya Essemlali -Présidente Sea Shepherd France
Finalement, imposer des conditions de vie contre nature à des êtres intelligents, sensibles et conscients dans l'unique but de proposer au public des spectacles payants ne devrait pas être présenté aux enfants comme une démarche morale et éthique acceptable. Les animaux deviennent des biens de consommation, objets de divertissement à l'instar d'une sortie au cinéma ou d'un jeu vidéo. Il n'est fait aucun cas du fait que ces animaux n'ont pas choisi d'être là et qu'une fois le spectacle terminé, le public rentre chez lui mais les animaux eux, restent où ils sont, voir sont déplacés dans des bassins encore plus petits. Le respect et l'empathie sont des notions essentielles à transmettre aux jeunes générations, ces spectacles sont aux antipodes de ces valeurs.
\r\nL'argument fallacieux de la conservation des espèces :
\r\nLe Marineland d'Antibes ainsi que d'autres delphinariums prétendent que la captivité présente un intérêt de conservation des espèces menacées dans leur milieu naturel. Or, les espèces que l'on retrouve le plus en captivité ne sont pas celles dont les populations sauvages sont les plus en danger, loin de là. Les critères de sélection des espèces candidates à la captivité sont surtout liés à leur résistance au stress du confinement et à leur coopération dans le dressage visant à assurer les spectacles vendus au public. Ainsi, les dauphins Tursiops (Alias Flipper le dauphin) ne sont pas considérés en danger par la CITES (LC : préoccupation mineure). C'est pourtant le dauphin que l'on retrouve le plus en captivité car il est particulièrement sociable et résiste un peu plus longtemps au confinement.
\r\nPar ailleurs, le Marineland n'a aucun programme ni vision, à moyen ou à long terme d'une quelconque remise en liberté des cétacés maintenus captifs à de prétendues fins de conservation. Tous les programmes de conservation authentiques, ont pour but final de renforcer des populations mises à mal dans leur milieu naturel. Dans le cas présent, la seule porte de sortie pour les orques et les dauphins captifs, c'est la mort (ou éventuellement le transfert vers un autre delphinarium).
\r\nOn peut aussi s'interroger sur le bien fondé qu'il peut y avoir pour l'espèce en matière de conservation, à maintenir certains de ses représentants dans des conditions où tous les instincts naturels qui ont permis à l'espèce de survivre jusqu'ici sont muselés (la chasse, la sociabilisation choisie, la migration, l'exploration...).
\r\nL'argument fallacieux de la pédagogie, à la limite de la publicité mensongère :
\r\nDe nombreux enfants de 10 ans savent tout des dinosaures, ils n'en n'ont pourtant jamais vu. Ils ont tout appris dans les livres et dans les reportages\r\n
Capitaine Paul Watson - Fondateur de Sea Shepherd
Les delphinariums prétendent avoir des vertus éducatives mais les animaux sont dressés pour effectuer des numéros stéréotypés qui n'ont rien à voir avec leurs instincts et leurs besoins naturels. Si le public revenait d'une visite au Marineland en connaissant un tant soit peu les orques et les dauphins, l'abbération qui consiste à les maintenir captifs leur sauterait littéralement aux yeux. Or il n'en n'est rien. Si certains visiteurs ne sont pas dupes des apparences et repartent avec un arrière goût amer, beaucoup sont persuadés d'avoir vu des animaux heureux de passer leur existence dans cet espace confiné et de s'offrir en spectacle jour après jour... Ils ne le savent pas mais ils sont passés à côté de la rencontre avec ses animaux extraordinaires et en payant leur entrée pour voir le spectacle, ils ont ajouté un verrou supplémentaire à leur cachot .
\r\nUn parc construit en zone innondable :
\r\nLes innondations d'octobre 2015 ont été catastrophiques pour les animaux du parc. La zone sur laquelle le Marineland a été construit a été classé en zone inondable en 2010. Dérèglement climatique aidant, les risques accrus pour les animaux sont de plus en plus préoccupants. Lors de la dernière innondation, les installations du Marineland ont été endommagées à 90%, les animaux de ferme, des raies, des tortues sont morts noyés et l'orque Valentin est décédée une semaine après le désastre alors que le bassin avait été souillé de manière dramatique (présence notamment d'hydrocarbures dans le bassin). Le Parc avait été complètement dépassé par la violence des innondations et s'était avéré dans l'incapacité de gérer une telle catastophe. C'est pour le moins inquiétant dans le sens où une épée de Damoclès climatique planne désormais sur les animaux.
\r\nLes alternatives pour le Marineland et pour le public :
\r\nL'argument de l'emploi est souvent et logiquement mis en avant pour justifier le maintien en activité du Marineland. Mais si l'argument économique peut se comprendre, un monde où il permet de passer outre l'éthique et la morale ne laisse rien présager de bon. De nombreux exemples dans l'histoire de l'humanité sont là pour en attester. Le Marineland n'est pas obligé de disparaitre, en revanche, il doit évoluer et amorcer dès que possible sa reconversion vers un lieu attractif sans cirque animalier et sans dauphins captifs. Le Parc a tout à gagner à se montrer visionnaire et à anticiper dès aujourd'hui son évolution. Il peut très bien développer les autres secteurs qu'il a mis en place, lancer de vrais programmes pédagogiques et de découverte et pourquoi pas organiser des expéditions en méditerrannée pour permettre au public de rencontrer les dauphins libres dans des conditions d'approche respectueuses. Des rencontres mutuellement consenties... pour changer !
\r\nIl reste aujourd'hui 4 orques captives à Antibes.
\r\nToutes sont nées en captivité, il n'en demeure pas moins que les instincts naturels de ces animaux sont inscrits dans leurs gènes, leurs aptitudes physiologiques et leur sonar restent effectifs et ont évolué pendant des millions d'années pour leur premettre de survivre et de s'épanouir en mer. Une phase d'apprentissage et d'adaptation sera évidemment indispensable mais l'argument selon lequel un animal maintenu captif dans des conditions contre nature, devrait le rester toute sa vie au prétexte qu'il n' a connu que ça, n' a pas plus de sens que d'affirmer qu'un homme né esclave devrait le rester sous prétexte qu'il n' a jamais connu la liberté.
\r\nCe que nous demandons au Marineland d'Antibes :
\r\nSea Shepherd étudie avec des scientifiques, des cétologues et des éthologues les possibilités d'offrir une alternative à la captivité pour les orques et les dauphins captifs - à commencer par ceux du Marineland. Des programmes de réhabilitation dans des baies fermées dans lesquelles les animaux pourraient progressivement renouer avec leurs instincts naturels et apprendre ou ré -apprendre à chasser et à évoluer dans leur milieu d'origine sont à l'étude. Plusieurs lieux pouvant être dédiés à cette étape cruciale sont pressentis et si un travail important et une grosse levée de fonds seront nécessaires pour faire de ce projet une réalité, la contribution effective et la bonne volonté du Marineland pourraient permettre de gagner de précieuses années. Le Parc leur doit bien ça et nous sommes prêts à l'aider dans ce sens.
\r\nTant que la Direction du groupe Parques Reunidos, propriétaire du Marineland, ne s'engagera clairement vers un programme de réhabilitation en milieu naturel des orques et dauphins qu'elle maintient captifs, nous invitons les citoyens conscients et convaincus par cette campagne à boycotter le Parc.
\r\n\r\nMarineland of Antibes is a French theme park founded in 1970 by Roland de la Poype in Antibes, in the Alpes-Maritimes region on the French Riviera. Covering 26 hectares, it includes a marine mammal park with a oceanarium, a water park (Aquasplash), an activity park for children (Kid’s Island), a mini-golf course (Adventure Golf) and a three-star hotel (Marineland Resort).
\r\nToday, it is the property of the Spanish multinational Parques Reunidos, whose main shareholder is the British investment fund Arle Capital Partners. Its current director is Arnaud Palu. In 2014, its turnover came to €37.3 million euros, with net income of €5.5 million.
\r\nCaptivity kills: the figures.
\r\nOceanariums claim that keeping marine mammals captive safeguards them against the many dangers of the ocean. According to this argument, depriving a being of freedom and keeping it in a confined space is doing it a favour. But who would want to live in a jail cell just to avoid the potential risks of the outside world?
\r\nAnd above all, this argument does not hold once we analyse the figures.
\r\nThe National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), which reports to the US State Department, estimates the life expectancy of female orcas living in the wild at between 50 and 60 years, and cetacean researchers have determined that the average life expectancy of orcas in the wild is 30 years for males, and 50 for females. The oldest known wild orca, which lives off the coast of British Columbia and has been named Granny, is now 103 years old. In contrast, at Marineland of Antibes, the average life expectancy of an orca is 18 years (as low as 12 years if stillbirths are counted). The oldest orca they have had, Freya, died of a heart attack at the age of 32.
\r\nOf the 197 captive orcas they had between 1964 and 2010, nearly two-thirds did not survive beyond 10 years in captivity. Fewer than 30 orcas have survived more than 20 years of life in theme-park tanks.
\r\nThe orcas of Antibes:
\r\nAll told, 18 orcas have been kept at Marineland of Antibes. There are now only four left. Two have been transferred to other oceanariums (one of them died five years after its transfer to Taiji, Japan, at the age of 14).
\r\nThe other 12 (including four stillborn orcas) died at Marineland of Antibes at an average age of 18 (12 if the stillbirths are included), which represent lifespans well below those of free orcas.
\r\n\r\n
The eight orcas that died at Marineland of Antibes are, in chronological order:
\r\nAnimals that are inherently unsuited to life in captivity:
\r\nOrcas and dolphins are meant to live in large spaces. They travel dozens if not hundreds of kilometres per day in the wild, which makes it impossible to keep them captive in any way without depriving them of the chance to satisfy their natural instincts. It is not the same as for reef fish, which spend most of their existence on a single reef, and for which captivity poses problems of a different kind.
\r\nOrcas and dolphins are very social animals, with an extremely high level of self-awareness. It is difficult for humans to fully grasp the nature of their sensory, emotional and relational world—and with good reason. Cetaceans are the only mammals with four-lobed brains (from mice to humans, all other mammals have only three lobes). According to researchers, this fourth lobe, which has many convolutions and connections, is the seat of emotions and social relationships. It is thought to be what allows cetaceans to communicate with each other in ways we can barely imagine.
\r\nSonar to see the world with unparalleled levels of sensory acuity.
\r\nCetaceans rely much more on sonar to perceive the world around them than on their eyes. This very effective natural scanner gives them sensory abilities that could inspire screenwriters of superhero films. A dolphin or orca that “looks” at you with its sonar can sense your emotions, state of health and heart rate, detect a tumour and even identify that a woman is pregnant before she herself has realised it.
\r\nA major advantage in the sea, sonar becomes a source of sensory and psychological torture in captivity.
\r\nI couldn’t stay in it even for the recommended three minutes, and when I got out, I wanted to bite someone. I can’t imagine what hell it must be to spend your whole life under conditions like that\r\n
Pamela Anderson speaking about the Tilikum Tank
The sonar that allows free cetaceans to perceive the marine environment with extraordinary acuity is completely unsuited to the dreary environment of a smooth-surfaced tank that constantly reflects their visual and auditory image. It becomes a source of additional stress that augments the animals’ boredom and depression.
\r\nSea Shepherd created the Tilikum Tank—the name pays homage to the orca that captivity turned into a psychotic killer and whose story is covered by the documentary Blackfish—to let people experience for themselves what captivity for these animals is like.
\r\nThe floor and walls are covered with mirrors, since everything the cetaceans perceive in their tiny underwater prisons is their own reflection and the constant echo of their own voices, superimposed over show music blasting at top volume.
\r\nThe public is invited to spend a few minutes in this “tank” to get a better idea. Pamela Anderson, who unveiled the Tilikum Tank in Cannes in May 2016, commented on her experience: “I couldn’t stay in it even for the recommended three minutes, and when I got out, I wanted to bite someone. I can’t imagine what hell it must be to spend your whole life under conditions like that.”
\r\nThe ethical problem:
\r\nLocking those that we love up for life, using them as we wish, against their will: are these the values we want to pass on to our children?\r\n
Lamya Essemlali - President of Sea Shepherd France
Finally, imposing such unnatural living conditions on intelligent, sensitive and self-aware beings for the sole purpose of entertaining the public in return for money should not be presented to children as an acceptable moral and ethical approach. In today’s world, animals seem to have become consumer goods—objects of entertainment like the cinema or a video game. Nothing is said about the fact that these animals did not choose to be there and that once the show is over, the spectators can go home but the animals must stay where they are and are sometimes moved to even smaller tanks. Respect and empathy are essential values to pass on to the younger generations, but these performances are the polar opposite of those concepts.
\r\nThe fallacious argument of species conservation:
\r\nMarineland of Antibes and other oceanariums claim that captivity helps ensure the conservation of species that are endangered in their natural habitats. But the species most often found in captivity are not the ones whose wild populations are in danger?far from it. The selection criteria for species targeted for captivity have much more to do with their ability to withstand stress under conditions of confinement, and their cooperativeness, so they can be trained to perform for paying audiences. The common bottlenose dolphin (the species used to play the role of Flipper) is not considered endangered by the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES) and has a “low concern” status. However, this is the species most commonly kept in captivity as it is particularly sociable and lives the longest under conditions of confinement.
\r\nMarineland also has no plan or vision, either in the mid or long term, for any release into the wild of the cetaceans it keeps captive on the pretext of conservation purposes. Any authentic conservation programme aims to increase populations that are threatened in their natural habitat. As things stand now, the only way out for captive orcas and dolphins is death (or transfer to another oceanarium).
\r\nWe can also question the logic, for conservation purposes, of keeping some members of a species in conditions that stifle all the natural instincts that have allowed the species to survive this far (hunting, selective socialisation, migration, exploration, etc.).
\r\nThe fallacious argument of the educational role: false advertising
\r\nMany 10-year-old children know everything about dinosaurs even though they’ve never seen one. They learned what they know from books and documentaries\r\n
Captain Paul Watson - Founder of Sea Shepherd
Oceanariums claim to play an educational role, but the animals are trained to perform tricks that have nothing to do with their natural instincts and needs. If the public came away from their visit to Marineland with even a bit of knowledge of orcas and dolphins, the aberration of keeping them captive would be very obvious to them. But this is not what happens at all. Although some visitors are not fooled by appearances and leave Marineland with a bitter taste in their mouth, many truly believe that the animals they have just seen are happy to spend their lives in this confined space and to perform for the crowds day after day. They do not realise that they have just missed out on a real encounter with these extraordinary animals, and that by paying their entrance fee to see the performance, they have added another lock to their prison door.
\r\nA marine park built in an area prone to flooding:
\r\nThe flooding of October 2015 was catastrophic for the animals of the park. The area where Marineland was built was categorised as a flood-prone area in 2010. Thanks to climate change, the heightened risk for the animals is more and more worrying. When this last flood occurred, 90% of Marineland’s facilities were damaged, farm animals, rays and turtles drowned and the orca Valentin died one week after the disaster due to the contamination of her tank (in particular, oil was detected in the water). The Park was completely overwhelmed by the severity of the flooding and showed that it was unable to manage a disaster of this scale. This is quite worrying, since a climate-change sword of Damocles now hangs over the remaining animals.
\r\nAlternatives for Marineland and the public:
\r\nThe employment argument is often put forward, logically enough, to justify keeping Marineland going. The financial argument is understandable, but a world in which this aspect overrides ethical and moral concerns does not auger anything positive. Many examples from human history support this. Marineland is not obliged to close up shop. In fact, it should look toward a new and more ethical future and begin a transformation into an attractive place without an animal circus or captive marine mammals. The park has everything to gain from adopting a visionary attitude and planning its evolution without delay. It can very easily expand the other sectors it has set up, develop truly educational programmes, and even organise expeditions into the Mediterranean to allow the public to encounter free orcas and dolphins under more respectful conditions—encounters based on mutual consent, for a change!
\r\nToday, Marineland of Antibes still has 4 captive orcas.
\r\nAlthough they were all born in captivity, they still have the natural instincts that are encoded in their genes. Their physiological aptitudes and sonar, which have evolved over millions of years to allow them to survive and thrive in the sea, continue to function. A learning and re-adaption phase will obviously be essential, but the argument that an animal that has been held captive under unnatural conditions must stay there the rest of its life because it has known nothing else makes no more sense than to say that a person who was born a slave must remain a slave since he or she has never known freedom.
\r\nWhat we’re asking of Marineland of Antibes:
\r\nSea Shepherd is working with scientists, cetacean specialists and ethologists to identify alternatives to captivity for orcas and dolphins—beginning with the ones at Marineland. We are looking into the possibilities for rehabilitation programmes in enclosed bays, where the animals can gradually reconnect with their natural instincts and learn or relearn to hunt and to interact with their natural habitat. Several places that are suited to this crucial phase have been identified, and although significant efforts and a lot of fundraising will be necessary to make this project a reality, the effective contribution and goodwill of Marineland could help save precious years. The park owes it to them, and we’re ready and willing to help it take the first steps.
\r\nAs long as the management of the Parques Reunidos group, which owns Marineland, fails to make a clear commitment to initiating a programme aimed at rehabilitating the orcas and dolphins it is holding captive, with a view to releasing them into their natural habitat, we urge all conscientious citizens who have been moved by our campaign to boycott this Park.
\r\n--------
Si vous voulez soutenir cette campagne, n'hésitez pas à faire un don à Sea Shepherd France
Hennes & Mauritz, plus connue sous le nom de H&M, est une chaîne de magasin de prêt-à-porter employant plus de 132 000 personnes. L’entreprise est présente dans une cinquantaine de pays, possède plus de 2 700 boutiques et réalise un chiffre d’affaires de 18 milliards d’euros pour un bénéfice de 2 milliards. Il est accusé qu’afin d’accroître sa productivité et ses bénéfices, représentant déjà 11% du chiffre d’affaires (en hausse de 17% en 2014), que H&M omet la sécurité de ses ouvriers et met, du moins involontairement, leur vie en danger.
\r\nEn effet, nous nous rappelons tous de ce triste jour du 24 avril 2013 où l’effondrement du Rana Plaza fit plus de 1 134 morts. Bien que cet événement fut spectaculaire par son nombre de vies atrocement anéanties (9 fois plus de morts que les attentats de novembre 2015 à Paris), plusieurs accidents similaires précédant le grand drame, causant des dizaines et des vingtaines de morts, auraient dû alerter la direction de H&M sur la mise en danger de la population bangladaise dans ses usines partenaires. Une entreprise qui se dit fortement engagée dans l’Humain et le développement durable se doit de prévenir ce genre d’incident en investissant à minima dans des mesures de sécurité ou en poussant la direction de ses usines à le faire.
\r\nLes rapports d’enquête diffusés après l’accident du 24 avril 2013 ont glacé de stupeur les consommateurs de H&M : en effet la recherche de diminution de coût (principalement sur les sécurités électriques et anti-incendie) n’a laissé d’autres choix aux ouvriers d’H&M qu’un destin funeste et douloureux. Afin de rassurer ses consommateurs et d’éviter toute polémique pouvant porter atteinte à son image, H&M a signé des accords garantissant son implication dans la sécurité de ses ouvriers et auprès de ses sous-traitants.
\r\nOr il s’avère que H&M ne tient pas totalement ses engagements et investisse un minimum afin que son image n’en soit pas détériorée. Lors de son communiqué de presse du 30 aout 2015, H&M affirmait « Nous soutenons nos fournisseurs sur ce qui est le plus important pour eux : des relations commerciales sur le long terme et des opportunités de croissance. ». Cela ne correspond en aucun point à l’image que s’était faite les consommateurs des engagements financiers de H&M.
\r\nEn outre, suite à l’appel du 3 mai 2016 lancé par 4 ONG (Clean Clothes campaign, ILRF, Maquilla Solidarity Network, Worker Right Consortium) et l’émission de différents rapports lors d’inspection de sécurité nous apprenons que :\r\r\n
H&M affirme, dans ses communiqués de presse, avoir réalisé plus de 60% des travaux qui devaient être effectués : or les rapports d’inspection démontrent le contraire.
\r\nNous lançons cette campagne participative de boycott responsable afin de vous sensibiliser et de vous impliquer dans votre rôle de « consom’acteur » car H&M ne changera sa politique que si ses clients lui font part de leur mécontentement et de leur non-volonté d’acheter des produits basés sur la mise en danger de ceux qui fabriquent les vêtements qu’ils portent quotidiennement.
\r\nH&M doit comprendre qu’un client satisfait est aussi un client fier de porter des vêtements fabriqués avec soin et en toute éthique : c'est-à-dire en prenant en compte le respect de la vie et l’épanouissement des personnes qui ont contribué à l’élaboration et à la vente des produits.
\r\nNous encourageons H&M à respecter les engagements suivants :\r\n\t
En tant que client investi et engagé dans mes achats je prends soin de m’informer sur ce que je consomme et sur l’impact que ma consommation a sur le monde, ma santé et l’avenir des générations futures.
\r\r\nVous trouverez, donc, ci-dessous :\r\r\n\t
I-boycott aborde des sujets pour lesquels nous sommes également engagés de longue date pour contribuer à mener des changements positifs et durables pour les ouvriers de l’industrie textile.
Nous n’avons jamais fait produire au Rana Plaza et ne travaillions pas avec les fournisseurs présents dans cet immeuble. Depuis 2009, nous refusons les fournisseurs qui partagent leurs unités de production avec d’autres fournisseurs pour des raisons de sécurité. Le fournisseur avec lequel nous travaillons doit maitriser l’intégralité de la sécurité de son bâtiment. Ainsi le Rana Plaza ne correspondait pas à nos standards.
Suite à cette catastrophe, nous avons été la première marque à signer l’Accord sur la sécurité des bâtiments et incendie au Bangladesh en mai 2013. Cet engagement est pour nous un pas supplémentaire dans notre ambitieux programme et stratégie globale de développement durable engagés depuis de nombreuses années déjà. De plus, nous finançons la mise en place de l’Accord à hauteur de 500 000 dollars par an.
Au-delà de l’ACCORD, nous travaillons depuis plusieurs années déjà sur ces questions de sécurité primordiales comme par exemple des formations à la sécurité incendie pour les ouvriers ou des évaluations sur les installations électriques des fournisseurs.
Les exigences supplémentaires de l'Accord sur la sécurité des bâtiments et incendie au Bangladesh, qui transforment l'ensemble de l'industrie textile du Bangladesh, sont progressivement déployées dans plus en plus d’usines. Par exemple, tous les fournisseurs de H&M ont confirmé que toutes les portes coulissantes ou porte rideau ou porte à fermeture cadenassée ont été remplacées dans toutes les usines. Ce travail vient compléter les exigences obligatoires de H&M, à savoir avoir des sorties de secours, des éclairages de secours, des alarmes incendie, des extincteurs, des plans d'évacuation et pratiquer régulièrement des exercices d'évacuation.
Il est important de rappeler que H&M ne possède pas d’usine. Nous travaillons avec environ 850 fournisseurs, soit environ 1900 usines dans le monde. En revanche, nous avons une présence unique et très forte dans les pays dans lesquels nous faisons produire. Nous possédons 22 bureaux de production implantés dans ces pays, soit environ 2800 employés H&M qui sont en contact permanent avec nos fournisseurs afin d’accompagner nos fournisseurs et de s’assurer du respect de nos exigences, de la qualité de la production, des délais de fabrication, etc.
La transparence est primordiale dans notre chaine de production. Notre liste de fournisseurs est disponible dans son intégralité sur notre site internet, elle comprend également les principaux fournisseurs de tissus et de fils de nos fournisseurs. http://sustainability.hm.com/en/sustainability/downloads-resources/resources/supplier-list.html
","content":"I-boycott aborde des sujets pour lesquels nous sommes également engagés de longue date pour contribuer à mener des changements positifs et durables pour les ouvriers de l’industrie textile.
Nous n’avons jamais fait produire au Rana Plaza et ne travaillions pas avec les fournisseurs présents dans cet immeuble. Depuis 2009, nous refusons les fournisseurs qui partagent leurs unités de production avec d’autres fournisseurs pour des raisons de sécurité. Le fournisseur avec lequel nous travaillons doit maitriser l’intégralité de la sécurité de son bâtiment. Ainsi le Rana Plaza ne correspondait pas à nos standards.
Suite à cette catastrophe, nous avons été la première marque à signer l’Accord sur la sécurité des bâtiments et incendie au Bangladesh en mai 2013. Cet engagement est pour nous un pas supplémentaire dans notre ambitieux programme et stratégie globale de développement durable engagés depuis de nombreuses années déjà. De plus, nous finançons la mise en place de l’Accord à hauteur de 500 000 dollars par an.
Au-delà de l’ACCORD, nous travaillons depuis plusieurs années déjà sur ces questions de sécurité primordiales comme par exemple des formations à la sécurité incendie pour les ouvriers ou des évaluations sur les installations électriques des fournisseurs.
Les exigences supplémentaires de l'Accord sur la sécurité des bâtiments et incendie au Bangladesh, qui transforment l'ensemble de l'industrie textile du Bangladesh, sont progressivement déployées dans plus en plus d’usines. Par exemple, tous les fournisseurs de H&M ont confirmé que toutes les portes coulissantes ou porte rideau ou porte à fermeture cadenassée ont été remplacées dans toutes les usines. Ce travail vient compléter les exigences obligatoires de H&M, à savoir avoir des sorties de secours, des éclairages de secours, des alarmes incendie, des extincteurs, des plans d'évacuation et pratiquer régulièrement des exercices d'évacuation.
Il est important de rappeler que H&M ne possède pas d’usine. Nous travaillons avec environ 850 fournisseurs, soit environ 1900 usines dans le monde. En revanche, nous avons une présence unique et très forte dans les pays dans lesquels nous faisons produire. Nous possédons 22 bureaux de production implantés dans ces pays, soit environ 2800 employés H&M qui sont en contact permanent avec nos fournisseurs afin d’accompagner nos fournisseurs et de s’assurer du respect de nos exigences, de la qualité de la production, des délais de fabrication, etc.
La transparence est primordiale dans notre chaine de production. Notre liste de fournisseurs est disponible dans son intégralité sur notre site internet, elle comprend également les principaux fournisseurs de tissus et de fils de nos fournisseurs. http://sustainability.hm.com/en/sustainability/downloads-resources/resources/supplier-list.html
\r\n","votes":{"done":true,"no":781,"yes":114},"followers":{"waiting":0,"total":15998,"current":15884,"goal":15000},"done":true,"date":{"submitted":"2016-06-03T07:35:44.389Z","voteLimit":"2016-06-10T07:35:44.389Z","delay":7,"created":"2016-06-02T07:29:51.973Z"},"sources":[]},{"_id":"59f4159b16d7750b58e869c6","commitment":"Au-delà de l’ACCORD, nous travaillons depuis plusieurs années déjà sur ces questions de sécurité, mais aussi de dialogue social, de conditions de travail, de rémunérations, de produits chimiques, etc. avec nos fournisseurs. Nous avons mis en place de nombreux programmes à travers le monde avec des partenaires solides et pertinents comme l’OIT (Organisation Internationale du Travail), l’agence suédoise de développement international (SIDA), le syndicat suédois IF Metall, le syndicat international IndustriAll, etc. pour ne citer que les programmes qui portent sur la partie sociale de notre démarche pour une mode responsable.
Ces programmes et notre action sont reconnues internationalement par nos parties prenantes et régulièrement récompensées. Le groupe H&M est régulièrement classé parmi les entreprises les plus engagées en matière de développement durable dans les classements internationaux. Pour ne donner qu’un exemple de cette reconnaissance, le président du Board du groupe H&M et fils du fondateur, Stephan Persson, a été récompensé en 2014 par les Nations Unies à New-York pour l’action du groupe H&M en faveur des progrès sociaux, et notamment du renforcement économique des femmes : http://unanyc.org/news/2014/20141029_unany_awards_dinner.html
Il est important aussi de rappeler que H&M ne possède aucune usine, et nous travaillons avec des fournisseurs indépendants. En revanche, nous avons une présence unique et très forte dans les pays de production grâce à 21 bureaux de production implantés sur place. Ce sont 3 000 collaborateurs H&M qui sont en contact permanent avec nos fournisseurs afin de s’assurer du respect de nos exigences, de la qualité de la production, des délais de fabrication, etc. et les accompagner vers toujours plus de progrès.
Enfin, la transparence est primordiale dans notre chaine de production. Notre liste de fournisseurs est disponible sur notre site internet depuis début 2013. Elle comprend nos fournisseurs directs, mais également la majorité de leurs propres fournisseurs de fils et de tissus :
http://sustainability.hm.com/en/sustainability/downloads-resources/resources/supplier-list.html
En conclusion, encore une fois, nous sommes engagés sincèrement et de longue date pour contribuer à mener des changements positifs et durables pour les ouvriers de l’industrie textile, et nous invitons toutes les personnes intéressées à consulter les documents et informations à ce sujet sur notre site internet, et ceux de nos partenaires dans nos actions, pour prendre une meilleure connaissance de nos actions.
","content":"Nous déplorons que l’image décrite dans cette campagne de pétition soit si éloignée de notre réalité. Par exemple, nous tenons à préciser que le reportage mentionné comme référence dans les sources de la campagne a été condamné par la justice française, et considéré comme diffamatoire dans un jugement rendu le 23/06/17 par la 17ème chambre correctionnelle de Paris.
En effet, nous sommes engagés sincèrement et de longue date pour contribuer à mener des changements positifs et durables pour les ouvriers de l’industrie textile. Nous invitons toutes les personnes intéressées à s’en rendre compte en parcourant notre site internet ou en consultant notre rapport développement durable annuel :
http://about.hm.com/en/sustainability.html
http://about.hm.com/fr_fr/news/general-2017/hm-sustainability-report-2016.html
Pour rappel, nous n’avons jamais travaillé avec les usines de confection présentes dans l’immeuble du Rana Plaza. Cet immeuble ne répondait pas à nos exigences en matière de sécurité notamment. Toute affirmation contraire est fausse et diffamatoire.
Suite à cette catastrophe, nous avons été la première marque à signer l‘Accord sur la sécurité des bâtiments et incendie au Bangladesh en mai 2013. Nous finançons la mise en place de l’Accord à hauteur de 500 000 dollars par an, et nous accompagnons nos fournisseurs de leur processus d’amélioration. Nous considérons que l’Accord est une solution pertinente pour changer durablement et positivement l’industrie textile au Bangladesh. C’est pourquoi nous avons été aussi parmi les marques à signer le deuxième Accord dès son lancement en juin 2017 pour continuer à changer l’industrie textile :
http://about.hm.com/fr_fr/news/general-2017/h-m-group-signs-new-agreement-on-fire-and-building-safety.html
","votes":{"done":true,"no":1032,"yes":424},"followers":{"waiting":234,"total":15998,"current":15460,"goal":15000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2018-01-18T09:50:00.634Z","submitted":"2018-01-04T09:50:00.634Z","delay":7,"created":"2017-10-28T05:28:59.398Z"},"sources":["http://about.hm.com/en/sustainability.html","http://about.hm.com/fr_fr/news/general-2017/hm-sustainability-report-2016.html","http://about.hm.com/fr_fr/news/general-2017/h-m-group-signs-new-agreement-on-fire-and-building-safety.html","http://unanyc.org/news/2014/20141029_unany_awards_dinner.html","http://sustainability.hm.com/en/sustainability/downloads-resources/resources/supplier-list.html"]},{"_id":"5bc4a047762b68ee38614713","commitment":"Quel Bilan 2013-2018 ?
Notre stratégie sur ces 5 dernières années a été auditée et a fait l’objet d’un rapport indépendant réalisé par l'Ethical Trading Institute - ETI, disponible ici : https://www.ethicaltrade.org/resources/review-hm-groups-roadmap-to-fair-living-wage. Notre engagement à ce sujet a été reconnu par cet organisme indépendant.
Concernant les usines avec lesquelles nous produisons, nous avons atteint et dépassé les deux objectifs que nous avions présentés en 2013 et ajouté une composante importante dans la négociation tarifaire :
1) Renforcer le pouvoir de discussion des travailleurs du secteur textile en veillant à ce qu'ils s’organisent en représentants du personnel librement élus,
2) Mettre en œuvre des systèmes de gestion des salaires, pour s'assurer que les fournisseurs disposent de procédés transparents et équitables et que les travailleurs textiles soient conscients et informés de la façon dont leurs salaires sont fixés et peuvent être augmentés.
Nous avons atteint 930 000 travailleurs textiles à travers ce travail direct auprès des usines.
Aujourd’hui au Bangladesh, 100% des usines avec lesquelles nous travaillons ont à présent des représentants du personnel librement élus, c’est-à-dire libres de porter de façon individuelle et collective auprès des dirigeants de chaque usine leurs revendications en termes de conditions de travail, salaires, amélioration de la sécurité etc. Ceci, bien sûr en plus des normes obligatoires quand il s’agit par exemple de nos standards de sécurité.
3) Au cours de ces cinq dernières années, nous avons également amélioré nos pratiques d'achat afin d'éviter les changements de dernière minute et de nous assurer que les coûts de main-d'œuvre sont exclus des négociations des prix avec les fournisseurs, de sorte que les coûts de main-d'œuvre sont figés et ne font pas partie des négociations tarifaires. Cela permet de s'assurer que les salaires des travailleurs textiles ne sont pas affectés négativement par les négociations sur les prix des produits.
En collaborant avec nos partenaires, les ONG, syndicats etc aussi engagés que nous dans ce sujet crucial, nous sommes convaincus que notre industrie peut faire de grandes avancées.
Maintenant, le travail continue.
Conscients des progrès à faire, des défis et prochaines étapes qui nous attendent, notre engagement à aller vers des salaires et conditions de travail plus justes est quotidien et se traduit par la poursuite des actions de nos collaborateurs tant au niveau des usines qu’au niveau sectoriel.
Liens :
. Rapport d’audit indépendant ETI 2018
• Carte des relations industrielles et progrès – Rapport Développement durable 2017 p63-65
• Protocole d’accord ACT et Organisation Internationale du Travail
• Accord-cadre conclu avec IndustriALL et le syndicat suédois IF Metall - Global Framework Agreement.
• Bangladesh : audits 2017 sur les 276 usines produisant pour H&M au Bangladesh
• Liste des fournisseurs travaillant avec le groupe H&M
","content":"Bonjour,
Nous partageons dans cette 3ème réponse les engagements que nous avons continué à mettre en place depuis nos premières initiatives et les avancées réalisées. Nous parlons bien « d’avancées » parce qu’il s’agit d’un sujet aussi capital que complexe et que la route est longue et l’engagement quotidien pour aller vers de meilleures conditions de travail dans l’industrie textile.
Concernant le Bangladesh et la catastrophe du Rana Plaza, nous vous avions répondu qu’H&M n’avait jamais travaillé avec les usines présentes dans cet immeuble, mais là n’est pas la question. Ce terrible accident a effectivement marqué un tournant dans la conscience des consommateurs, qui se sont depuis interrogés sur les conditions de fabrications des vêtements. A cela, nous vous avions donc apporté les informations montrant (cf les liens) :
- les standards de sécurité obligatoires (audités, cf audits 2017 sur les usines produisant pour H&M au Bangladesh)
- les accords globaux, au-delà de l’ACCORD, dont nous avons été parmi les 1ers signataires en 2013 et 2017, sur lesquels nous travaillons depuis plusieurs années avec nos fournisseurs (sécurité, dialogue social, santé, rémunérations, etc.)
L’industrie textile – au Bangladesh mais également dans d’autres pays de production comme le Cambodge, la Chine, l’Inde, etc - se transforme. Beaucoup de choses ont été réalisées, et nous sommes conscients qu’il reste beaucoup à faire. Mais nous sommes convaincus d’être sur la bonne voie, celle du dialogue entre fournisseurs et ouvriers, celle d’un développement commercial vertueux et encadré par des partenaires indépendants.
Chez H&M, notre stratégie s’actionne sur 2 niveaux complémentaires :
- 1 action directe auprès des usines: instaurer des procédés permettant des négociations équitables entre usines et travailleurs. Ce sont près de 3000 collaborateurs dans les 21 bureaux de production présents dans les pays dans lesquels nous faisons produire qui sont quotidiennement au contact des dirigeants d’usines et des ouvriers.
- 1 action collaborative au niveau de l'industrie pour transformer l’ensemble du secteur. L’engagement ne peut se mener qu' avec les autres marques, les ONG internationales, les syndicats internationaux et locaux dans chaque pays :
o ACT est l'un de ces exemples où 20 marques s’associent au syndicat mondial IndustriALL pour conclure des conventions collectives sectorielles assurant des pratiques d'achat responsables. Cela peut apporter des améliorations durables pour tous les travailleurs - quelle que soit l'usine ou la marque. Ces accords seront négociés entre syndicats et employeurs. Nous nous engageons ainsi à rester dans les pays qui intègrent un processus de croissance des salaires à travers une convention collective et à tenir compte des augmentations salariales dans nos prix d'achat.
o 2 autres exemples de collaborations sont l'accord avec l'Organisation Internationale du Travail et l'accord mondial conclu avec IndustriALL et le syndicat IF Metall.
","votes":{"done":true,"no":974,"yes":323},"followers":{"waiting":193,"total":21381,"current":20520,"goal":25000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2019-01-21T16:43:33.228Z","submitted":"2019-01-07T16:43:33.228Z","delay":7,"created":"2018-10-15T14:12:23.742Z"},"sources":["https://www.ethicaltrade.org/resources/review-hm-groups-roadmap-to-fair-living-wage","http://sustainability.hm.com/content/dam/hm/about/documents/masterlanguage/CSR/2017%20Sustainability%20report/HM_group_SustainabilityReport_2017_FullReport.pdf","https://actonlivingwages.com/memorandum-of-understanding/","https://www.ilo.org/pardev/information-resources/news/WCMS_306151/lang--de/index.htm","http://www.industriall-union.org/sites/default/files/uploads/documents/GFAs/hm-industriall_gfa_agreed_version_09-09-2015.pdf","http://about.hm.com/content/dam/hmgroup/groupsite/documents/masterlanguage/CSR/Others/Accord%20Progress%20for%20HM%20com%20(1%20Dec%202017).pdf","http://sustainability.hm.com/en/sustainability/downloads-resources/resources/supplier-list.html"]},{"_id":"5c4622522082e8de1e12757a","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2019-01-21T19:49:38.615Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"Vague de répression dans le secteur textile au Bangladesh !","content":"Plusieurs milliers d’ouvriers et d’ouvrières travaillant dans les ateliers textiles de la banlieue de Dhaka ont été congédiés suite à un mouvement social pour réclamer une hausse de leurs salaires.
\nhttp://multinationales.org/Vague-de-repression-dans-le-secteur-textile-au-Bangladesh
","_id":"5897412c0d6559fb55808a90","created":"2017-02-05T15:13:48.322Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":20,"loyalValue":100,"show":false},"followers":{"notCustomer":2576,"occasional":6322,"loyal":1544,"waiting":0,"total":25137,"current":24276,"goal":20000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/aaaaaaaabbbbbbcccc100001.jpg","share":{"hashtag":"iBoycottHM","tinyUrl":"http://tiny.cc/boy-hm"},"sources":["http://www.ethique-sur-etiquette.org/-Accords-Bangladesh-H-M-doit-tenir-ses-engagements-132","http://www.reportagestv.com/2017/07/23/le-monde-selon-handm-special-investigation/"],"company":{"name":"H&M","email":"julie-marlene.pelissier@hm.com"},"categories":["labour","man","health"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-05-03T10:00:00.404Z","statusUpdated":"2019-01-21T19:49:38.615Z","created":"2016-05-30T19:29:16.269Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"aaaaaaaabbbbbbcccc100002"},{"slug":"starbucks","title":"Starbucks France: dites non à l'optimisation fiscale","content":"\r\n\tStarbucks est la plus grande chaîne multinationale de café.\r\n\tStarbucks Coffee France a ouvert son premier salon de café à Paris, près de l'Opéra, en janvier 2004. Starbucks coffee France dispose aujourd'hui de 76 salons créés sous forme de franchises, et ce nombre est en constante augmentation, la dernière ouverture datant du 17 juin 2016 à Clermont-Ferrand.\r\n
\r\n\r\n\tStarbucks met en avant, à juste titre, des causes éthiques que nous ne pouvons que féliciter :\r\n\t
Sur le site de Starbucks, nous pouvons lire :
\r\nNous avons deux objectifs, partager un café de qualité avec nos amis et participer à rendre le monde un peu meilleur\r\n\r\n
\r\nStarbucks coffee France montre l'exemple sur certains points, mais est loin d'être pleinement transparente.\r\nEn Octobre dernier, la Commission européenne a condamné le groupe Starbucks pour avoir passé des accords jugés illégaux au regard du droit européen de la concurrence, avec l'administration néerlandaise.\r\nCette condamnation fait suite aux révélations du Luxleaks, qui a mis au jour l'existence de nombreux accords fiscaux très avantageux.\r\n
\r\n\r\n\r\nEn France, Starbucks coffee France n'a jamais payé d'impôt sur les sociétés depuis son installation en 2004, car elle ne déclare aucun bénéfice, alors même que le nombre de franchises françaises Starbucks ne cesse de croître.\r\nEn effet, il est important de noter que les franchisés situés en France participent à l'emploi et contribuent eux aussi à l'effort fiscal dans notre pays, mais ils versent une redevance à Starbucks coffee France, qui domicilie ses bénéfices aux Pays-Bas.\r\n
\r\n\r\nNon, ce n'est pas de la magie, mais de l'optimisation fiscale. Explications:
\r\nLa filiale française utiliserait des mécanismes d'optimisation fiscale depuis plus de dix ans pour échapper au fisc.
\r\n\r\n\tLe principe de l'optimisation fiscale est simple. Il s'agit pour une entreprise de créer des filiales à l'étranger et de leur facturer un certain nombre de services. Si on augmente artificiellement le prix de ces prestations, on peut faire disparaître des recettes fiscales.\r\n\tXavier Timbeau\r\n\r\n
directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE)\r\n
\r\nL'objectif ? Transférer une partie ou l'ensemble des bénéfices de la société vers des pays où la fiscalité est plus intéressante. On parle alors de prix de transfert, pour évoquer ces transactions internationales entre les sociétés d'un même groupe.\r\nConcrètement, Starbucks coffee France :\r\n
\r\n\r\nPour faire très simple, en augmentant les charges « artificiellement », on diminue les bénéfices. Pas de bénéfice pas d'impôt.\r\nUne entreprise qui poursuit des démarches humanistes, solidaires et attachées au bien être de ses consommateurs se doit d'être intègre et honnête quant aux bénéfices effectivement réalisés dans le pays où elle est implantée.\r\nSelon le Sénat, l'optimisation fiscale et plus largement l'évasion fiscale représenterait minimum 50 milliards d'euros de perte chaque année pour le contribuable français.\r\nLes impôts ont pour but de financer l'Etat et ses structures : éducation, recherche, sécurité intérieure et extérieure, santé, protection de l'environnement, infrastructures etc.\r\nL'optimisation fiscale bien que légale demeure un mécanisme qui permet d'échapper à l'impôt et peut s'assimiler à un abus de droit annihilant au final toute solidarité.\r\n
\r\n\r\nAinsi, et par ce seul fait, l'optimisation fiscale peut être considérée comme immorale et irrespectueuse des consommateurs locaux qui contribuent à la réussite de l'entreprise.\r\nNous lançons cette campagne participative de boycott responsable afin de vous sensibiliser et de vous impliquer dans votre rôle de consomm'acteur, car Starbucks coffee France ne changera sa politique que si nous, consommateurs, lui faisons part de notre mécontentement et de notre refus de faire appel à une entreprise qui ne se montre pas solidaire face à l'effort fiscal.\r\n
\r\n\r\nNous souhaitons que Starbucks coffee France comprenne qu'un consommateur satisfait est aussi un consommateur qui sait que ses dépenses contribuent au cercle vertueux de l'économie, de l'intérêt général et que l'entreprise, ainsi partenaire, est responsable : c'est-à-dire qu'elle est pleinement actrice de la société en acceptant ses contraintes et ne s'appuie pas sur des « mécanismes » pour échapper à l'imposition des pays où elle génère des bénéfices.
\r\nNous invitons Starbucks coffee France à démontrer son intégrité et sa solidarité via les engagements suivants :
\r\nBien que contraint par la polémique, voici l'exemple d'intégrité dont avait fait preuve en 2012, l'actuel Vice Président de Starbucks Kris ENGSKOV, qui a déclaré lors d'un discours à la Chambre de commerce de Londres:
\r\n\r\n\r\nJe vous annonce des changements : Starbucks va payer plus d'impôt sur les sociétés au Royaume-Uni, au-delà de nos obligations légales actuelles.\r\n\r\n\r\n
\r\nEn tant que consommateur investi et engagé dans mes achats, je prends soin de m'informer sur ce que je consomme et sur l'impact que ma consommation a sur le monde, ma santé et l'avenir de mes enfants et petits enfants.\r\nVous trouverez, donc, ci-dessous en sources, les faits, dossiers et articles qui nous ont poussés à lancer cette campagne participative de boycott responsable afin de vous sensibiliser et de vous impliquer dans votre rôle de « consom'acteur ».\r\n
","author":"aaaaaaaabbbbbbcccc00000b","lang":"fr","nbSupporters":15,"feedback":"","resume":"Pourquoi boycotter Starbucks :\n\n- La filiale française utiliserait des mécanismes d'optimisation fiscale depuis plus de dix ans pour échapper au fisc.\n- Starbucks coffee France n'a jamais payé d'impôt sur les sociétés depuis son installation en 2004, car elle ne déclare aucun bénéfice touché en France, alors que le nombre de franchises françaises ne cesse de croître. Il est important de noter que les franchisés situés en France participent à l'emploi et contribuent eux aussi à l'effort fiscal dans notre pays, mais ils versent une redevance à Starbucks coffee France, qui domicilie ses bénéfices aux Pays-Bas.\n\nNOS REVENDICATIONS :\n- Transparence financière avec le reporting de votre chiffre d'affaires pays par pays ;\n- Déclaration fiscale honnête ;\n- Fin de l'optimisation fiscale ;\n- Starbucks coffee France doit s'inscrire dans la continuité de Starbucks coffee Royaume-Uni qui a accepté de payer, à juste titre, ses impôts depuis 2012.","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2024-05-30T16:36:18.279Z","fullName":"Julie Pepin","lastName":"Pepin","firstName":"Julie","_id":"6658a8de6dd1aae6520e4430","values":["Facebook"]},{"date":"2023-05-27T20:19:10.772Z","fullName":"Vincent LAPORTE","lastName":"LAPORTE","firstName":"Vincent","_id":"647264f19a2ce9150a562ab3","values":["Facebook"]},{"date":"2022-07-19T12:49:49.339Z","fullName":"françoise Jay","lastName":"Jay","firstName":"françoise","_id":"62d6a7d1f1c71fc96491fb9a","values":["URL"]},{"date":"2022-05-23T21:56:51.298Z","fullName":"Lorena Fuentealba-Noterdaeme","lastName":"Fuentealba-Noterdaeme","firstName":"Lorena","_id":"5a737ddda3d6376652e1b33e","values":["Facebook"]},{"date":"2021-05-24T12:24:30.966Z","fullName":"Kevin Proust","lastName":"Proust","firstName":"Kevin","_id":"60ab97d7f85aabd1509ec299","values":["URL"]},{"date":"2021-02-12T13:55:51.234Z","fullName":"BABILAERE Ginette","lastName":"Ginette","firstName":"BABILAERE","_id":"60267c9e0670dcbd20fc1039","values":["Email","URL","Telegram","Email"]},{"date":"2021-02-03T14:27:04.472Z","fullName":"Elisa LIARAS","lastName":"LIARAS","firstName":"Elisa","_id":"601ab1f3b8ffac3b7a1ecba6","values":["URL"]},{"date":"2021-02-02T11:45:19.053Z","fullName":"Lisa Simonneau","lastName":"Simonneau","firstName":"Lisa","_id":"60193a796c13ce4f2237c9f4","values":["URL"]},{"date":"2021-01-30T12:12:32.566Z","fullName":"Julien Leconte","lastName":"Leconte","firstName":"Julien","_id":"60154cc2b8ffac3b7a1ecb36","values":["URL"]},{"date":"2020-12-04T19:20:02.344Z","fullName":"Lucile Boufflers","lastName":"Boufflers","firstName":"Lucile","_id":"5fca88882b69acc1346286e8","values":["URL"]},{"date":"2020-12-04T17:30:13.910Z","fullName":"Matthieu Hillairet","lastName":"Hillairet","firstName":"Matthieu","_id":"5fc2e3e06bc491c103cd0684","values":["URL"]},{"date":"2020-12-01T09:03:39.308Z","fullName":"Franck Desfrançais","lastName":"Desfrançais","firstName":"Franck","_id":"5fa2717b2c885ed773d77ad5","values":["Twitter"]}],"lastDonators":[{"date":"2021-02-07T13:12:47.464Z","fullName":"Hadrien Nicora","lastName":"Nicora","firstName":"Hadrien","_id":"601fe6e18043c4e17f8ba072"},{"date":"2021-02-06T12:48:52.110Z","fullName":"Helene colpin","lastName":"colpin","firstName":"Helene","_id":"601e8c600670dcbd20fc0fa7"},{"date":"2021-01-28T19:18:36.220Z","fullName":"BUFFARD Philippe","lastName":"Philippe","firstName":"BUFFARD","_id":"5dd7e6745147d61a6947e834"},{"date":"2020-12-01T09:03:18.286Z","fullName":"Franck Desfrançais","lastName":"Desfrançais","firstName":"Franck","_id":"5fa2717b2c885ed773d77ad5"}]},"couldBeTopListed":false,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"5772af1ff4ec687a3ba1bda0","commitment":"Nous investissons dans nos équipes en France
•\tPlus de la moitié de nos partenaires ont entre 18 et 24 ans et 70% d’entre eux ont moins de 30 ans
•\tLes 1 300 partenaires travaillant pour Starbucks Coffee France sont en CDI
•\tNous recrutons 600 personnes en CDI chaque année.
Tous les partenaires employés dans les salons de café opérés par Starbucks reçoivent chaque année des « Beanstocks », des actions de la société.
En tant qu’entreprise ouverte sur la société qui l’entoure et les quartiers dans lesquels sont implantés ses salons de café, Starbucks pratique une politique de recrutement et de développement favorisant la diversité sous toutes ses formes sans distinction d’origine, de nationalité, d’âge, de sexe ou de religion.
•\t56 nationalités collaborent quotidiennement dans nos salons
•\tLe taux de féminisation est homogène selon les métiers et atteint 51,5%
•\tLa parité est atteinte autant chez les employés que chez les cadres. L’équilibre femmes/hommes est l’une de nos priorités.
Nous agissons dans nos communautés
Nous intégrer dans les communautés que nous servons fait partie de notre mission. Nos salons de café sont des endroits où les gens aiment se retrouver, et nos partenaires travaillent en étroite collaboration avec de nombreuses associations locales. Nous sommes par ailleurs membre de l’association Centre-Ville en Mouvement dont l’objectif est de contribuer à dynamiser l’économie locale des centre-villes et l’emploi en France.
Conscients de la valeur de nos jeunes partenaires, nous travaillons en étroite collaboration avec des organisations dont l’objectif est d’accompagner les jeunes dans leur formation et leur recherche d’emploi, dans le cadre de notre programme pan-européen « Opportunity Youth ». Nous sommes d’ailleurs membre de l’association Les Entreprises pour la Cité et entendons jouer un rôle actif en son sein.
Approvisionnement local, approvisionnement éthique
Nous cherchons à nous approvisionner localement. Aussi le lait, les pâtisseries, les oranges et les sandwiches que nous servons sont achetés auprès de producteurs et fournisseurs français. Notre café est, quant à lui, acheté dans les grands pays producteurs de café Arabica. Il est certifié « éthique » à 99%, à la fois par Fairtrade/Commerce Equitable et par l’ONG Conservation International. Nous soutenons les producteurs de café avec lesquels nous travaillons en leur offrant des salaires justes, des conseils en matière d’agronomie dispensés par des équipes Starbucks implantées localement, et des investissements (microcrédits) à hauteur de plus de 50 millions de dollars pour les aider à cultiver des cafés parmi les meilleurs du monde.
Toutes ces informations sont publiques et accessibles librement et nous invitons toutes les personnes souhaitant le faire, à vérifier ces propos via les liens ci-dessous.
Simon Redfern, vice-président communication Starbucks Europe
","content":"Starbucks prend très au sérieux et porte beaucoup d’attention aux messages et questions portés par I-boycott, tant sur nos engagements et actions en faveur du commerce équitable, du recyclage des déchets et de notre politique RH que sur notre situation financière en France.
Depuis l’ouverture du premier salon de café Starbucks aux Etats Unis en 1971, nous mettons tout en œuvre pour mériter la confiance et le respect de nos clients et de nos partenaires (c’est ainsi que nous appelons nos salariés) en agissant de façon responsable et respectueuse. Aussi, c’est avec la plus grande transparence que nous souhaitons vous répondre sur le sujet de notre fiscalité en France.
Notre engagement en France
Nous sommes très fiers d’être présents en France et de servir nos consommateurs Français depuis 12 ans. Depuis l’inauguration du premier salon de café en janvier 2004, nous avons ouvert 75 salons de café en propre et 51 supplémentaires à travers des partenariats de licence et de franchise. Nos franchisés sont des femmes et hommes d’affaires français, des entrepreneurs qui possèdent et gèrent les salons de café Starbucks dans les villes de Lille, Strasbourg, Mulhouse, Bordeaux, Toulouse et Nantes. Nous souhaitons continuer de faire progresser cette partie de nos activités en renforçant notre croissance en franchise, permettant ainsi à ces entrepreneurs de se développer avec nous.
Le développement de Starbucks en France est une de nos priorités, c’est pourquoi nous continuons à investir fortement dans nos infrastructures, nos partenaires et à créer des emplois.
Nous payons nos impôts
Nous employons aujourd’hui plus de 1 300 partenaires, tous en CDI. Auxquels s’ajoutent 700 partenaires supplémentaires qui travaillent pour la marque Starbucks chez nos Licenciés et Franchisés. L’installation de nos activités en France a nécessité d’importants investissements, et c’est la raison pour laquelle nous n’avons commencé à être rentables qu’en 2015. L’année dernière, nous avons payé 2,7 millions d’euros de taxes professionnelles et 8,9 millions d’euros de charges sociales. Comme toutes les entreprises implantées en France, une fois nos investissements rentabilisés, nous payerons l’impôt sur les sociétés, en plus de toutes les taxes que nous payons déjà. Et puisque nous continuons de nous développer et de créer des emplois en France, le montant total de ces taxes va continuer de croitre. Nous respectons toutes les règles de l’OCDE en matière d’impôts, et ce dans tous les pays où nous sommes présents. Au niveau mondial, nous payons un taux d’imposition effectif de 33%.
","votes":{"done":true,"no":1585,"yes":349},"followers":{"waiting":0,"total":34156,"current":33806,"goal":20000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2016-08-10T16:30:09.709Z","submitted":"2016-08-03T16:30:09.709Z","delay":7,"created":"2016-06-28T17:08:47.986Z"},"sources":["http://www.societe.com/documents-officiels/starbucks-coffee-france-445330103.html#fullficheshop","https://www.infogreffe.fr/societes/entreprise-societe/445330103-starbucks-coffee-france-750103B03568.html#docsOfficiels","http://www.starbucks.fr/about-us/notre-responsabilit%C3%A9"]},{"_id":"59ec82bc1b0409f12075681f","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2017-10-22T11:36:28.334Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"L’optimisation fiscale dans le viseur de l’Europe et de l’ONU !","content":"Deux bonnes nouvelles sur le terrain de l’optimisation fiscale.
\nLa première concerne l’UE. La majorité des États membres sont favorables à une directive forçant les multinationales à plus de transparence. L’objectif est d’obliger les plus grandes entreprises européennes à révéler publiquement leur chiffre d’affaires, leur bénéfices, l’assiette fiscale et les impôts payés dans chaque pays où elles sont présentes.
\nLa seconde concerne l’ONU et le rapport « Facti Panel ». Le rapport, réalisé par des experts financiers venus de 17 pays, expose des recommandations à mettre en place pour arriver à une intégrité financière et une transparence fiscale mondiale. Tous les ans, l’optimisation fiscale coûte 500 à 600 milliards de dollars.
\nL’instauration d’un nouvel ordre financier mondial permettrait d’atteindre les objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU. La fin de l’optimisation fiscale pourrait donc ouvrir la voie à un monde plus équitable mais aussi plus respectueux de notre planète.
\nAujourd’hui, nous avons le pouvoir de faire cesser ces pratiques. Des entreprises comme Amazon, Starbucks ou McDonald’s ne peuvent pas continuellement s’en sortir sur le plan fiscal. Nous pouvons dès aujourd’hui leur faire entendre notre voix en les boycottant !
\nSources :
\n- UE : Les États membres soutiennent une meilleure transparence fiscale des multinationales, Le Figaro, 25/02/2021. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/ue-les-etats-membres-soutiennent-une-meilleure-transparence-fiscale-des-multinationales-20210225
\n- Les recommandations de l’ONU pour un nouvel ordre financier, L’Orient-Le Jour, 27/02/2021. https://www.lorientlejour.com/article/1253453/les-recommandations-de-lonu-pour-un-nouvel-ordre-financier.html
","_id":"603fce790670dcbd20fc116a","created":"2021-03-03T17:59:21.152Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":8,"loyalValue":25,"show":true},"followers":{"notCustomer":7199,"occasional":6589,"loyal":758,"waiting":0,"total":34559,"current":34209,"goal":20000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/aaaaaaaabbbbbbcccc100000.jpg","share":{"hashtag":"iBoycottStarbucks","tinyUrl":"http://tiny.cc/boy-starbucks"},"sources":["https://www.icij.org/project/luxembourg-leaks/explore-documents-luxembourg-leaks-database","http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/merci-starbucks-mais-la-solidarite-c-est-payer-ses-impots-en-france-931351.html","http://www.boursorama.com/actualites/ces-grands-groupes-qui-echappent-a-l-impot-1235f83c2cebc8ee9d00410ea1483a1b","http://www.europe1.fr/economie/avalanche-denquetes-sur-les-pratiques-fiscales-des-multinationales-2762734","http://www.liberation.fr/debats/2015/12/25/attentats-que-starbucks-paie-l-addition_1422906","http://www.lesinrocks.com/2013/01/21/actualite/starbucks-champion-de-levasion-fiscale-en-france-11343974/","http://www.liberation.fr/planete/2015/10/21/bruxelles-met-a-l-amende-fiat-et-starbucks-pour-evasion-fiscale_1407870","http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/12/06/starbucks-cede-et-accepte-de-payer-plus-d-impots-au-royaume-uni_1801313_3234.html","http://www.senat.fr/espace_presse/actualites/201207/evasion_fiscale_combien_cela_coute_il.html"],"company":{"name":"Starbucks Coffee France","email":"manon.desjardins@elanedelman.com"},"categories":["finance","justice"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-04-26T04:00:00.413Z","statusUpdated":"2021-03-19T15:28:13.756Z","created":"2016-06-20T16:00:00.000Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"aaaaaaaabbbbbbcccc100000"},{"slug":"marineland-ensemble-liberons-les-orques","title":"Marineland : Ensemble, libérons les orques !","content":"English version below French description.
Si vous voulez soutenir cette campagne, n'hésitez pas à faire un don à Sea Shepherd France
\r\nLe Marineland d'Antibes est un parc à thèmes français fondé en 1970 par Roland de La Poype à Antibes dans les Alpes-Maritimes, sur la Côte d'Azur. Étendu sur 26 hectares, il comprend un parc zoologique marin avec delphinarium, un parc aquatique (Aquasplash), un parc de jeux pour enfants (Kid's Island), un minigolf (Aventure Golf) et un hôtel trois étoiles (Marineland Resort).
\r\nIl est aujourd'hui devenu la propriété de la multinationale espagnole Parques Reunidos, dont le principal actionnaire est le fonds d'investissement britannique Arle Capital Partners. Son directeur actuel est Arnaud Palu. En 2014 son chiffre d'affaires était de 37,3 millions d'euros, avec un résultat net de 5,5 millions d'euros.
\r\nLa captivité tue : les chiffres.
\r\nLes delphinariums affirment que la détention des animaux marins permet de les prémunir des nombreux dangers que recèle l'océan. Un argument qui considère que la privation de liberté et le confinement contraint est un service rendu. Qui voudrait vivre dans une cellule pour se soustraire aux potentiels risques du monde extérieur ?
\r\nMais surtout, l'argument ne tient pas devant l'analyse des chiffres.
\r\nNOAA ( National Oceanic and Athmospheric Administration) rattachée au département d'Etat Américain estime l'espérance de vie des orques femelles vivant en liberté entre 50 et 60 ans et les chercheurs en cétologie ont déterminé la durée de vie moyenne d’une orque mâle en liberté de 30 ans, et 50 ans pour les femelles. La doyenne sauvage connue, vivant en Colombie Britannique et prénommée Granny est aujourd'hui âgée de 103 ans. A titre de comparaison, au Marineland d'Antibes, la durée de vie moyenne des orques est de 18 ans (12 ans si on comptabilise les morts-nés). La \"doyenne\", Freya est morte d'une crise cardiaque à l'âge de 32 ans.
\r\nSur les 197 orques captives depuis 1964 jusque 2010, presque 2/3 d’entre-elles n’ont pas passé le cap de 10 ans de vie en captivité. Moins de 30 orques ont survécu plus de 20 ans en bassin.
\r\nLes orques d'Antibes :
\r\nEn tout, 18 orques sont passées par les bassins d'Antibes. Il n'en reste aujourd'hui plus que 4. Deux ont été transférées dans d'autres delphinariums (1 des deux est morte 5 ans après son tranfert à Taiji au Japon, à l'âge de 14 ans).
\r\nLes 12 autres sont décédées à Antibes (dont 4 mort nés) à un âge moyen de 18 ans (12 ans si on compte les 4 morts-nés), des durées de vie moyennes largement inférieures à celles des orques libres.
\r\nLes huit orques décédées au Marineland d'Antibes sont, par ordre chronologique :
\r\nDes animaux intrinsèquement inadaptés à la captivité :
\r\nLes orques et les dauphins ont été conçus pour les grands espaces. Ils parcourent des dizaines voir des centaines de kilomètres par jour à l'état naturel, ce qui rend toute captivité impossible sans les priver de leurs instincts essentiels (il ne s'agit pas ici de poissons de récifs qui passent l'essentiel de leur existence sur un même récif - pour lesquels la captivité pose des problèmes encore différents).
\r\nLes orques et autres dauphins sont des animaux très sociaux, avec un niveau de conscience extrêment élevé. Il est difficile pour les êtres humains d'appréhender la nature de leur monde sensoriel, émotionnel et relationnel. Et pour cause... Les cétacés sont les seuls mammifères à posséder un cerveau à quatre lobes (des souris aux humains, nous avons tous un cerveau à trois lobes). D'après les chercheurs, ce quatrième lobe, très riche en convolutions et en connexions est le siège des émotions et des relations sociales, il permetterait aux dauphins de communiquer entre eux d'une façon que nous ne pouvons guère qu'imaginer.
\r\nUn sonar pour voir le monde avec une acuité sensorielle inégalée.
\r\nC'est avec leur sonar que les cétacés perçoivent le monde qui les entoure, bien plus qu'avec leurs yeux. Ce scanner naturel ultra performant les dote de capacités sensorielles qui pourraient inspirer les scénaristes de films de super héros. Un dauphin qui vous \"regarde\" avec son sonar peut ainsi capter votre état de nervosité, votre état de santé, percevoir une tumeur, un rythme cardiaque, savoir qu'une femme est enceinte... avant qu'elle ne le sache elle même.
\r\nAtout majeur en mer, en captivité le sonar devient une torture sensorielle et psychologique :
\r\nJe n'ai même pas réussi à y rester pendant les trois minutes requises et, lorsque j'en suis ressortie, j'avais envie de mordre quelqu'un. Je ne peux imaginer l'enfer que ça doit être de passer toute sa vie dans des conditions pareilles\r\n
Pamela Anderson au sujet du Tilikum Tank
Le sonar qui permet aux cétacés libres de percevoir l'environnement marin riche et changeant avec une acuité extraordinaire, est en décalage complet avec l'univers morne d'un bassin à la surface lisse qui ne fait que réverbérer leur propre image visuelle et auditive. Il devient alors source d'un stress supplémentaire qui exacerbe l'ennui et la depression.
\r\nEn construisant le Tilikum Tank, en hommage à Tilikum, l'orque que la captivité a transformé en tueur psychotique, sujet principal du film documentaire Blackfish, Sea Shepherd a voulu que les gens touchent du doigt la réalité de ce qu'est la captivité pour ces animaux.
\r\nLe sol et les murs sont tapissés de miroirs car tout ce qu'ils perçoivent sous l'eau de leur environnement carcéral, c’est le reflet de leur propre image et l’écho constant de leurs propres voix, superposées à une musique de spectacle diffusée à plein volume.
\r\nLe public est invité à y passer quelques minutes pour se rendre compte... Pamela Anderson qui a inauguré le Tilikum Tank à Cannes en Mai 2016 dira au sujet de l'expérience : \"Je n'ai même pas réussi à y rester pendant les trois minutes requises et, lorsque j'en suis ressortie, j'avais envie de mordre quelqu'un. Je ne peux imaginer l'enfer que ça doit être de passer toute sa vie dans des conditions pareilles\"
\r\nLe problème éthique :
\r\nEnfermer à vie ceux que l'on aime, en disposer à volonté et contre leur gré : est ce cela le message que l'on veut transmettre à nos enfants ?\r\n
Lamya Essemlali -Présidente Sea Shepherd France
Finalement, imposer des conditions de vie contre nature à des êtres intelligents, sensibles et conscients dans l'unique but de proposer au public des spectacles payants ne devrait pas être présenté aux enfants comme une démarche morale et éthique acceptable. Les animaux deviennent des biens de consommation, objets de divertissement à l'instar d'une sortie au cinéma ou d'un jeu vidéo. Il n'est fait aucun cas du fait que ces animaux n'ont pas choisi d'être là et qu'une fois le spectacle terminé, le public rentre chez lui mais les animaux eux, restent où ils sont, voir sont déplacés dans des bassins encore plus petits. Le respect et l'empathie sont des notions essentielles à transmettre aux jeunes générations, ces spectacles sont aux antipodes de ces valeurs.
\r\nL'argument fallacieux de la conservation des espèces :
\r\nLe Marineland d'Antibes ainsi que d'autres delphinariums prétendent que la captivité présente un intérêt de conservation des espèces menacées dans leur milieu naturel. Or, les espèces que l'on retrouve le plus en captivité ne sont pas celles dont les populations sauvages sont les plus en danger, loin de là. Les critères de sélection des espèces candidates à la captivité sont surtout liés à leur résistance au stress du confinement et à leur coopération dans le dressage visant à assurer les spectacles vendus au public. Ainsi, les dauphins Tursiops (Alias Flipper le dauphin) ne sont pas considérés en danger par la CITES (LC : préoccupation mineure). C'est pourtant le dauphin que l'on retrouve le plus en captivité car il est particulièrement sociable et résiste un peu plus longtemps au confinement.
\r\nPar ailleurs, le Marineland n'a aucun programme ni vision, à moyen ou à long terme d'une quelconque remise en liberté des cétacés maintenus captifs à de prétendues fins de conservation. Tous les programmes de conservation authentiques, ont pour but final de renforcer des populations mises à mal dans leur milieu naturel. Dans le cas présent, la seule porte de sortie pour les orques et les dauphins captifs, c'est la mort (ou éventuellement le transfert vers un autre delphinarium).
\r\nOn peut aussi s'interroger sur le bien fondé qu'il peut y avoir pour l'espèce en matière de conservation, à maintenir certains de ses représentants dans des conditions où tous les instincts naturels qui ont permis à l'espèce de survivre jusqu'ici sont muselés (la chasse, la sociabilisation choisie, la migration, l'exploration...).
\r\nL'argument fallacieux de la pédagogie, à la limite de la publicité mensongère :
\r\nDe nombreux enfants de 10 ans savent tout des dinosaures, ils n'en n'ont pourtant jamais vu. Ils ont tout appris dans les livres et dans les reportages\r\n
Capitaine Paul Watson - Fondateur de Sea Shepherd
Les delphinariums prétendent avoir des vertus éducatives mais les animaux sont dressés pour effectuer des numéros stéréotypés qui n'ont rien à voir avec leurs instincts et leurs besoins naturels. Si le public revenait d'une visite au Marineland en connaissant un tant soit peu les orques et les dauphins, l'abbération qui consiste à les maintenir captifs leur sauterait littéralement aux yeux. Or il n'en n'est rien. Si certains visiteurs ne sont pas dupes des apparences et repartent avec un arrière goût amer, beaucoup sont persuadés d'avoir vu des animaux heureux de passer leur existence dans cet espace confiné et de s'offrir en spectacle jour après jour... Ils ne le savent pas mais ils sont passés à côté de la rencontre avec ses animaux extraordinaires et en payant leur entrée pour voir le spectacle, ils ont ajouté un verrou supplémentaire à leur cachot .
\r\nUn parc construit en zone innondable :
\r\nLes innondations d'octobre 2015 ont été catastrophiques pour les animaux du parc. La zone sur laquelle le Marineland a été construit a été classé en zone inondable en 2010. Dérèglement climatique aidant, les risques accrus pour les animaux sont de plus en plus préoccupants. Lors de la dernière innondation, les installations du Marineland ont été endommagées à 90%, les animaux de ferme, des raies, des tortues sont morts noyés et l'orque Valentin est décédée une semaine après le désastre alors que le bassin avait été souillé de manière dramatique (présence notamment d'hydrocarbures dans le bassin). Le Parc avait été complètement dépassé par la violence des innondations et s'était avéré dans l'incapacité de gérer une telle catastophe. C'est pour le moins inquiétant dans le sens où une épée de Damoclès climatique planne désormais sur les animaux.
\r\nLes alternatives pour le Marineland et pour le public :
\r\nL'argument de l'emploi est souvent et logiquement mis en avant pour justifier le maintien en activité du Marineland. Mais si l'argument économique peut se comprendre, un monde où il permet de passer outre l'éthique et la morale ne laisse rien présager de bon. De nombreux exemples dans l'histoire de l'humanité sont là pour en attester. Le Marineland n'est pas obligé de disparaitre, en revanche, il doit évoluer et amorcer dès que possible sa reconversion vers un lieu attractif sans cirque animalier et sans dauphins captifs. Le Parc a tout à gagner à se montrer visionnaire et à anticiper dès aujourd'hui son évolution. Il peut très bien développer les autres secteurs qu'il a mis en place, lancer de vrais programmes pédagogiques et de découverte et pourquoi pas organiser des expéditions en méditerrannée pour permettre au public de rencontrer les dauphins libres dans des conditions d'approche respectueuses. Des rencontres mutuellement consenties... pour changer !
\r\nIl reste aujourd'hui 4 orques captives à Antibes.
\r\nToutes sont nées en captivité, il n'en demeure pas moins que les instincts naturels de ces animaux sont inscrits dans leurs gènes, leurs aptitudes physiologiques et leur sonar restent effectifs et ont évolué pendant des millions d'années pour leur premettre de survivre et de s'épanouir en mer. Une phase d'apprentissage et d'adaptation sera évidemment indispensable mais l'argument selon lequel un animal maintenu captif dans des conditions contre nature, devrait le rester toute sa vie au prétexte qu'il n' a connu que ça, n' a pas plus de sens que d'affirmer qu'un homme né esclave devrait le rester sous prétexte qu'il n' a jamais connu la liberté.
\r\nCe que nous demandons au Marineland d'Antibes :
\r\nSea Shepherd étudie avec des scientifiques, des cétologues et des éthologues les possibilités d'offrir une alternative à la captivité pour les orques et les dauphins captifs - à commencer par ceux du Marineland. Des programmes de réhabilitation dans des baies fermées dans lesquelles les animaux pourraient progressivement renouer avec leurs instincts naturels et apprendre ou ré -apprendre à chasser et à évoluer dans leur milieu d'origine sont à l'étude. Plusieurs lieux pouvant être dédiés à cette étape cruciale sont pressentis et si un travail important et une grosse levée de fonds seront nécessaires pour faire de ce projet une réalité, la contribution effective et la bonne volonté du Marineland pourraient permettre de gagner de précieuses années. Le Parc leur doit bien ça et nous sommes prêts à l'aider dans ce sens.
\r\nTant que la Direction du groupe Parques Reunidos, propriétaire du Marineland, ne s'engagera clairement vers un programme de réhabilitation en milieu naturel des orques et dauphins qu'elle maintient captifs, nous invitons les citoyens conscients et convaincus par cette campagne à boycotter le Parc.
\r\n\r\nMarineland of Antibes is a French theme park founded in 1970 by Roland de la Poype in Antibes, in the Alpes-Maritimes region on the French Riviera. Covering 26 hectares, it includes a marine mammal park with a oceanarium, a water park (Aquasplash), an activity park for children (Kid’s Island), a mini-golf course (Adventure Golf) and a three-star hotel (Marineland Resort).
\r\nToday, it is the property of the Spanish multinational Parques Reunidos, whose main shareholder is the British investment fund Arle Capital Partners. Its current director is Arnaud Palu. In 2014, its turnover came to €37.3 million euros, with net income of €5.5 million.
\r\nCaptivity kills: the figures.
\r\nOceanariums claim that keeping marine mammals captive safeguards them against the many dangers of the ocean. According to this argument, depriving a being of freedom and keeping it in a confined space is doing it a favour. But who would want to live in a jail cell just to avoid the potential risks of the outside world?
\r\nAnd above all, this argument does not hold once we analyse the figures.
\r\nThe National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), which reports to the US State Department, estimates the life expectancy of female orcas living in the wild at between 50 and 60 years, and cetacean researchers have determined that the average life expectancy of orcas in the wild is 30 years for males, and 50 for females. The oldest known wild orca, which lives off the coast of British Columbia and has been named Granny, is now 103 years old. In contrast, at Marineland of Antibes, the average life expectancy of an orca is 18 years (as low as 12 years if stillbirths are counted). The oldest orca they have had, Freya, died of a heart attack at the age of 32.
\r\nOf the 197 captive orcas they had between 1964 and 2010, nearly two-thirds did not survive beyond 10 years in captivity. Fewer than 30 orcas have survived more than 20 years of life in theme-park tanks.
\r\nThe orcas of Antibes:
\r\nAll told, 18 orcas have been kept at Marineland of Antibes. There are now only four left. Two have been transferred to other oceanariums (one of them died five years after its transfer to Taiji, Japan, at the age of 14).
\r\nThe other 12 (including four stillborn orcas) died at Marineland of Antibes at an average age of 18 (12 if the stillbirths are included), which represent lifespans well below those of free orcas.
\r\n\r\n
The eight orcas that died at Marineland of Antibes are, in chronological order:
\r\nAnimals that are inherently unsuited to life in captivity:
\r\nOrcas and dolphins are meant to live in large spaces. They travel dozens if not hundreds of kilometres per day in the wild, which makes it impossible to keep them captive in any way without depriving them of the chance to satisfy their natural instincts. It is not the same as for reef fish, which spend most of their existence on a single reef, and for which captivity poses problems of a different kind.
\r\nOrcas and dolphins are very social animals, with an extremely high level of self-awareness. It is difficult for humans to fully grasp the nature of their sensory, emotional and relational world—and with good reason. Cetaceans are the only mammals with four-lobed brains (from mice to humans, all other mammals have only three lobes). According to researchers, this fourth lobe, which has many convolutions and connections, is the seat of emotions and social relationships. It is thought to be what allows cetaceans to communicate with each other in ways we can barely imagine.
\r\nSonar to see the world with unparalleled levels of sensory acuity.
\r\nCetaceans rely much more on sonar to perceive the world around them than on their eyes. This very effective natural scanner gives them sensory abilities that could inspire screenwriters of superhero films. A dolphin or orca that “looks” at you with its sonar can sense your emotions, state of health and heart rate, detect a tumour and even identify that a woman is pregnant before she herself has realised it.
\r\nA major advantage in the sea, sonar becomes a source of sensory and psychological torture in captivity.
\r\nI couldn’t stay in it even for the recommended three minutes, and when I got out, I wanted to bite someone. I can’t imagine what hell it must be to spend your whole life under conditions like that\r\n
Pamela Anderson speaking about the Tilikum Tank
The sonar that allows free cetaceans to perceive the marine environment with extraordinary acuity is completely unsuited to the dreary environment of a smooth-surfaced tank that constantly reflects their visual and auditory image. It becomes a source of additional stress that augments the animals’ boredom and depression.
\r\nSea Shepherd created the Tilikum Tank—the name pays homage to the orca that captivity turned into a psychotic killer and whose story is covered by the documentary Blackfish—to let people experience for themselves what captivity for these animals is like.
\r\nThe floor and walls are covered with mirrors, since everything the cetaceans perceive in their tiny underwater prisons is their own reflection and the constant echo of their own voices, superimposed over show music blasting at top volume.
\r\nThe public is invited to spend a few minutes in this “tank” to get a better idea. Pamela Anderson, who unveiled the Tilikum Tank in Cannes in May 2016, commented on her experience: “I couldn’t stay in it even for the recommended three minutes, and when I got out, I wanted to bite someone. I can’t imagine what hell it must be to spend your whole life under conditions like that.”
\r\nThe ethical problem:
\r\nLocking those that we love up for life, using them as we wish, against their will: are these the values we want to pass on to our children?\r\n
Lamya Essemlali - President of Sea Shepherd France
Finally, imposing such unnatural living conditions on intelligent, sensitive and self-aware beings for the sole purpose of entertaining the public in return for money should not be presented to children as an acceptable moral and ethical approach. In today’s world, animals seem to have become consumer goods—objects of entertainment like the cinema or a video game. Nothing is said about the fact that these animals did not choose to be there and that once the show is over, the spectators can go home but the animals must stay where they are and are sometimes moved to even smaller tanks. Respect and empathy are essential values to pass on to the younger generations, but these performances are the polar opposite of those concepts.
\r\nThe fallacious argument of species conservation:
\r\nMarineland of Antibes and other oceanariums claim that captivity helps ensure the conservation of species that are endangered in their natural habitats. But the species most often found in captivity are not the ones whose wild populations are in danger?far from it. The selection criteria for species targeted for captivity have much more to do with their ability to withstand stress under conditions of confinement, and their cooperativeness, so they can be trained to perform for paying audiences. The common bottlenose dolphin (the species used to play the role of Flipper) is not considered endangered by the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES) and has a “low concern” status. However, this is the species most commonly kept in captivity as it is particularly sociable and lives the longest under conditions of confinement.
\r\nMarineland also has no plan or vision, either in the mid or long term, for any release into the wild of the cetaceans it keeps captive on the pretext of conservation purposes. Any authentic conservation programme aims to increase populations that are threatened in their natural habitat. As things stand now, the only way out for captive orcas and dolphins is death (or transfer to another oceanarium).
\r\nWe can also question the logic, for conservation purposes, of keeping some members of a species in conditions that stifle all the natural instincts that have allowed the species to survive this far (hunting, selective socialisation, migration, exploration, etc.).
\r\nThe fallacious argument of the educational role: false advertising
\r\nMany 10-year-old children know everything about dinosaurs even though they’ve never seen one. They learned what they know from books and documentaries\r\n
Captain Paul Watson - Founder of Sea Shepherd
Oceanariums claim to play an educational role, but the animals are trained to perform tricks that have nothing to do with their natural instincts and needs. If the public came away from their visit to Marineland with even a bit of knowledge of orcas and dolphins, the aberration of keeping them captive would be very obvious to them. But this is not what happens at all. Although some visitors are not fooled by appearances and leave Marineland with a bitter taste in their mouth, many truly believe that the animals they have just seen are happy to spend their lives in this confined space and to perform for the crowds day after day. They do not realise that they have just missed out on a real encounter with these extraordinary animals, and that by paying their entrance fee to see the performance, they have added another lock to their prison door.
\r\nA marine park built in an area prone to flooding:
\r\nThe flooding of October 2015 was catastrophic for the animals of the park. The area where Marineland was built was categorised as a flood-prone area in 2010. Thanks to climate change, the heightened risk for the animals is more and more worrying. When this last flood occurred, 90% of Marineland’s facilities were damaged, farm animals, rays and turtles drowned and the orca Valentin died one week after the disaster due to the contamination of her tank (in particular, oil was detected in the water). The Park was completely overwhelmed by the severity of the flooding and showed that it was unable to manage a disaster of this scale. This is quite worrying, since a climate-change sword of Damocles now hangs over the remaining animals.
\r\nAlternatives for Marineland and the public:
\r\nThe employment argument is often put forward, logically enough, to justify keeping Marineland going. The financial argument is understandable, but a world in which this aspect overrides ethical and moral concerns does not auger anything positive. Many examples from human history support this. Marineland is not obliged to close up shop. In fact, it should look toward a new and more ethical future and begin a transformation into an attractive place without an animal circus or captive marine mammals. The park has everything to gain from adopting a visionary attitude and planning its evolution without delay. It can very easily expand the other sectors it has set up, develop truly educational programmes, and even organise expeditions into the Mediterranean to allow the public to encounter free orcas and dolphins under more respectful conditions—encounters based on mutual consent, for a change!
\r\nToday, Marineland of Antibes still has 4 captive orcas.
\r\nAlthough they were all born in captivity, they still have the natural instincts that are encoded in their genes. Their physiological aptitudes and sonar, which have evolved over millions of years to allow them to survive and thrive in the sea, continue to function. A learning and re-adaption phase will obviously be essential, but the argument that an animal that has been held captive under unnatural conditions must stay there the rest of its life because it has known nothing else makes no more sense than to say that a person who was born a slave must remain a slave since he or she has never known freedom.
\r\nWhat we’re asking of Marineland of Antibes:
\r\nSea Shepherd is working with scientists, cetacean specialists and ethologists to identify alternatives to captivity for orcas and dolphins—beginning with the ones at Marineland. We are looking into the possibilities for rehabilitation programmes in enclosed bays, where the animals can gradually reconnect with their natural instincts and learn or relearn to hunt and to interact with their natural habitat. Several places that are suited to this crucial phase have been identified, and although significant efforts and a lot of fundraising will be necessary to make this project a reality, the effective contribution and goodwill of Marineland could help save precious years. The park owes it to them, and we’re ready and willing to help it take the first steps.
\r\nAs long as the management of the Parques Reunidos group, which owns Marineland, fails to make a clear commitment to initiating a programme aimed at rehabilitating the orcas and dolphins it is holding captive, with a view to releasing them into their natural habitat, we urge all conscientious citizens who have been moved by our campaign to boycott this Park.
\r\n--------
Si vous voulez soutenir cette campagne, n'hésitez pas à faire un don à Sea Shepherd France
Depuis maintenant plusieurs années, l'huile de palme se retrouve dans plus de la moitié de nos produits en supermarché. Des biscuits au shampoing en passant par le biocarburant, cette huile a envahi les étalages grâce a son bon rendement et son prix peu coûteux.
\nPourtant l'huile de palme est loin d’être la solution pour une meilleure alimentation. En effet, celle-ci est responsable de la déforestation de masse en Indonésie et en Malaisie d'où 90 % de l'huile de palme provient. Les forêts sont brûlées ou rasées pour laisser place aux plantations de palmiers à huile et cela n'est pas près de changer. 52 millions de tonnes ont été produites l'année dernière et cela pourrait atteindre les 150 millions de tonnes d'ici 2050 avec la Chine et l'Inde très demandeurs.
\n Une biodiversité unique est gravement touchée par ces plantations. L'orang-outan disparaîtra dans 10 ans si rien ne change. De plus, ces plantations affectent les habitants du pays notamment à cause des brûlis qui ont causé plus de 500 000 cas de problèmes respiratoires en 2015.
ll y a quelques mois, le gouvernement français a abandonné l'idée de taxer l 'huile de palme en raison des pressions diplomatiques entre les deux pays. Cela met donc en évidence quel seuls nous, consomm'acteurs pouvons faire changer les choses.
\nLU, entreprise française de biscuits depuis 170 ans, utilise de l'huile de palme dans une grande partie de sa gamme de produits. Depuis quelques années, LU a fait des progrès en utilisant de l'huile de palme « durable RSPO », c'est-à-dire une huile qui doit éviter au maximum la déforestation. Sur le papier cela est juste, mais en réalité ce programme n'est guère fiable car celui-ci a été créé par les entreprises sans aucune participation des communautés donc il n'est pas indépendant et neutre ce qui fait qu'en cas de faute, les condamnations sont pour ainsi dire inexistantes...(aucune plainte n'a abouti depuis sa création.) De plus, selon des associations sur le terrain, l'industrie de l'huile de palme pousse les propriétaires terriens à déforester et à planter du palmier pour par la suite acheter leur récoltes. Dans ce schéma-là, ils peuvent mettre en avant qu'il n'ont pas déforesté... Le programme RSPO donne donc plus de possibilité à l'entreprise dans l’accaparement de terres. Comme si cela ne suffisait pas, l'huile de palme utilise du paraquat, un pesticide très nocif (interdit en Europe) qui assèche les terres. Après 20 ans d'utilisation, la terre n'est plus praticable, les entreprises vont donc planter sur d'autres terrains en attaquant à nouveau la forêt. Cette année la RSPO est allé plus loin en instaurant RSPO NEXT, une fois de plus l'idée est bonne mais en réalité cela est très peu efficace.Le programme est toujours instauré par RSPO et donc n'est pas en mesure de tenir un discours neutre face aux entreprises. En juin 2016, PanEco une ONG membres de la RSPO a quitté l'organisation en dénonçant son inaction et son manque d'intégrité. Tant que notre demande en huile de palme de baissera pas, les forêts vierges seront toujours en danger quelques soient les programmes mise en place.
\n De plus, en ce qui concerne la santé, l'huile de palme n'est pas bon élève.En effet, selon une récente étude de la EFSA (European Food Safety Authority) l'huile de palme transformée contient des contaminants génotoxiques et cancérigènes formés au cours de son raffinage.
\n\"L’EFSA a évalué les risques sanitaires associés aux substances toxiques se formant lors du raffinage à chaud (environ 200°C) des huiles végétales.
\nL’huile de palme raffinée est particulièrement pointée du doigt à cause de sa teneur très élevée en esters glycidyliques d’acides gras (GE), 3-MCPD et 2-MCPD\" Une étude d'autant plus inquiétante pour l'entreprise Lu car sa clientèle est jeune.
Suite a une pétition ayant récolté plus de 204 000 signatures sur change.org (Change.org/Lesecretduprince) demandant à LU de retirer l'huile de palme, nous lançons une campagne de boycott pour que cette marque emblématique du marché français montre le bon exemple en créant un programme de substitution de l'huile de palme. Ce programme s'établirait sur un moyen terme pour laisser à l'entreprise le temps de changer d'huile. Plusieurs marques ont déjà franchi le pas comme Harry's, Blédina ou Bjorg qui sont en processus de substitution. Saint Michel, Findus ou encore Jardin Bio ont terminé ce processus et proposent des produits sans huile de palme.
","author":"57c5f03e1109a089256f2324","lang":"fr","nbSupporters":24,"feedback":"","resume":"L’entreprise LU utilise de l’huile de palme dans une grande partie de ses produits. Il y a pourtant autour de cette huile de nombreuses revendications : \n- Elle est responsable de la déforestation de masse en Indonésie et en Malaisie ;\n- La biodiversité de ces lieux est gravement impactée par la plantation des palmiers ;\n- Les brûlis effectués pour la plantation des palmiers affectent la santé des habitants (+ de 500 000 cas de problèmes respiratoires en 2015) ;\n- Le paraquat, un pesticide très nocif interdit en Europe, est largement employé pour ces plantations. C'est un produit toxique qui assèche les terres ;\n- Selon une étude de la EFSA (European Food Safety Authority), l’huile de palme contiendrait des contaminants génotoxiques et cancérigènes formés au cours de son raffinage ;\n- Le programme RSPO (certification de l'huile de palme \"durable\"), est créé par les entreprises, pour les entreprises, sans aucune participation des communautés locales. En cas de non-respect, les condamnations sont pour ainsi dire inexistantes.\n\nNOTRE REVENDICATION :\nLU doit montrer le bon exemple en créant un programme de substitution de l’huile de palme. \n\nSOURCES :\n- Le jeune engagé, L'huile de palme durable achève les dernières forêts indonésiennes (en ligne), 2018. https://www.lejeuneengage.com/actus/lhuile-de-palme-durable-acheve-les-dernieres-forets-indonesiennes\n\n- Greenpeace, Huile de palme : compte à rebours final (en ligne), 2018. https://www.greenpeace.fr/huile-de-palme-compte-a-rebours-final/\n\n- Le plus Nouvel Obs, Huile de palme \"durable\" : un outil de greenwashing pour berner le consommateur (en ligne), 2018. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1308464-huile-de-palme-durable-un-outil-de-greenwashing-pour-berner-le-consommateur.html","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2024-10-21T09:58:38.971Z","fullName":"Hélèna Hélèna","lastName":"Hélèna","firstName":"Hélèna","_id":"6702a34efb3a8c3d5b5cee28","values":["Facebook"]},{"date":"2023-05-27T15:45:52.191Z","fullName":"Isabelle Guerbe","lastName":"Guerbe","firstName":"Isabelle","_id":"647220399a2ce9150a562aaf","values":["URL"]},{"date":"2023-04-30T17:34:29.858Z","fullName":"Florian Royen","lastName":"Royen","firstName":"Florian","_id":"644ea2a79a2ce9150a562a21","values":["URL"]},{"date":"2022-10-03T14:49:18.658Z","fullName":"Anouar OUGRI","lastName":"OUGRI","firstName":"Anouar","_id":"633af5edec81e1b324ae17c4","values":["Facebook","Facebook"]},{"date":"2022-06-10T14:38:58.816Z","fullName":"Sarah Duval","lastName":"Duval","firstName":"Sarah","_id":"62a34c8701ea30d73eac0642","values":["Facebook"]},{"date":"2022-06-01T11:55:36.787Z","fullName":"Nicolas RAVAT","lastName":"RAVAT","firstName":"Nicolas","_id":"629752c001ea30d73eac0624","values":["Twitter"]},{"date":"2022-05-27T23:42:49.977Z","fullName":"Yanis Bair","lastName":"Bair","firstName":"Yanis","_id":"6290d78e09f87f5319ead1eb","values":["URL"]},{"date":"2022-04-06T18:39:05.590Z","fullName":"Patricia Boulet","lastName":"Boulet","firstName":"Patricia","_id":"624ddd6109f87f5319ead167","values":["Facebook"]},{"date":"2022-01-19T16:13:32.539Z","fullName":"Margaux Deschatrette","lastName":"Deschatrette","firstName":"Margaux","_id":"61e8345d01ea30d73eac0496","values":["URL"]},{"date":"2021-10-15T19:56:45.553Z","fullName":"Elise Richard","lastName":"Richard","firstName":"Elise","_id":"6169dd3309f87f5319eaced2","values":["URL"]},{"date":"2021-10-14T14:39:25.216Z","fullName":"Samir NABLI","lastName":"NABLI","firstName":"Samir","_id":"616840c001ea30d73eac02ee","values":["URL"]},{"date":"2021-10-07T07:08:40.217Z","fullName":"Gizel InsixcinqHp","lastName":"InsixcinqHp","firstName":"Gizel","_id":"615e9a5001ea30d73eac0281","values":["URL"]},{"date":"2021-10-03T11:22:05.083Z","fullName":"Musso Musso","lastName":"Musso","firstName":"Musso","_id":"61598d9f01ea30d73eac0239","values":["Facebook"]},{"date":"2021-10-01T06:20:32.453Z","fullName":"Aline Soulier","lastName":"Soulier","firstName":"Aline","_id":"576c0207e5ced74c3641f44d","values":["URL"]},{"date":"2021-08-25T14:30:39.367Z","fullName":"Bruno Flechard","lastName":"Flechard","firstName":"Bruno","_id":"61255587bffcd3bf232bf450","values":["Facebook"]},{"date":"2021-08-21T22:48:49.732Z","fullName":"Thomas SCHMIDT","lastName":"SCHMIDT","firstName":"Thomas","_id":"61217041e8699a0639b92545","values":["Email","URL"]},{"date":"2021-07-18T09:55:44.828Z","fullName":"Érick Pouget","lastName":"Pouget","firstName":"Érick","_id":"60f3f87ce8699a0639b924aa","values":["Email"]},{"date":"2021-06-24T17:14:08.903Z","fullName":"Amandine Penalva","lastName":"Penalva","firstName":"Amandine","_id":"57f22dc65341790e1419e58f","values":["Facebook"]},{"date":"2021-06-12T19:46:38.319Z","fullName":"Pierre Fouillot","lastName":"Fouillot","firstName":"Pierre","_id":"6010773bcd3062493819e360","values":["URL"]},{"date":"2021-05-24T20:31:18.543Z","fullName":"Sophie Reichhardt","lastName":"Reichhardt","firstName":"Sophie","_id":"5bdb7c98762b68ee38616239","values":["Facebook","Facebook"]},{"date":"2021-05-12T09:02:09.257Z","fullName":"Rameau Isabelle","lastName":"Isabelle","firstName":"Rameau","_id":"5bbdf62e43cd7dc86b0ebc67","values":["URL"]},{"date":"2021-04-21T06:08:39.668Z","fullName":"cathie gendronneau","lastName":"gendronneau","firstName":"cathie","_id":"607fc0506ad9450a0f8f203d","values":["Facebook"]},{"date":"2021-04-18T19:50:05.621Z","fullName":"Nathalie Guyonvarch","lastName":"Guyonvarch","firstName":"Nathalie","_id":"607c8c07d1c9a4c815cd6975","values":["Twitter","Email"]},{"date":"2021-02-13T08:58:12.276Z","fullName":"Sebastien Meseray","lastName":"Meseray","firstName":"Sebastien","_id":"6027931c0670dcbd20fc104a","values":["Facebook"]},{"date":"2021-02-13T07:00:16.087Z","fullName":"Isabelle Charvoz Fèche","lastName":"Charvoz Fèche","firstName":"Isabelle","_id":"602776b08043c4e17f8ba0fe","values":["Facebook","URL","Facebook"]},{"date":"2021-02-05T21:23:36.638Z","fullName":"MELISSA JACQUET","lastName":"JACQUET","firstName":"MELISSA","_id":"5a9c2bdda3d6376652e1b8c8","values":["Facebook"]},{"date":"2021-02-01T22:19:16.368Z","fullName":"Appolline Mouton","lastName":"Mouton","firstName":"Appolline","_id":"60187baeb8ffac3b7a1ecb82","values":["Facebook"]},{"date":"2021-01-28T20:46:01.116Z","fullName":"Enora Barralon","lastName":"Barralon","firstName":"Enora","_id":"601320608d3e71490e17da37","values":["URL"]},{"date":"2021-01-28T14:58:32.783Z","fullName":"Luc Goossens","lastName":"Goossens","firstName":"Luc","_id":"6012bc8f8d3e71490e17da1e","values":["URL"]},{"date":"2021-01-26T08:19:37.764Z","fullName":"Severin MEYNIER","lastName":"MEYNIER","firstName":"Severin","_id":"600fcef7cd3062493819e34c","values":["URL"]}],"lastDonators":[{"date":"2021-12-19T19:52:33.216Z","fullName":"Guy Brebion","lastName":"Brebion","firstName":"Guy","_id":"61bf8e3009f87f5319ead00e"},{"date":"2021-10-13T06:37:26.055Z","fullName":"Agathe Le Brun","lastName":"Le Brun","firstName":"Agathe","_id":"61667de901ea30d73eac02d9"},{"date":"2021-02-05T19:04:30.857Z","fullName":"Loraine VINOT","lastName":"VINOT","firstName":"Loraine","_id":"601d95e08043c4e17f8ba054"},{"date":"2021-01-27T20:01:31.784Z","fullName":"Jérôme GAILLARD","lastName":"GAILLARD","firstName":"Jérôme","_id":"6011c647cd3062493819e390"},{"date":"2021-01-05T16:57:55.476Z","fullName":"celine varea","lastName":"varea","firstName":"celine","_id":"5ff498a3019892386425a908"}]},"couldBeTopListed":false,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"57eac7785341790e1419e314","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2016-09-27T19:24:40.036Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"Travail des enfants & Cacao : Mondelez (propriétaire de Lu) enfin devant la justice américaine !","content":"C’est une première. Le 12 février dernier, l’ONG américaine International Rights Advocate (IRA) a déposé une action en justice au niveau fédéral à l’encontre des grandes multinationales du cacao, parmi lesquelles Mondelez, la société propriétaire de LU.
\nCe sont presque toutes les multinationales du cacao qui vont finalement passer devant la justice américaine : Mars, Mondelez, Hershey, Barry Callebaut et Olam.
Ces groupes ont reconnu implicitement le travail des enfants de 5 à 17 ans dans le secteur du cacao dès 2001 et s’étaient engagés à remédier à cela en diminuant de 70% le travail d’enfant d’ici 2020. Cet objectif est passé à 75% d’ici 2025. Cependant, entre 2015 et 2018, il y a eu une augmentation de 14% du nombre d’enfant travaillant sur des plantations de Côté d'Ivoire et du Gana (principaux exportateurs de Cacao).
\n
\nAujourd’hui, un peu plus d'1,5 million d’enfants travaillent dans ces plantations, soit 10% du nombre d’enfants en France par exemple.
En Côte d’Ivoire, 38% des enfants vivants dans des foyers agricoles travaillent dans les plantations de cacao (37% de travail dangereux) et 55% au Ghana (51% de travail dangereux). Sur la même période, le travail d’enfant dans ces deux pays a augmenté de 14%.
\nSource : http://www.commodafrica.com/24-02-2021-les-multinationales-du-chocolat-assignees-en-justice-aux-etats-unis-pour-le-travail-des
\n
\n
Bonjour consommateurs engagés,
\r\nPlus de 30 000 boycottants ont décidé de ne plus consommer les produits LU tant que l'entreprise n'arrête pas avec l'utilisation d'huile de palme. Depuis plus de 2 ans, notre combat continue pour permettre de protéger les forêts indonésiennes et malaysiennes en dénonçant la destruction de la biodiversité causée par la production excessive d'huile de palme.
\r\nSuite à cette importante mobilisation, nous aimerions savoir l'impact de notre boycott sur l'entreprise. En effet, le but du boycott est de pénaliser une entreprise financièrement lorsqu'elle ne respecte pas nos valeurs ou notre éthique.
\r\nLe questionnaire qui suit permettra de connaitre l'impact financier de notre boycott, et permettre de visualiser notre poids en tant que citoyen engagé.
\r\nVous pouvez donc répondre au questionnaire ci-contre pour nous aider à découvrir ces chiffres.
\r\nMerci pour votre engagement, et votre aide.
\r\nLe lien du questionnaire : https://forms.gle/6NBUEFtYV8efXx2z8
\r\nJohan pour le Jeune Engagé.
","_id":"5cfa3c4e62d90bf14257f906","created":"2019-06-07T10:28:30.124Z"},{"title":"L'huile de palme et abus sociaux","content":" Nouveau scandale dans la production d'huile de palme, L'organisation Amnesty International vient de mettre à la lumière du jour l'exploitation d'enfants et nombreux abus dans la production d'huile de palme. Cette étude s'appuie sur des investigations en Indonésie sur des plantations appartenant au grand groupe de matières agricoles Wilmar détenant plus de 43 % du marché international de l'huile de palme. Des plantations « durables » sont concernées.
\n
Les abus constatés sont l'emploi d'enfants âgés de 8 à 14 ans transportant des sacs pesant de 12 à 25 kg sans aucune protection et exposés à des pesticides nocifs. De plus, nombre de femmes seront contraintes de travailler pendant de longues heures sous menace de réduction de salaire. Un salaire qui avoisine les 2,30 euros par jour.
\n
Selon Amnesty, les sociétés « ferment les yeux sur l'exploitation de travailleurs dans leur chaîne de fabrication » et de « grandes marques continuent de profiter de pratiques illicites déplorables »
\nCes mêmes marques « assurent aux consommateurs que leurs produits sont composés d'huile de palme durable »
\n
« Il n'y a rien de durable dans l'huile de palme produite en faisant travailler des enfants et en ayant recours à des travaux forcés. Les atteintes aux droits humains découvertes au sein des activités d'huile de palme de Wilmar ne sont pas des cas isolés. »
\n
Ces conclusions jettent donc un doute sur les garanties du label « durable » celui que LU utilise.
\n
« Ce rapport montre clairement que les entreprises se servent de la Table Ronde (RSPO) comme protection pour éviter une surveillance accrue. Notre enquête à révélé que ces entreprises affichent une politique rigoureuse sur le papier mais qu'aucune n'a pu prouver qu'elle avait identifié des risques évidents d'atteintes aux droits humains dans la chaîne d’approvisionnement de Wilmar »
\n
Contrairement au message véhiculé par les multinationales , l'huile de palme n'est pas une ressource « Durable » puisque la transparence manque cruellement et les contrôles sont inexistants. Plus nous continuerons à faire de l'huile de palme, la seule huile utilisé dans nos produits, plus nous participerons à ces abus intolérables.
\n
LU doit s'engager à ne plus utiliser d'huile de palme dans ces produits pour ne pas favoriser une industrie qui ne prend pas en compte les enjeux environnementaux et sociaux. LU est une marque française de renom qui peut se passer d'huile de palme.
\n
Propos recueilli sur le rapport : Le scandale de l'huile de palme. De grande marques tirent profit de l'exploitation des ouvriers.
\nAmnesty International novembre 2016
\n
Le Jeune Engagé
","_id":"5859af658b1a52531c772f98","created":"2016-12-20T22:23:33.606Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":3,"loyalValue":16,"show":true},"followers":{"notCustomer":729,"occasional":2089,"loyal":514,"waiting":0,"total":37346,"current":37345,"goal":5000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/57c6012d1109a089256f2337.jpg","share":{"hashtag":"iBoycottLU","tinyUrl":"https://tinyurl.com/iq1rxxrl"},"sources":["https://www.change.org/LuStopHuileDePalme","http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1308464-huile-de-palme-durable-un-outil-de-greenwashing-pour-berner-le-consommateur.html","https://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/160503a"],"company":{"name":"Entreprise LU","email":"standard.clamart@mdlz.com"},"categories":["environment","animals","alimentation"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-04-21T10:00:00.177Z","statusUpdated":"2021-01-27T13:18:37.505Z","created":"2016-08-30T21:57:01.521Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"57c6012d1109a089256f2337"},{"slug":"coca-cola-le-desastre-du-plastique-et-le-pillage-de-l-eau","title":"Coca-Cola : le désastre du plastique et le pillage de l’eau","content":" En France, c'est en 1975 que Coca-Cola abandonne les bouteilles en verre consignées pour passer au plastique, en ayant conscience des conséquences environnementales que ce choix engendrait. Aujourd'hui les faits sont là : le plastique est devenu une réelle catastrophe environnementale :
\r\n
\r\n « Chaque seconde dans le monde, nous produisons 10 T de plastique et toutes les 2 secondes 1 T finit dans les océans. En 2050 il pourrait y avoir plus de plastique que de poissons dans la mer. » : C’est ce qu'a mis en lumière le reportage Cash investigation très récemment.
Le plastique est un cocktail de substances chimiques et ne disparaît jamais complètement. En effet, les particules dégradées de plastiques sont une source de pollution inquiétante pour la planète, elles mettent notamment les écosystèmes océaniques en danger et provoquent la mort des animaux marins. On estime à 5 000 milliards le nombre de particules qui flottent dans l'océan et s'étendent sur des millions de kilomètres carrés.
\r\nL’entreprise Coca-Cola participe activement à cette immense pollution puisque c'est 120 milliards de bouteilles en plastique produites par an par la marque, soient environ 80 bouteilles chaque seconde.
\r\nLa marque se targue d'avoir des objectifs de réduction des déchets, cependant dans les faits elle ne prend pas d'engagements significatifs. Alors que son objectif était d'atteindre 25 % de plastique recyclé et recyclable dans une bouteille, aujourd'hui, en 2018, cela ne représente que 7 %. La marque a, par ailleurs, signifié son ambition d'atteindre : « un monde sans déchet d'ici 2030 ». Cependant si elle ne tient même pas ses objectifs de 2015, compte-t-elle réellement prendre des engagements pour 2030, ou n'est-ce qu'une volonté de greenwashing ?
\r\nDe plus, la situation est encore plus grave qu'il n'y paraît ; le système de recyclage adopté par Coca-Cola nécessite, in fine, l'augmentation de la consommation de plastique. En effet, même si la marque met en avant la possibilité d'un recyclage à l'infini du plastique, cela n'est aucunement réalisable : la qualité du plastique se dégrade au fil du processus de recyclage, il en faut donc toujours plus pour produire la matière finale. C'est donc encourager la consommation de plastique afin de disposer de plus de plastique recyclé… Autant dire que c’est le chat qui se mord la queue.
\r\nAussi, dans son Business Plan de 2016, Coca-Cola indique que le système de consigne et l'augmentation de la collecte et du recyclage des emballages sont des menaces à son activité. La marque ne prend donc pas en compte les impératifs environnementaux auxquels nous faisons face aujourd'hui, au contraire elle persiste dans l'utilisation abusive de plastique.
\r\nEn boycottant Coca-Cola, nous demandons aux industriels d'entreprendre des recherches sérieuses sur des alternatives durables au plastique et à les mettre en place. Nous invitons également les gouvernements à prendre des mesures strictes et à sanctionner les entreprises qui prennent part cette catastrophe !
\r\nLa pollution par le plastique n’est malheureusement pas la seule bête noire du géant des sodas. Coca-Cola s'approprie depuis trop longtemps l'ensemble des nappes phréatiques à travers la planète et cela dans le plus grand silence des médias mainstream.
\r\nLa fabrication d' un litre de Coca-Cola nécessite six litres d'eau*, une quantité exponentielle qui prive les populations des pays les plus pauvres d’eau potable :
\r\n
\r\n Coca-Cola estime que puiser l'eau pure des nappes phréatiques minéralisée naturellement équivaut à rejeter des eaux usées préalablement traitées :
Grâce à une utilisation plus efficace de l’eau dans ses usines et à la restitution des eaux usées - une fois traitées - vers les bassins hydrologiques et les municipalités, Coca-Cola est en mesure de renouveler un volume d'eau équivalent à celui qu'elle utilise dans ses boissons et leur production.\r\n
\r\n
Dans cet effort d'évolution, à aucun moment la compagnie n'admet avoir une responsabilité passée, un devoir de réparation, de dédommagement envers les populations dont la souffrance est directement liée à leurs activités. (déshydratation, assèchement des sols, diarrhée, problème d'hygiène corporelle, problème sanitaire, diverses maladies infectieuses, etc.)
\r\n
Les efforts menés par la compagnie Coca-Cola sont louables mais insuffisants au vu et au su de la réalité de terrain comme le montre les documentaires relatant les différents problèmes. Nous considérons qu'ils sont complices et au même titre que Nestlé ou PepsiCo, (portent la responsabilité) ont leur part de responsabilité dans la déstabilisation des sociétés, l'appauvrissement des ressources en eau et la maltraitance de peuples.
\r\n
Une compagnie telle que Coca-Cola avec tant de moyens (41 millards d'euros de chiffre d'affaire annuel) peut sans difficulté muter et s'impliquer d'avantage pour le respect et le partage des ressources. Le profit ne soustrait en rien au devoir de respect de la vie, et même au contraire confère une lourde responsabilité de redistribution équitable. Ce que vous pouvez faire pour vous améliorer ?
\r\n
Boycottons ensemble les marques les plus consommées de la Coca-Cola Company et transmettons-lui un message fort et clair.
\r\n
\r\n Voici la liste des marques de Coca-Cola Compagny qui participent aux pillages des ressources naturelles en eau de la planète :
Consommer n'est pas un acte anodin, c'est pourquoi nous sommes heureux de vous voir nous suivre et nous vous remercions de soutenir et partager cette campagne. Devenir acteur de notre consommation est indispensable pour que demain devienne le monde dans lequel nous souhaitons voir nos enfants évoluer.
\r\nNous n'héritons pas la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants.\r\n
\r\nSt Exupéry
Prenez 2 minutes pour Liker et Partager la page Mítí'Lab
\r\n* Entre 2,5L et 6L selon les sources ayant (investigué) enquêté sur le sujet. 6L étant la valeur diffusée sur la chaine française Public Sénat que nous avons retenue comme valeur de référence.
","author":"581f3656a9a79a34495d22b7","lang":"fr","nbSupporters":75,"feedback":"","resume":"Plastique :\nEn 2050 il pourrait y avoir plus de plastique que de poissons dans la mer , et Coca-Cola c'est :\n\n- 180 milliards de bouteilles en plastique produites par an, soit 200 000 par minute ;\n- Un objectif de 25 % de plastique recyclé et recyclable dans une bouteille en 2015, alors qu'aujourd'hui en 2018, cela ne représente que 7 % ;\n- Une utilisation de plastique recyclé qui n'est pas viable, au fil du processus de recyclage le plastique se dégrade, il en faut donc toujours plus pour produire la matière finale.\n\nIl est temps d'entreprendre des recherches sérieuses sur des alternatives durables au plastique et de les mettre en place !\n\nPillage de l'eau (données de 2006) :\nLa fabrication d'un litre de Coca-Cola nécessite 6L d'eau, une quantité exponentielle qui prive d'eau potable les populations des pays les plus pauvres : \n\n- À San Cristobal au Mexique, Coca-Cola extrait 750 000 L d'eau par jour ;\n- En Inde, Coca-Cola extrait 1,5 millions de L d'eau par jour ;\n- Au total, plus de 300 milliards de litres tous continents confondus.\n- Ce manque d'accès à l'eau amène : déshydratation, assèchement des sols, diarrhée, problème d'hygiène corporelle, problème sanitaire, diverses maladies infectieuses, etc.\n\nPlutôt que d'utiliser l'eau des nappes phréatiques et de rejeter des eaux usées traitées, demandons à Coca-Cola d'utiliser de l'eau traitée pour sa production.\n\nSOURCES :\n- Coca-Cola avoue produire 3 millions de tonnes de plastique par an, L'Express, mars 2019. https://tinyurl.com/lexpress-coca-cola-plastique\n\n- Plastique, la grande intox, Cash investigation, 2018. https://www.youtube.com/watch?v=wZT3drAYIzo\n\n- Mexique : l’amère patrie du Coca, Complément d'enquête, France 2, 18 janvier 2018. https://www.youtube.com/watch?v=1zeTSTS91mU\n\n- L'eau pompée de Coca-Cola, Arte, 2006. https://vimeo.com/129170639","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2024-10-15T15:25:29.447Z","fullName":"Jérôme Parmentier","lastName":"Parmentier","firstName":"Jérôme","_id":"670e8645397a51b470e8481f","values":["URL"]},{"date":"2024-10-13T06:38:30.786Z","fullName":"Pierre-Yves Noyer","lastName":"Noyer","firstName":"Pierre-Yves","_id":"670b65fb397a51b470e847f3","values":["URL"]},{"date":"2024-10-09T19:34:18.702Z","fullName":"Cécile Monard","lastName":"Monard","firstName":"Cécile","_id":"6706d8fca6e306a3397720cf","values":["URL"]},{"date":"2024-09-30T20:25:03.645Z","fullName":"Marianne Marianne","lastName":"Marianne","firstName":"Marianne","_id":"66fb0859f4dc11fd1ce05867","values":["Facebook"]},{"date":"2023-06-12T06:45:13.997Z","fullName":"Vanina Baulieu","lastName":"Baulieu","firstName":"Vanina","_id":"648575e5718541b75b9f3202","values":["Facebook"]},{"date":"2023-06-11T18:42:17.667Z","fullName":"Aurelie Trunet","lastName":"Trunet","firstName":"Aurelie","_id":"64861500718541b75b9f321c","values":["URL"]},{"date":"2023-06-10T17:57:21.804Z","fullName":"Stéphanie Jaumouillé","lastName":"Jaumouillé","firstName":"Stéphanie","_id":"6484b51f718541b75b9f31f9","values":["Facebook"]},{"date":"2022-10-03T14:58:50.389Z","fullName":"Anouar OUGRI","lastName":"OUGRI","firstName":"Anouar","_id":"633af5edec81e1b324ae17c4","values":["Facebook"]},{"date":"2022-09-19T20:48:08.842Z","fullName":"Pierre Barrault","lastName":"Barrault","firstName":"Pierre","_id":"6328d3a3f1c71fc96491fc1b","values":["URL"]},{"date":"2022-09-05T18:00:03.963Z","fullName":"Ash Kalinowska","lastName":"Kalinowska","firstName":"Ash","_id":"63163a0aec81e1b324ae1785","values":["Twitter"]},{"date":"2022-08-29T22:06:25.422Z","fullName":"marjorie drobik","lastName":"drobik","firstName":"marjorie","_id":"630d3310f1c71fc96491fbf4","values":["URL"]},{"date":"2022-06-30T08:30:55.589Z","fullName":"Laura Nivon","lastName":"Nivon","firstName":"Laura","_id":"5c2485916ec07a06211193b2","values":["URL"]},{"date":"2022-06-28T18:23:32.137Z","fullName":"Nadege Cubizolles","lastName":"Cubizolles","firstName":"Nadege","_id":"62bb464aec81e1b324ae170a","values":["URL"]},{"date":"2022-06-07T18:49:29.671Z","fullName":"Laurent Baldovino","lastName":"Baldovino","firstName":"Laurent","_id":"629e5a4701ea30d73eac0638","values":["Twitter"]},{"date":"2022-04-06T18:32:44.756Z","fullName":"Patricia Boulet","lastName":"Boulet","firstName":"Patricia","_id":"624ddd6109f87f5319ead167","values":["Facebook"]},{"date":"2022-02-06T03:38:53.317Z","fullName":"christine hans","lastName":"hans","firstName":"christine","_id":"61ff421901ea30d73eac04da","values":["Facebook"]},{"date":"2022-01-19T16:18:01.585Z","fullName":"Margaux Deschatrette","lastName":"Deschatrette","firstName":"Margaux","_id":"61e8345d01ea30d73eac0496","values":["URL"]},{"date":"2021-12-16T15:15:45.644Z","fullName":"Audrey ROUS","lastName":"ROUS","firstName":"Audrey","_id":"61bb548709f87f5319ead00a","values":["URL"]},{"date":"2021-11-24T18:53:25.760Z","fullName":"Coralie Garcia","lastName":"Garcia","firstName":"Coralie","_id":"619e892d09f87f5319eacfc2","values":["URL"]},{"date":"2021-11-08T07:08:12.555Z","fullName":"Dagmara Rozkuszka Roufineau","lastName":"Rozkuszka Roufineau","firstName":"Dagmara","_id":"6188c9eb01ea30d73eac03c5","values":["Facebook"]},{"date":"2021-10-18T10:57:48.698Z","fullName":"Ludovic Grignion","lastName":"Grignion","firstName":"Ludovic","_id":"60144542b8ffac3b7a1ecb27","values":["URL"]},{"date":"2021-10-17T14:19:06.979Z","fullName":"Benoit Maury","lastName":"Maury","firstName":"Benoit","_id":"616c304609f87f5319eacf02","values":["Facebook"]},{"date":"2021-10-16T20:03:43.412Z","fullName":"Anne-Cécile LE COZ","lastName":"LE COZ","firstName":"Anne-Cécile","_id":"616b2e3901ea30d73eac031a","values":["URL"]},{"date":"2021-10-16T17:01:30.647Z","fullName":"Catherine Labarchede","lastName":"Labarchede","firstName":"Catherine","_id":"616b05b309f87f5319eacee3","values":["URL"]},{"date":"2021-10-16T13:45:08.348Z","fullName":"Adèle Alonso","lastName":"Alonso","firstName":"Adèle","_id":"616ad66801ea30d73eac0312","values":["URL"]},{"date":"2021-10-13T17:08:35.739Z","fullName":"Pauline Audibert","lastName":"Audibert","firstName":"Pauline","_id":"6167125101ea30d73eac02df","values":["URL"]},{"date":"2021-10-07T06:59:32.526Z","fullName":"Gizel InsixcinqHp","lastName":"InsixcinqHp","firstName":"Gizel","_id":"615e9a5001ea30d73eac0281","values":["URL"]},{"date":"2021-09-21T09:10:06.077Z","fullName":"I-boycott Association","lastName":"Association","firstName":"I-boycott","_id":"aaaaaaaabbbbbbcccc00000b","values":["URL"]},{"date":"2021-09-14T17:42:24.470Z","fullName":"Philippine Dorane","lastName":"Dorane","firstName":"Philippine","_id":"57a388e3b60f2c527538584a","values":["Facebook"]},{"date":"2021-08-25T14:36:06.279Z","fullName":"Yvanna Pbf","lastName":"Pbf","firstName":"Yvanna","_id":"606ed8736ad9450a0f8f1e3f","values":["URL"]}],"lastDonators":[{"date":"2024-10-21T13:23:38.914Z","fullName":"Pascale NOEL","lastName":"NOEL","firstName":"Pascale","_id":"6702c45dfb3a8c3d5b5cee32"},{"date":"2022-01-29T17:29:25.701Z","fullName":"Olivier Mortier","lastName":"Mortier","firstName":"Olivier","_id":"607e7a236ad9450a0f8f1f81"},{"date":"2021-10-16T13:28:10.019Z","fullName":"Cécile LIVET","lastName":"LIVET","firstName":"Cécile","_id":"616ad2f909f87f5319eacedd"},{"date":"2021-06-03T16:05:02.821Z","fullName":"David Bard","lastName":"Bard","firstName":"David","_id":"5f7d841a2cc76fc314eea20a"},{"date":"2021-05-21T08:23:12.562Z","fullName":"Franck Desfrançais","lastName":"Desfrançais","firstName":"Franck","_id":"5fa2717b2c885ed773d77ad5"},{"date":"2021-04-20T11:17:03.611Z","fullName":"Pierre-Manuel Da Silva","lastName":"Da Silva","firstName":"Pierre-Manuel","_id":"607eb6efd1c9a4c815cd6a85"},{"date":"2021-03-06T03:19:59.933Z","fullName":"Julie Vilnet","lastName":"Vilnet","firstName":"Julie","_id":"6042f3366019aa266770b7c5"},{"date":"2021-01-30T18:17:13.240Z","fullName":"Christophe ALAGAPIN","lastName":"ALAGAPIN","firstName":"Christophe","_id":"6015a0f66c13ce4f2237c9b0"},{"date":"2021-01-29T13:57:37.507Z","fullName":"Nicolas Boulard","lastName":"Boulard","firstName":"Nicolas","_id":"601413966c13ce4f2237c98f"},{"date":"2021-01-05T17:17:12.919Z","fullName":"Vincent Sourice","lastName":"Sourice","firstName":"Vincent","_id":"5ff49e36019892386425a909"}]},"couldBeTopListed":false,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"582c4a1d1a310c4f7ec70b19","commitment":"[...suite]
Dès 2009, The Coca-Cola Company a été précurseur en matière d’emballage durable avec la PlantBottle, une bouteille 100% recyclable constituée en partie de plantes grâce à une technologie unique basée sur l’utilisation de bioplastiques. Le brevet a d’ailleurs été rendu accessible à la concurrence afin de déployer ce type de bouteilles.
Un récent partenariat stratégique va nous permettre d’aller encore plus loin. Grâce à un accord avec Indorama Ventures, Mares Circulares et Ioniqa Technologies, nous avons pu créer cette année un prototype de bouteille en plastique en PET constitué à 25% de déchets plastiques collectés en mer.
Cette innovation illustre la perspective d’une possibilité de recycler le plastique à l’infini.
Notre stratégie vise à créer une véritable économie circulaire des emballages. Notre conviction est en effet que le problème réside moins dans l’existence du plastique que sur le fait qu’il puisse finir en déchets sauvage. En effet, bien collecté et recyclé, le plastique est un matériau très adapté au packaging alimentaire.
C’est un matériau réutilisable à l'infini dès lors qu’il est produit puis collecté pour être recyclé et réutilisé pour du packaging alimentaire ou à d’autres fins. Le plastique est un matériau sûr tant d’un point de vue d’usage que sanitaire : le plastique se brise moins souvent que le verre et surtout prolonge la durée de vie des aliments.
Enfin, il est plus léger que la plupart des matériaux, son empreinte carbone est donc moindre. Par exemple, les bouteilles en verre, plus lourdes, entraînent une consommation de carburant plus élevée lors de leur transport.
NOS ENGAGEMENTS ET ACTIONS EN MATIERE DE PRESERVATIONS DES RESSOURCES NATURELLES EN EAU
Les données mises en avant sur ce site concernant notre gestion des ressources en eau dans le monde, au Mexique et en Inde datent de 2006. Aussi, elles nécessitent les mises à jour suivantes.
Pour produire ses boissons, Coca-Cola utilise avant tout de l’eau. Conscients de notre rôle vis-à-vis de cette ressource essentielle, Coca-Cola s'est fixé un objectif à l'horizon 2020 : restituer 100 % de l'eau que nous utilisons pour la fabrication de nos boissons à la nature et aux populations, dans toutes les régions du monde où le Groupe se trouve. Grâce à 248 projets communautaires mis en place dans 71 pays, cet objectif a été atteint dès 2015. Depuis cette date, Coca-Cola restitue à la nature l’équivalent de 100% de l’eau utilisée pour fabriquer ses produits.
Chaque année, le usines de productions de nos partenaires embouteilleurs utilisent l’eau de façon plus efficace, par la réduction des quantités utilisées pour fabriquer un litre de produit, alors même que les volumes de production augmentent. Notre efficacité s’est globalement améliorée de plus de 27 % en 13 ans.
Les rinceuses de bouteilles à air, les convoyeurs lubrifiés à sec et la mise en place de compteurs individuels au sein du parc de machines ont permis l’essentiel de cette réduction. Il faut désormais en moyenne 1,8L d’eau en moyenne dans le monde pour fabriquer 1L de boisson dans les usines d’embouteillages Coca-Cola. Le record mondial de sobriété est actuellement détenu par la France, avec une consommation moyenne, d’1,30L d’eau pour élaborer 1L de boisson.
COCA-COLA SOUTIENT ACTIVEMENT LA COMMUNAUTE DE SAN CRISTOBAL AU MEXIQUE POUR UNE MEILLEURE GESTION DES RESSOURCES EN EAU
Nous reconnaissons les défis auxquels la communauté de San Cristóbal est confrontée, et c'est pourquoi nous travaillons avec elle depuis plus d'une décennie pour fournir des réservoirs d'eau communautaires, des collecteurs d'eau sur les toits et des projets de conservation de l'eau pour aider à résoudre ce problème.
L'extraction d'eau de l'usine de San Cristóbal ne met pas en danger l'approvisionnement local en eau, étant donné que le réseau de distribution de la zone est alimenté par des zones humides et des puits peu profonds. Selon les données de la CONAGUA (dans le rapport \"Statistiques de l'eau au Mexique” de 2014), le fait qu'aucune eau n'atteigne la population répond à un manque d'infrastructures.
En ce qui concerne l'utilisation et la consommation d'eau, le « Programme d'actions et de projets pour la durabilité de l'eau. Vision 2030. État du Chiapas » publié par SEMARNAT (octobre 2012), indique que seulement 1% de la consommation d'eau est destinée à un usage industriel; 71% est utilisé pour les activités agricoles, d'élevage et d'aquaculture; 28% pour un usage public, urbain, domestique et de service.
Dans le cadre de notre engagement à utiliser et à entretenir efficacement l'eau, nous maintenons une norme de consommation de 1,25 litre d'eau par litre de boisson produite, cet indicateur étant une référence en matière d'efficacité internationale dans l'industrie des boissons.
En parallèle, Coca-Cola participe activement aux travaux d’interception et de captage des eaux de pluie, ainsi qu'à la construction d'infrastructures d'exploitation de l'eau à des fins agricoles ou domestiques. Coca-Cola Mexique a permis de construire :
• 26 bassins de rétention des eaux de pluie pour une capacité de plus de 800.000 m3 d'eau
• 363 citernes communautaires, alimentant près de 56.000 personnes en eau
• 16 pépinières communautaires qui produisent plus de 2 millions de plantes par an
• Près de 400 vergers à gestion d'eau optimisée
• Près de 600 toits adaptés à la collecte et au stockage d'environ 13.000 m3 d'eaux de pluie chacun
Ces infrastructures et initiatives auxquelles Coca-Cola participe engendrent également des emplois durables au niveau local. A titre d'exemple :
• L'entretien et la remise en état de chaque bassin de rétention nécessite le travail de 60 personnes,
• Chaque pépinière nécessite 6 personnes à temps complet ainsi que 10 saisonniers,
• Pour chaque citerne, construite en 24 heures, 15 personnes sont nécessaires. Les matériaux sont fournis par Industria Mexicana de Coca-Cola.
CONCERNANT LA SITUATION EN INDE, DES PROGRES IMPORTANTS ONT ETE REALISES
Nous restituons aujourd’hui l’équivalent de 138% de l'eau utilisée pour nos opérations de fabrication.
Grâce à de nombreuses innovations dans le procédé de fabrication, 1,84 litres d’eau y sont aujourd’hui nécessaires pour la production d’un litre de Coca-Cola.
En partenariat avec les ONG locales, les gouvernements et les collectivités, Coca-Cola soutient de nombreux projets dans le pays (notamment par le biais de la Fondation Coca-Cola), grâce auxquels, dès 2010, les enfants de 1 000 écoles ont eu accès à l'eau potable. Plus de 30 000 enfants défavorisés de la région de Chennai bénéficient également de ce programme.
En 2007, la marque a investi 10 millions de dollars dans la création de la Fondation Coca-Cola India.
Ses missions consistent à développer l'accès à une eau de qualité, protéger l'environnement et améliorer les conditions de vie des populations locales.
","content":"Les enjeux environnementaux liés aux emballages et à l’eau sont au cœur des préoccupations de Coca-Cola aussi bien en France qu’au niveau international. Nous avons conscience de notre responsabilité pour résoudre ces problèmes et nous agissons sur plusieurs leviers pour faire en sorte de réduire notre empreinte environnementale.
Nos engagements et actions en matière d’emballages durables
Pour The Coca-Cola Company et ses partenaires embouteilleurs, il est intolérable que les déchets plastiques se trouvent dans des endroits où ils ne devraient pas être : nos mers, nos forêts, nos plages, nos rues…
Notre priorité est donc de pousser à la systématisation de la collecte et du recyclage. Nous1 focalisons notamment notre énergie sur l’économie circulaire afin d'utiliser le moins de plastique vierge possible et d’amoindrir ses chances de finir en déchets (sauvages ou non). C’est tout l’objet de notre feuille de route globale « Un Monde Sans Déchets », qui a fixé en 2017 les grands objectifs suivants :
- Commercialiser des emballages 100% recyclables : c’est aujourd’hui déjà le cas en France pour l’ensemble de nos bouteilles et cannettes
- Intégrer 50% de plastique recyclé dans nos emballages d’ici 2023 en Europe (2030 dans le monde) : objectif déjà atteint cette année pour les bouteilles de 50cl de ses marques Coca-Cola, Fanta et Sprite.
- Faire en sorte que ces emballages soient collectés à 100% d’ici à 2025 en France et 2030 au global
Ci-dessous les grands axes de travail que nous avons mis en place pour réussir à atteindre ces objectifs :
RÉDUIRE NOTRE UTILISATION DE PLASTIQUE VIERGE
- La réduction de plastique dans nos bouteilles et nos emballages
Nous avons réduit de 3000 tonnes notre utilisation de plastique vierge en 2019 soit l’équivalent de
90 millions de bouteilles. Pour parvenir à ce résultat, nous avons par exemple allégé les bouchons des bouteilles en PET de 2,74 grammes à 1,97 grammes, soit une économie de 145 tonnes de plastique vierge. Les bouteilles PET de 50 cl ont été allégées de 8%. Les bouteilles de 1,25L de Coca-Cola, Fanta et Sprite ont été allégées de 15% ce qui représente une économie équivalente à 60 millions de bouteilles.
En 2021, des investissements seront effectués dans les usines de Coca-Cola European Partners France pour que l’ensemble des films plastiques de nos lots de canettes soient substitués par du carton.
- L’intégration de matériaux recyclés (dont le plastique) dans nos bouteilles
Notre stratégie de réduction de notre empreinte plastique repose également sur la valorisation et la réutilisation de tous les matériaux que nous utilisons. Aujourd’hui, nous avons déjà atteint l’objectif de 50% de plastique recyclé pour les bouteilles de 50cl de nos marques Coca-Cola, Fanta et Sprite. Les bouteilles de nos marques Smartwater et Honest sont pour leur part constituées de 100% de plastique recyclé.
Notre objectif, d’ici à 2023 en Europe est que l’ensemble de nos emballages en plastique intègrent au moins 50% de plastique recyclé.
AMÉLIORER LE TAUX DE COLLECTE & DE RECYCLAGE POUR FAIRE NAITRE UNE VERITABLE ECONOMIE CIRCULAIRE DES EMBALLAGES
Notre objectif est de collecter 100% de nos emballages pour éviter qu’ils ne finissent en déchets sauvages. Cet objectif est fixé à 2025 en Europe et 2030 dans le monde.
Nous travaillons collectivement avec l’ensemble de la filière industrielle pour améliorer l’adoption des bons gestes de tri. En effet, aujourd’hui en France, 99% des emballages sont collectés mais seulement 60% sont triés correctement.
La consigne serait une solution qui permettrait d’accélérer le processus de collecte en France, en complément d’une optimisation de la collecte de l’ensemble des emballages avec le « bac jaune ». Ce système permettrait d’augmenter la quantité et la qualité de matériaux recyclés dans nos bouteilles en plastique et ainsi transformer ce qui est aujourd’hui un déchet en ressource !
En Suède, nous sommes capables de produire des bouteilles en plastique 100% recyclé grâce à un taux de collecte de 90%. Cela n’aurait jamais été possible sans la mise en place de la consigne, qui a permis de récupérer un maximum de matière plastique pour la réutiliser dans de nouvelles bouteilles.
Il n’en reste pas moins que c’est une décision commune qui doit être prise par toute l’industrie et les acteurs impliqués.
Nous souhaitons également aller plus loin et nouer des partenariats avec des start-ups innovantes.
Avec la startup Lemon Tri, nous avons pu installer cette année 55 machines de tri dans les stades et lieux d’affluence.
En France, nous soutenons et rejoignons régulièrement des initiatives de notre secteur pour avancer sur les questions d’économie circulaire. Par exemple, nous faisons partie des acteurs à l’initiative du projet Loop (développé par Terracycle). Déployée depuis le mois de mai, la plateforme Loop propose aux consommateurs de retrouver des produits de grande consommation en version zéro déchet grâce à un système de consigne, sur une plateforme de e-commerce.
Aucune société ni organisation ne peut réussir à répondre à cet enjeu seule à l’enjeu du recyclage.
C’est l’affaire de tous ! C’est pourquoi nous collaborons avec nos partenaires embouteilleurs, les gouvernements, les ONG mais aussi nos concurrents pour réussir à atteindre nos objectifs. Par exemple, La Fondation Coca-Cola s’associe à la Fondation de la Mer pour le lancement de sa plateforme “Un Geste Pour La Mer”. Celle-ci a pour ambition de fédérer les initiatives locales de nettoyage des plages et d’ainsi lutter contre la pollution plastique en mer.
En matière de sensibilisation aux bons gestes de tri, nous collaborons également avec Citéo, qui a notamment lancé en juin dernier une campagne pour encourager le tri des bouteilles plastiques et l'économie circulaire.
INNOVER AU SERVICE DE SOLUTIONS ALTERNATIVES POUR LE PACKAGING DU FUTUR
Coca-Cola European Partners France, a co-créé une joint-venture avec Plastipak appelée Infineo en
2012 - dédiée au recyclage du plastique PET. Avec 1,5 milliard de bouteilles recyclées par an, elle est devenue la première usine en Europe en termes de capacité de production. Elle produit chaque année 48 000 tonnes de PET recyclé de haute qualité pour fabriquer de nouvelles bouteilles, l'équivalent d'1/3 de toutes les bouteilles plastiques collectées en France [...suite]
","votes":{"done":true,"no":906,"yes":147},"followers":{"waiting":204,"total":53381,"current":53234,"goal":10000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2020-08-11T09:07:27.222Z","submitted":"2020-07-28T09:07:27.222Z","delay":7,"created":"2016-11-16T11:59:25.486Z"},"sources":["https://www.coca-cola-france.fr/nos-engagements/environnement","https://www.coca-cola-france.fr/nos-engagements/environnement/recyclage/5-idees-recues-the-coca-cola-company-recyclage"]},{"_id":"5f338c9018db9bab1350fbc5","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2020-08-12T06:30:40.310Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"Rejoignez Mítí'Lab likez sa page et suivez son actu.","content":"Mítí'Lab association pour la coopération !
","_id":"58232c8ca9a79a34495d23ce","created":"2016-11-09T14:02:52.009Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":5,"loyalValue":15,"show":true},"followers":{"notCustomer":8453,"occasional":13931,"loyal":2951,"waiting":0,"total":55569,"current":55421,"goal":5000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/581f393fa9a79a34495d22b8.jpg","share":{"tinyUrl":"https://tinyurl.com/y6wrh8e3","hashtag":"iBoycottCocaCola"},"sources":["https://www.youtube.com/watch?v=WxPFdegA6T8","https://vimeo.com/129170639","https://www.youtube.com/watch?v=N1iAuZcyITY","https://www.france.tv/france-2/cash-investigation/680863-plastique-la-grande-intox.html","https://www.zerowastefrance.org/cash-investigation-sur-le-plastique-notre-decryptage/","http://www.encyclopedie-environnement.org/eau/pollution-plastique-en-mer/"],"company":{"name":"Coca-Cola","email":"servane.magnan@coca-cola.com"},"categories":["justice","environment","alimentation"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-04-19T04:00:00.622Z","statusUpdated":"2020-08-12T06:30:40.309Z","created":"2016-11-06T14:07:59.163Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"581f393fa9a79a34495d22b8"},{"slug":"societe-generale-ne-menacez-pas-l-environnement-et-le-droit-des-indigenes","title":"Société Générale : ne menacez pas le climat et les droits des autochtones !","content":"English text below the french version
\r\nCette campagne lancée par les fondatrices d’I Love Therefore I Am, Marine Billet et Leslie Coutterand.
\r\nIl y a déjà plus d’un an, cette campagne citoyenne alertait sur les soutiens accordés par Société Générale à un projet hautement controversé d’oléoduc de sables bitumineux aux États-Unis : le Dakota Access Pipeline (DAPL).
\r\nAujourd’hui, Les Amis de Terre rejoignent la campagne pour demander à Société Générale de ne plus soutenir des projets fossiles dangereux pour le climat, l’environnement, et les droits humains.\r\n
\r\n
\r\n Malgré l'opposition des tribus amérindiennes parmi lesquels les Sioux de Standing Rock et la levée de bouclier des populations locales et ONG internationales, l’oléoduc est aujourd’hui achevé, grâce aux financements de banques qui ont fermés les yeux sur les violences et violations des droits humains, et portent la responsabilité de ce désastre environnemental.
\r\n
\r\n La lutte des défenseurs de l’eau amérindiens contre le DAPL est devenue un symbole de la résistance des peuples unis contre le pouvoir des multinationales et la politique climaticide de Donald Trump. Car ce pipeline n’est que l’un des multiples projets dévastateurs pour l’environnement et les droits humains prévus aux Etats-Unis.
\r\n
\r\n Malgré le dangereux précédent du DAPL, trois autres méga projets de pipelines de sables bitumineux partant de l'Alberta sont prévus en Amérique du Nord : le Keystone XL, le Line 3 et le Trans Mountain. Là encore, ils posent de grave risques pour les communautés et les écosystèmes locaux, et suscitent une large opposition des nations autochtones et de l’opinion publique.
\r\n
\r\n
\r\n Au Texas, Société Générale joue un rôle clé dans le projet de terminal Rio Grande LNG et de gazoduc Rio Bravo Pipeline, complexe monumental qui a notamment pour vocation d’exporter le gaz de schiste des Etats-Unis vers l’Europe.
\r\n
\r\n La banque française est en particulier responsable de lever les 20 milliards de dollars que coûteront la construction et la mise en opération de ces nouvelles infrastructures climaticides.
\r\n
\r\n Les citoyens de la vallée du Rio Grande et la tribu autochtone des Esto’k Gna mènent depuis 4 ans une lutte acharnée contre ce projet. Rio Grande LNG et Rio Bravo Pipeline sont un danger pour le climat, mais aussi pour les droits des amérindiens, l’emploi, la santé et la sécurité, la biodiversité et le patrimoine culturel.
\r\n
\r\n Et ce projet est loin d’être isolé parmi les soutiens de Société Générale. Rien qu’entre 2014 et 2016, Société Générale a accordé plus de 6 milliards de dollars aux énergies les plus polluantes.
\r\n
\r\n
\r\n La mobilisation citoyenne peut renverser les situations injustes. Nous l’avons prouvé : sous notre pression collective, BNP Paribas, financeur du DAPL, a annoncé l’année dernière qu’elle renonçait à soutenir des projets que continue à soutenir Société Générale.
\r\n
Nous demandons donc ici à Société Générale de mettre un terme à ses soutiens à tous les projets fossiles les plus impactant pour le climat, l’environnement, et les droits humains et à se retirer définitivement du projet Rio Grande LNG.
\r\n
Pour plus d’informations sur le projet Rio Grande LNG et les soutiens de Société Générale aux énergies fossiles, découvrez le rapport des Amis de la Terre.
\r\nUn oléoduc, appelé “DAKOTA ACCESS PIPELINE \" (DAPL), est en construction aux Etats-Unis et traversera le pays en passant par le Dakota du Nord.
\r\nC’est un investissement de 3,7 milliards de dollars qui transportera un demi-million de barils de pétrole chaque jour. Parmi les 17 banques internationales qui ont investi dans ce projet,\r\n
\r\nLa Société Générale aurait fait un apport d’environ 120 millions de dollars.
EN QUOI CE PROJET EST-IL UN SCANDALE ETHIQUE ET ENVIRONNEMENTAL ?
\r\nCe pipeline :
\r\nNous demandons à la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE de se RETIRER DU PROJET DAKOTA ACCESS PIPELINE et d'investir seulement dans des énergies propres et renouvelables.\r\n
NOUS NE VOULONS PAS ÊTRE COMPLICES DE VIOLENCES INACCEPTABLES.
\r\nNOUS NE VOULONS PAS ETRE COMPLICES D'EVENTUELLES CATASTROPHES ÉCOLOGIQUES.
Qu'est ce que la DAKOTA Pipeline ?
\r\nLe “DAKOTA ACCESS PIPELINE” devrait traverser quatre états américains et acheminer chaque jour un demi-million de barils de pétrole extraits dans le Dakota du Nord, à la frontière canadienne, jusque dans l’Illinois, plus au sud.
\r\nDerrière ce projet, il y a des intérêts financiers internationaux, dont ceux de grandes banques françaises. Parmi elles, la SOCIETE GENERALE.
\r\nUN PROBLEME ETHIQUE :
\r\nPour les Natifs Américains :
\r\nLe pipeline doit passer par la réserve indienne de \"STANDING ROCK\" et plus particulièrement des terres sacrées.
\r\nSur ces terres se trouvent des cimetières et des lieux de prières appartenant aux Sioux depuis des centaines d’années. Le traité de Fort Laramie, signé en 1851, est une promesse de reconnaissance des terres et de la \"Great Sioux Nation\". Cependant ce traité a été violé à de nombreuses reprises.
\r\nCe projet remet dans l'actualité le traitement qui a été fait envers les Natifs Americains et les effets de la colonisation.
\r\nUn mouvement formé initialement par les femmes et les jeunes générations de Natifs Américains a vite pris de l'ampleur et a été suivi par les anciens, appelé les \"Elders\", chefs de Tribus et autres peuples indigènes de la région.
\r\nDepuis plus de 6 mois, près de 300 tribus indigènes, des personnalités et des activistes du monde entier, se réunissent et campent à Standing Rock pour bloquer la construction de ce pipeline.\r\n
Leur but est de protéger leurs terres et l'eau de la rivière du Missouri, en cas de fuite du pipeline.
\r\nIls manifestent en paix et leur mot d’ordre est de le faire sans violence, comme le dictent les traditions et la culture Sioux.
\r\nCes opposants sont appelés les “protecteurs de l’eau” : \"WATER PROTECTORS\".
La violence :
\r\nIl y a un mois, les manifestations ont pris un tournant surprenant.
\r\nEn effet, l'entreprise responsable de la construction de ce pipeline, \"Energy Transfer Partner\", a fait appel à des forces de police et des forces armées pour s'assurer du bon déroulement de la construction du pipeline.
\r\nLe 20 novembre 2016, les manifestants ont été victimes de violences extrêmes ordonnées par les forces de l'ordre : Gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, jets d’eau glacée (sous une température de - 4 degrés) , lâchés de chiens sur les manifestants, coups, arrestations et humiliations… En novembre 2016, la police avait déjà arrêté plus de 400 manifestants.
\r\nDe nombreuses organisations de défense des droits de l’homme ont adressé leurs inquiétudes et mis en évidence des violations des droits de l’Homme.
\r\n\r\n
\r\nAmnesty international a d'ailleurs envoyé des agents sur place pour observer les conditions des manifestants et a envoyé une lettre au président des Etats-Unis, Barak Obama, demandant de suspendre la construction du Pipeline pour s'assurer du respect des peuples indigènes et des militants, et respecter leurs droits à manifester.
L’escalade de la violence à \"Standing Rock\" a pris une telle ampleur, que plus de 2000 vétérans, à l’initiative de deux ex-vétérans, Michael Wood et Wesley Clark, sont venus de tout le pays, le 4 décembre 2016 à Standing Rock : \"Veterans for Standing Rock\".
\r\nCe mouvement exceptionnel de soutien et de solidarité, incluant les différents corps de l’armée Américaine, s'est formé dans le but d'assurer la protection des manifestants.
\r\nA cette même occasion, un des principaux vétérans s'est excusé au nom du peuple américain pour toutes les atrocités que les peuples indigènes ont subi depuis près de 500 ans.
\r\nUN PROBLEME ENVIRONNEMENTAL :
\r\nMalgré l’adoption de l’Accord de Paris par 195 pays réunis à la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP21) , 17 banques internationales ont investi dans ce pipeline.
\r\nComme ont pu le souligner les \"PROTECTEURS DE L'EAU\" : \"Le problème n'est pas de savoir \"SI\" il va y avoir un accident ou une catastrophe environnementale mais \"QUAND\".
\r\nEn septembre 2016, le département Americain de la Justice avait déjà reçu plus de 33 000 pétitions demandant l'annulation du permis de construire de ce pipeline et un rapport sur \"son impact environnemental\".
\r\nDernièrement, plusieurs pipelines ont eu des fuites suite à des incidents dans le nord des USA.
\r\nL'un d'eux se deverse actuellement dans la nature à seulement 2 heures de \"Standing Rock\" dans le Dakota du Nord.
\r\nEt un autre est en train de polluer la rivière du Yellowstone.
\r\nSes accidents fréquents attirent de plus en plus d'interrogations sur les industries pétrolières polluantes.
\r\nLe changement climatique, la hausse des prix du pétrole et les problèmes de sécurité énergétique nous incitent à nous diriger vers des énergies propres et renouvelables.
UN PROJET ILLEGAL :
\r\nLe 4 décembre 2016, nous avons assisté à un évènement historique :
\r\nSous la pression de l'administration Obama, le corps des ingénieurs de l’Armée a annoncé qu’il n'octroirait pas le permis de construire sur les terres de Standing Rock.
\r\nCela marque la plus grande victoire environnementale des États-Unis depuis des décennies.
C’est une victoire, mais ce n’est pas fini : La société de construction du DAPL a annoncé qu’elle poursuivrait le forage malgré l’interdiction et qu’elle paierait les amendes.\r\n
A ce jour, le pipeline est presque terminé.
\r\nSi la construction arrive à terme, le combat sera perdu et tous les efforts des manifestants et organisations n'auront servit à rien. Le pétrole coulera à flot et les profits prendront le dessus.
\r\nLes \"WATER PROTECTORS\" les plus déterminés ont décidé de rester sur le site pour bloquer la construction malgré des températures avoisinant les -15 degrés cette semaine.
\r\nNous avons l'OPPORTUNITÉ de marquer un tournant de l'histoire !
\r\nQuelques pays ont déjà pris les devant : Après une pétition nationale organisée par Greenpeace, regroupant plus de 120 000 signatures, la plus grande banque de Norvège, la DNB, a annoncé s'être retirée du Dakota Access Pipeline.
\r\nOdin Fund Management, toujours en Norvège, a aussi vendu ses parts d'une valeur de $23.8 million.
Plus qu'un pipeline ou des terres sacrées, \"STANDING ROCK\" devient le symbole d'un combat environnemental et éthique qui a été organisé dans la PAIX.\r\n
\r\nTous ensemble dans une énergie positive et bienveillante, nous pouvons reprendre le POUVOIR.
\r\nNous ne sommes plus IMPUISSANTS !
Alors Pourquoi sommes-nous “indirectement complices” ?
\r\nComment pouvons-nous changer le cours des choses et avoir un impact immédiat sur ce scandale ?
NOUS NE VOULONS PAS ETRE COMPLICES DE CES VIOLENCES INACCEPTABLES.
\r\nNOUS NE VOULONS PAS ETRE COMPLICES D'EVENTUELLES CATASTROPHES ÉCOLOGIQUES.
Je m'appelle Leslie Coutterand et je suis cliente de la SOCIETE GENERALE depuis plus de 15 ans. Il est hors de question que mon argent soit utilisé pour un projet illégal et dangereux pour la planète.\r\n
\r\nC’est pourquoi aujourd’hui j’appelle les clients de la Société Générale à boycotter leur banque pour qu’elle se RETIRE DU PROJET DAKOTA ACCESS PIPELINE et investisse dans des énergies propres et renouvelables qui respectent la planète et les futurs generations.
\r\n
Si, comme moi Marine Billet, vous n'êtes pas client(e)s de la SOCIETE GENERALE (ou de l'une des banques françaises impliquées dans ce scandale) et que vous vous sentez tout de même concernés et indignés, vous pouvez soutenir cette démarche et cliquer sur le lien pour rejoindre la campagne que nous avons lancée avec I-boycott.
\r\nNotre démarche est pacifiste. Nous donnons l’opportunité à la SOCIETE GENERALE d’être à l’écoute de leur clients et montrer l’exemple à BNP paribas et Crédit Agricole, qui sont également des investisseurs majeurs de ce projet.
\r\nSi nous n’avons pas reçu de réponse positive face à cette demande, moi Leslie, je m’engage à fermer mon compte et le transférer dans une autre banque qui s'inscrit dans une démarche écologique et éthique et je vous invite à faire de même.
\r\n
\r\nAlors, cliquez sur le lien et le bouton “PARTICIPER”, demandez des comptes à votre banque, partagez cette campagne, parlez en autour de vous, mais surtout \"BOYCOTTEZ !
Boycotter seul, c’est bien.\r\n
\r\nBoycotter ensemble, c’est le contre pouvoir.
\r\nAvec bienveillance, c’est le changement !
Cette Campagne de boycott est une démarche respectueuse et citoyenne proposée par \"I LOVE THEREFORE I AM\". Nous sommes tous acteurs de notre futur, et ensemble, jour après jour, avec des petites actions, nous pouvons changer le monde.
\r\n
\r\n\"I LOVE THEREFORE I AM”, (\"J’AIME DONC JE SUIS\") , est un mouvement et une série documentaire. Les co-fondatrices et réalisatrices, Leslie Coutterand et Marine Billet, sont persuadées que l’amour est la réponse aux souffrances, violences et injustices. Ce documentaire est une quête à la recherche d’inspirations et de solutions pour transformer la société, l’économie, l’environnement et nos relations avec les autres et avec nous même. www.ilovethereforeiam.world
The \"DAKOTA ACCESS PIPELINE\" (DAPL) is under construction in the United States.
\r\nIt's a $ 3.7 billion investment, and Société Générale invested approximately $ 120 million.
WHY IS THIS PROJECT AN ETHICAL AND ENVIRONMENTAL SCANDAL?
\r\nThis pipeline:
\r\n1) Does not respect treaties and agreements that protect indigenous peoples and their lands.
\r\n2) Does not respect human rights
\r\n3) Is dangerous for the people and water resources of the region and surrounding areas
\r\n4) Is more than likely to cause an environmental disaster
\r\n5) Is illegal
We ask SOCIÉTÉ GÉNÉRALE to WITHDRAW FROM THE DAKOTA ACCESS PIPELINE PROJECT and to invest only in cleaner and renewable energies.\r\n
WE DO NOT WANT TO SUPPORT UNNECCESSARRY AND UNACCEPTABLE VIOLENCE.
\r\nWE DO NOT WANT TO BE RESPONSIBLE FOR AN ECOLOGICAL DISASTERS AND CONTINUED VIOLATION OF NATIVE AMERICAN RIGHTS.
What is the DAKOTA Pipeline?
\r\n
\r\nThe DAPL is expected to cross four US states and transport half a million barrels of oil each day from North Dakota, on the Canadian border, to Illinois to the south.
\r\nBehind this project, are international financial interests, including those of major French banks. Among them, SOCIETE GENERALE, which has contributed about 120 million dollars.
\r\n
AN ETHICAL PROBLEM:
\r\nFor Native Americans:
\r\n
\r\nThe pipeline has been designed to pass through the \"STANDING ROCK\" Sioux Native American Indian reservation and more particularly their sacred lands.
On these lands they have sacred prayers and buried ancestors dating back hundreds of years.
\r\nThe Treaty of Fort Laramie, signed in 1851, is an agreement guaranteeing land ownership to the Great Sioux Nation; however this treaty has been violated many times.
\r\nThis project updates the treatment of the Native Americans and the effects of colonization.
\r\n
A movement originally formed by women and the Native American youth, quickly grew and was adopted by the tribal leaders, called \"Elders\", and other indigenous peoples of the region and country.
\r\n\r\n
\r\nFor over 6 months, nearly 300 indigenous tribes, celebrities and activists from around the world have gathered and camped in Standing Rock to block the construction of this pipeline.
Their goal is to protect their land and the water at lake Oahe and the Missouri River from damage caused by a pipeline leak.
\r\nThey demonstrate peacefully and without violence as is dictated by Sioux traditions and culture.
\r\nThese peaceful people in prayer are known as \"WATER PROTECTORS\".
\r\nViolence :
\r\n
A few weeks ago, the demonstrations took a surprising turn.
\r\nThe company responsible for the construction of this pipeline, \"Energy Transfer Partners\", used police forces and armed forces to ensure the continued progress of the construction of the pipeline.
\r\nOn 20 November 2016, the WATER PROTECTORS were subjected to extreme violence ordered by the police: Tear gas, rubber bullets, water cannons shooting cold water (in temperatures of -4 degrees), and police dogs were all used on the WATER PROTECTORS, as were other violent acts.
\r\nBy November 2016, the police had already arrested more than 400 WATER PROTECTORS.
<iframe frameborder=\"0\" src=\"https://www.youtube.com/embed/ZlDuQIaFWPc\" allowfullscreen></iframe>
\r\n
\r\nMany human rights organizations have voiced their concerns and highlighted violations of human rights.
\r\n
\r\nAmnesty International also sent monitors to observe the conditions of the demonstrators and sent a letter to US President Barack Obama calling for the Pipeline to be suspended to ensure respect for indigenous peoples and the protestors, and to respect their rights to demonstrate.
\r\nThe escalation of violence at \"Standing Rock\" has grown to such an extent that more than 2,000 veterans, led by former veterans Michael Wood and Wesley Clark, came from across the country on December 4, to support the WATER PROTECTORS at Standing Rock: \"Veterans for Standing Rock\".
\r\nThis exceptional movement of support and solidarity, including the various branches of the American military, was formed with the aim of protecting the WATER PROTECTORS.
In this historical moment, Wesley Clark Jr apologized in the name of the American people for all the atrocities that the indigenous peoples have suffered for nearly 500 years.
\r\nAN ENVIRONMENTAL PROBLEM:
\r\nDespite the adoption of the Paris Agreement by 195 countries meeting at the United Nations Conference on Climate Change (COP21), 17 international banks have invested in this pipeline.
\r\n
\r\n As the \"WATER PROTECTORS\" have pointed out: \"The problem is not whether there will be an accident or an environmental catastrophe but WHEN\".
In September 2016, the US Department of Justice received more than 33,000 petitions calling for the cancellation of the pipeline's building permit and a report on its \"environmental impact\".
\r\n
\r\n Lately, several pipelines have leaked in incidents in the northern US.
\r\nOne of them is now only 2 hours away from \"Standing Rock\" in North Dakota.
\r\nAnd another is spilling the Yellowstone River.
These frequent accidents attract more and more questions about the oil industries.
\r\nClimate change, rising oil prices and energy security problems are pushing us towards clean and renewable energy.
AN ILLEGAL PROJECT:
\r\nOn December 4, 2016, we witnessed a historic event:
\r\n
\r\nUnder pressure from the Obama administration, the Army Engineers Corps announced that it would not issue a building permit on Standing Rock land.
\r\nThis marks the largest environmental victory in the United States for decades.
It is a victory, but the fight is not over. The construction company behind the DAPL announced that it would continue drilling despite the ban and that it would pay the fines.\r\n
\r\nTo date, the pipeline is nearing completion.
\r\nIf construction is completed, the fight will be lost and all the efforts of the demonstrators and organizations will have served no purpose.
\r\nOil will flow and profits will rule.
The most determined \"WATER PROTECTORS\" decided to stay on the site to block construction despite very low temperatures ( around 10 Fahrenheits) this week.
\r\nWe have the OPPORTUNITY to mark a turning point in history!
\r\nSome countries have already taken the lead: After a national petition organized by Greenpeace, gathering more than 120,000 signatures, Norway's largest bank, the DNB, announced it withdrew from the Dakota Access Pipeline. Odin Fund Management, based in Norway, also sold its shares valued at $ 23.8 million.
More than just a pipeline or sacred land, \"STANDING ROCK\" has become the symbol of an environmental and ethical battle that was organized in PEACE.\r\n
\r\nAll of us together, with positive energy and peace, can take back the POWER.
\r\nWe are NOT POWERLESS!
\r\nSo why are we still indirectly “accomplices\"?
\r\nHow can we make a difference and have an immediate impact on this scandal?
\r\nWE DO NOT WANT TO BE COMPLICIT IN THIS UNACCEPTABLE VIOLENCE.
\r\nWE DO NOT WANT TO BE COMPLICIT IN ANY POSSIBLE ECOLOGICAL DISASTERS.
My name is Leslie Coutterand and I have been a SOCIÉTÉ GÉNÉRALE customer for more than 15 years and it is out of the question that my money be used for a project that is both dangerous to the planet and illegal.\r\n
\r\nThat is why today I call on the customers of SOCIÉTÉ GÉNÉRALE to boycott their bank until it withdraws from the DAKOTA ACCESS PIPELINE PROJECT and begins investing in clean and renewable energies that respect the planet and our future generations.
If you are not a customer, you can still support this action, like me Marine Billet, just click on the link to boycott with us.
\r\nOur approach is pacifist.
\r\nWe give SOCIETE GENERALE the opportunity to listen to their clients and to set an example for BNP Paribas and Crédit Agricole, who are also major investors in this project,
If we do not receive a positive response to this request, I will close my account and transfer it to another bank that has an ecological and ethical approach, and I invite you to do so likewise.
\r\nSo, click on the link and the button \"PARTICIPER\", demand your bank to be accountable, share this campaign, spread the word, but above all \"BOYCOTT\"!
\r\nBoycotting alone is good.\r\n
\r\nBoycotting together is powerful.
\r\nWith care, peace and kindness , it’s change!
This campaign is a respectful intiative created by “I LOVE THEREFORE I AM”. We are the actors of our future, and together, one day at a time, with small individual actions we can change the world.
\r\n
\r\n“I LOVE THEREFORE I AM”, is a movement and a documentary series. The co creators and directors, Leslie Coutterand and Marine Billet, strongly believe that Love is the answer to suffering, violence and injustice. The documentary is a quest in search of inspirations and solutions to help us change radically our society, the economy, the environment and our relationships with others and ourselves. www.ilovethereforeiam.world
VICTOIRE !
\nLe mois dernier, la justice américaine a demandé la fermeture du Dakota Access Pipeline, l'oléoduc financé entre autres par la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE et qui menaçait le droit des populations indiennes locales. Une avancée qui vient récompenser des années de lutte pour les Sioux, notamment à travers la célèbre manifestation de Standing Rock, en 2016.
\n
\nNotre campagne contre la Société Générale a donc fait un pas en avant !
Pour rappel, nous lui reprochons de participer via ses financements à plusieurs projets dévastateurs pour l'environnement et les droits humains :
\n– Le Dakota Access Pipeline (qui vient donc de fermer) ;
- Le terminal Rio Grande LNG ;
\n- et le gazoduc Rio Bravo Pipeline.
\nEntre 2014 et 2016, la banque a financé des énergies fossiles très polluantes à hauteur de plus de 6 milliards de dollars.
\nNous demandons à l'entreprise :
\nEn attendant, savourons cette petite victoire ! L'oléoduc restera fermé tant qu'une vraie étude des impacts environnementaux liés au tracé ne sera pas réalisée. Dans un rapport de 24 pages, le juge de Washington James E. Boasberg qui a rendu la décision a notamment estimé que la pipeline était loin de respecter les normes environnementales, notamment concernant les risques de fuite de pétrole.
\nC'est une victoire pour l'environnement, et pour les populations indiennes locales.
\n
\nEt pour rejoindre nos 20 800 participants sur la campagne de boycott Société Générale qui continue, c'est par ici !
\n
Source :
\nArticle : Novethic
\nLire l'article
\n
Vous êtes déjà plus de 14 000 boycottants à soutenir la campagne qu’ I LOVE THEREFORE I AM a lancé avec I-boycott.org, pour demander à Société Générale de ne plus soutenir des projets fossiles dangereux pour le climat, l’environnement, et les droits humains.
\nAujourd’hui, les Amis de la Terre rejoignent la campagne pour alerter les citoyens sur divers soutiens accordés par Société Générale dont le Rio Grande LNG.
\nLes Amis de la Terre France est une association qui milite depuis bientôt 50 ans en faveur de la justice sociale et environnementale, et mène depuis 2005 une campagne sur la responsabilité des acteurs financiers.
\nEt ça marche ! Cette campagne a déjà permis de faire évoluer les pratiques des banques et de remporter des victoires contre des projets controversés. La dernière en date : l’adoption en 2017 par BNP Paribas d’une politique sans précédent sur les sables bitumineux, le gaz de schiste, et les forages en Arctique.
\nMais alors que des banques vont de l’avant, Société Générale persiste à soutenir des projets qui violent les droits des communautés amérindiennes et ne sont rien d’autre que des bombes à retardement pour le climat. Après le Dakota Access Pipeline, Société Générale mise sur le gaz de schiste aux Etats-Unis, en appuyant la construction d’un méga projet de terminal méthanier sur la côte texane : Rio Grande LNG.
\nVous voulez en savoir plus sur les projets climaticides soutenus par Société Générale ?
\n- Découvrez le rapport “Société Générale : plein gaz sur les fossiles”
\nFace aux pratiques irresponsables des banques, que peut-on faire ? Se mobiliser ! Vous avez rejoint les rangs des boycottants et vous êtes bien décidés à fermer votre compte à Société Générale ?
\n- Recevez le guide éco-citoyen “Choisis ta banque”
\nVous souhaitez rester informé des actualités de la campagne des Amis de la Terre ?
\n- Cliquez-ici : Inscrivez-vous à la newsletter
\nLa fédération des Amis de la Terre France est une association de protection de l’Homme et de l’environnement, à but non lucratif, indépendante de tout pouvoir politique ou religieux. Créée en 1970, elle a contribué à la fondation du mouvement écologiste français et à la formation du premier réseau écologiste mondial – Les Amis de la Terre International – présent dans 75 pays et réunissant 2 millions de membres sur les cinq continents. En France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes locaux autonomes, qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
\nI LOVE THEREFORE I AM est un mouvement et une série documentaire. Les co-fondatrices et réalisatrices, Leslie Coutterand et Marine Billet, sont persuadées que l’amour est la réponse aux souffrances, violences et injustices. Ce documentaire est une quête à la recherche d’inspirations et de solutions pour transformer la société, l’économie, l’environnement et nos relations avec les autres et avec nous même. Vous souhaitez rester informé des actualités d’I LOVE THEREFORE I AM et rejoindre leur 970 ambassadeurs ?
\n- Cliquez-ici : www.ilovethereforeiam.world
","_id":"5ab412f24c26f322b0e7ad68","created":"2018-03-22T14:40:48.322Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":1116,"occasional":177,"loyal":240,"waiting":0,"total":21477,"current":21476,"goal":3000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/58598bfa8b1a52531c772f8d.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/zvtlvcp","hashtag":"stopriograndelng"},"sources":["http://www.amnestyusa.org/pdfs/Halt_the_Dakota_Access_Pipeline.pdf","http://multinationales.org/Les-grandes-banques-francaises-derriere-le-projet-d-oleoduc-combattu-par-les","http://www.bastamag.net/Les-grandes-banques-francaises-derriere-le-projet-d-oleoduc-combattu-par-les","http://www.konbini.com/fr/tendances-2/standing-rock-opposition-pipeline-dakota-affrontement/","http://www.greenpeace.org/usa/news/another-major-norwegian-investor-divests-from-companies-behind-dakota-access-pipeline/","http://www.greenpeace.org/usa/news/largest-bank-norway-sells-assets-dakota-access-pipeline/","http://www.latimes.com/nation/nationnow/la-na-north-dakota-pipeline-rupture-20161213-story.html","http://www.unep.org/Documents.Multilingual/Default.asp?DocumentID=538&ArticleID=5849&l=fr","http://www.amisdelaterre.org/Dakota-Pipeline-Les-banques-francaises-complices-de-violations-des-droits.html","http://www.foodandwaterwatch.org/news/who's-banking-dakota-access-pipeline","http://europe.newsweek.com/dakota-access-pipeline-economics-527926?rm=eu","http://docs.lakotalaw.org/DAPL-DIVESTMENT.pdf"],"company":{"name":"Société Générale","email":"florence.schwob@socgen.com"},"categories":["environment","finance","man"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-05-03T10:00:00.408Z","statusUpdated":"2017-11-22T13:06:55.866Z","created":"2016-12-20T19:52:26.067Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"58598bfa8b1a52531c772f8d"},{"slug":"auchan-protegez-vos-salaries","title":"Auchan, protégez vos salariés","content":"Auchan Holding est une société française, détenant des enseignes en France et dans le reste du monde, notamment : Auchan, Auchan City, A2Pas, Simply Market, Atac, Auchandirect, Auchandrive et Chronodrive. L'enseigne Auchan City, apparue en 2011, est un nouveau concept visant à créer des hypermarchés en plein centre-ville. Fin 2013, le magasin pilote de Tourcoing (59) comptait 80 collaborateurs et environ 4 000 clients par jour. Cette campagne participative de boycott responsable a pour but d'inciter Auchan Holding à garantir des conditions de travail dignes dans sa filiale AMV Distribution (Auchan City Tourcoing) et à améliorer le dialogue social dans l'ensemble du groupe.
\r\n
En août 2016, la presse fait connaître au grand public l'affaire d'une caissière d'Auchan City Tourcoing licenciée pour une erreur de caisse de 0,85€. La direction déclare qu'elle a « intentionnellement fraudé ». Le syndicat CGT lance diverses actions, notamment une pétition en ligne. L'hôtesse de caisse se verra finalement réintégrée dans un autre établissement du groupe.
\r\nCette même année, dans ce même Auchan City de Tourcoing, un autre scandale éclate concernant une hôtesse de caisse, « Fadila » (nom d'emprunt), âgée de 23 ans, en contrat de professionnalisation. D'après son propre témoignage, alors qu'elle est arrêtée pour raison de santé, elle découvre qu’elle est enceinte de deux mois, en informe son employeur, et demande un aménagement de son planning de travail (afin de ne pas travailler huit heures d'affilée), ainsi que la possibilité de se rendre régulièrement aux toilettes pour vomir.
\r\nSes demandes ne sont pas suivies d'effet. La possibilité de se rendre régulièrement aux toilettes lui est même refusée. De retour au travail, elle est contrainte de rester à son poste, et d'avaler son vomi. La jeune femme reprend le travail, victime de vertiges, de troubles de la vision... Elle est contrainte de se mettre à nouveau en arrêt. Sa supérieure lui téléphone pour lui indiquer un problème de badge, qui fait que sa présence dans l'entreprise n'a pas été comptabilisée cette semaine-là. Celle-ci ne prend aucune nouvelle de l'état de santé de « Fadila ».
\r\nLe 21 novembre dernier, elle reprend le travail. Elle ressent des douleurs au ventre, lesquelles s'amplifient fortement au cours de l’après-midi. Elle téléphone à l'accueil pour avertir de son état et demander du paracétamol. On la renvoie de service en service, jusqu'à ce qu'elle abandonne. Alors qu'elle ne peut toujours pas quitter son poste, depuis trois heures qu'elle demande à aller aux toilettes, les clients à sa caisse remarquent sa pâleur. Elle se rend compte, en se levant, que son siège est ensanglanté. Elle a perdu son enfant.
\r\nElle reçoit par la suite une fiche de paie pour le mois de novembre comportant la mention « absence injustifiée ». La rémunération indiquée s'élève à environ 350 euros. Aucune mention d’accident du travail sur la fiche de paie.
\r\nVersion d'Auchan City (consultable dans les sources) : la direction d'Auchan City Tourcoing reconnaît uniquement un retard dans la déclaration de l'accident du travail, et conteste le reste du témoignage.
\r\nSituation au 2 Février 2017 : Fadila ne perçoit toujours aucun revenu, car Auchan City n'a pas fait le nécessaire pour qu'elle soit indemnisée par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie.
\r\n
Le 30 décembre 2016, le site d'informations \"Bondy Blog\" relaie de multiples témoignages d'employés de ce même établissement exposant un «climat de terreur» avec notamment des cas de harcèlement à base d'humiliations et de remarques racistes.
\r\nLe magasin Auchan City Tourcoing constitue un magasin expérimental pour le groupe, où y seraient notamment testées des méthodes de management différentes. L'union locale de la CGT Tourcoing dénonce également une surcharge de travail généralisée.
\r\nD'après les comptes annuels 2015 de Auchan Holding, la société AMV Distribution (enseigne Auchan City, à Tourcoing) constitue une entité distincte à l'intérieur du groupe, directement détenue à 100% par Auchan Holding. En conséquence, les représentants du personnel de Auchan City Tourcoing se retrouvent isolés, et ne peuvent pas mener leurs actions et leurs négociations en commun avec leurs homologues des autres enseignes du groupe, que ce soient les hypermarchés Auchan, les Symply Markets, ou même le Auchan City de Coignères !
\r\nLe pouvoir décisionnel permettant d'accéder à toutes nos revendications se situe au niveau d'Auchan Holding qui détient notamment Auchan City Tourcoing (AMV Distribution).
\r\nJe lance donc cette campagne participative de boycott responsable de toutes les enseignes Auchan Holding :
\r\nhttps://www.facebook.com/FrancoisRuffin80/videos/758928337622039/
","_id":"595e090a0821605474e2e802","created":"2017-07-06T09:55:22.407Z"},{"title":"François Ruffin s'exprime sur Auchan","content":"https://www.facebook.com/FrancoisRuffin80/videos/758928337622039/
","_id":"595e08038ca166bc48979233","created":"2017-07-06T09:50:59.041Z"},{"title":"Le Délégué CGT réélu à Auchan City","content":"Le délégué syndical CGT au Auchan City Tourcoing Habib Hamdoud a été réélu au début du mois, avec également un suppléant.
\n<iframe frameborder=\"0\" src=\"https://youtu.be/lqqB2AimRlw\" allowfullscreen></iframe>
\nAuchan Holding ayant déjà partiellement publié ses résultats annuels 2016, Benoît Boussemart, économiste et auteur entre autres de La richesse des Mulliez (famille fondatrice d'Auchan), s'est livré à une analyse comparative des résultats d'Auchan, de Carrefour et de Casino.
\nLa direction d’Auchan City a fini par faire le nécessaire auprès de la CPAM et Fadila perçoit ses indemnités.
\nhttp://ulcgt-tourcoing.fr/2017/02/12/auchan-city-fadila-suite/
","_id":"58aca284d2fda20d13de2abf","created":"2017-02-21T20:26:44.630Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":200,"occasional":264,"loyal":94,"waiting":0,"total":8211,"current":8211,"goal":4000},"comments":{"accounted":16,"total":42},"image":"/cdn/image/campaigns/587a9048500dce61486cad76.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/jyzyvtk","hashtag":"iBoycottAuchan-Holding"},"sources":["http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/08/16/reintegration-de-la-caissiere-d-auchan-licenciee-pour-85-centimes_4983653_3224.html","https://youtu.be/uo7AOMiBfLE","http://ulcgt-tourcoing.fr/2016/12/24/auchan-city-suite-fausse-couche-en-caisse-le-management-a-auchan-city-reste-ferme-a-toute-dignite-humaine/","http://ulcgt-tourcoing.fr/2016/12/29/communique-de-presse-2/","http://www.bondyblog.fr/201612300800/a-tourcoing-humiliations-racisme-et-harcelement-la-vie-la-vraie-demployes-dauchan-city/","https://www.infogreffe.fr/entreprise-societe/476180625-auchan-holding-591061B200620000.html?typeProduitOnglet=EXTRAIT&afficherretour=true","http://www.lavoixdunord.fr/region/tourcoing-aujourd-hui-a-auchan-city-nous-comptons-ia26b58810n1685856","http://ulcgt-tourcoing.fr/2017/01/12/laccident-du-travail-etait-presque-parfait/","https://www.facebook.com/116648498482278/photos/pb.116648498482278.-2207520000.1484269926./735940953219693/","https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Les_chariots_d'Auchan.jpg","http://ulcgt-tourcoing.fr/2017/02/02/dans-la-serie-brimades-parce-que-cest-ca-la-vie-auchan/"],"company":{"name":"Auchan Holding","email":"psaudo@auchan.fr"},"categories":["labour","health","justice"],"date":{"lastComment":"2017-02-01T18:43:46.720Z","lastCompanyContact":"2025-05-03T10:00:00.410Z","statusUpdated":"2017-08-09T13:11:30.888Z","created":"2017-01-14T20:55:36.819Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"587a9048500dce61486cad76"},{"slug":"intermarche-ne-vous-fournissez-plus-a-la-ferme-usine-des-1000-veaux","title":"Intermarché : Ne vous fournissez plus à la Ferme-Usine des 1000 Veaux !","content":"En décembre 2016, Ségolène Royal et Manuel Valls (la veille de sa démission) ont signé un décret qui légitime les fermes-usines de bovins et permet l’ouverture de centres d’engraissement de 800 taurillons et veaux de boucherie ou encore de 400 vaches laitières, sans étude d’impact ni enquête publique.
\r\nCe décret, d’une incroyable maladresse, permet le contournement des décisions de justice obtenues à l’encontre de la Ferme-Usine des 1000 Veaux. L-PEA a attaqué ce décret, conjointement avec les associations L214 et Animal Cross. La procédure est en cours.
\r\nDes célébrités se sont engagées à nos côtés contre l’Usine des 1000 Veaux (Corinne Touzet, Michel Drucker, Liane Foly, Bruno Solo…) : http://www.stop-usine-1000veaux.com/ils-disent-stop
\r\nIntermarché met en avant « L’Amour des produits de qualité » et « Des produits Responsables ». La publicité consacrée à sa filière viande suggère le respect du bien-être animal, avec des animaux élevés au pré : https://www.youtube.com/watch?v=wWpw-kNvcUk.
\r\nPar ailleurs, l’enseigne vient d’annoncer son engagement en faveur des poules pondeuses, avec l’arrêt de la commercialisation des œufs de batterie à l’horizon 2025. Pourquoi ne pas aller plus loin et renoncer à la commercialisation de taurillons (jeunes bovins) élevés en batterie ?
\r\nEn effet, Intermarché (via sa filiale viande, la SVA Jean Rozé) est actionnaire et client exclusif de la Ferme-Usine des 1000 Veaux, depuis juillet 2015. Ce contrat remet en cause l’éthique du Groupe !
\r\nNous demandons à Intermarché de respecter ces valeurs responsables qu'elle porte depuis 2003 en cessant de se fournir dans ces conditions à la Ferme-Usine des 1000 veaux. Tant que l’enseigne maintient ce contrat, nous clients responsables, boycotterons Intermarché.
\r\nPS : L-PEA se nommait précédemment OEDA.
","author":"57bc4a2f012d41cc0763764e","lang":"fr","nbSupporters":12,"feedback":"","resume":"Le projet de Ferme-Usine des 1000 Veaux prévoit, à terme, d’entasser 1000 veaux dans de grands hangars pour les engraisser de manière intensive, en « hors-sol ». Pourquoi boycotter ce projet :\n\n- Les animaux sont gavés à base de composés industriels, ce qui représente une alimentation contre-nature pour un ruminant ;\n- Regroupés à 15 ou 16 au sein de cases de 57m2, ils n’ont que 3m2 d’espace vital chacun ;\n- Le confinement d’animaux issus de différentes exploitations suppose une utilisation massive d’antibiotiques. Ceux-ci se retrouvent dans la viande, augmentant ainsi l’exposition des consommateurs au phénomène d’antibiorésistance, problème majeur de santé publique ;\n- Les veaux sont égorgés pleinement conscients, sans étourdissement préalable ;\n- La viande est destinée à l’export (marché sud-méditerranéen), mais une partie est reversée dans le circuit français, notamment pour la production de viande bon marché, sans aucune mention des modes d’élevage et d’abattage ;\n- La seule rentabilité de ce projet se situe dans la production d’électricité (photovoltaïque) et de gaz (méthanisation). L’élevage n'est qu'un sous-produit ;\n- Loin d’être exemplaire, la Ferme-Usine des 1000 Veaux fait l’objet de plusieurs procédures juridiques, dont une procédure pénale pour « prises illégales d’intérêts ». \n\nNOTRE REVENDICATION :\nNous demandons à Intermarché de respecter les valeurs responsables que l'entreprise porte depuis 2003 en cessant de se fournir dans ces conditions à la Ferme-Usine des 1000 Veaux. \n\nSOURCES :\n- Lpea, Ferme-usine des 1000 veaux (En ligne), 2014. https://l-pea.org/?page_id=3589\n\n- Association Lpea, Intermarché encourage l'élevage intensif et égorge les animaux en pleine conscience \n(En ligne) 2015. https://www.youtube.com/watch?v=GfCsjELD4c4\n\n- L’Hyperferme du plateau des millevaches (En ligne), 2014. https://lpeaorg.files.wordpress.com/2016/08/la-terre-avril-14.pdf\n\n- France bleu, La \"ferme des 1.000 veaux\" en Creuse visée par une enquête (En ligne), 2015. https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/la-ferme-des-1-000-veaux-visee-par-une-enquete-1450719981","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2022-06-01T11:58:53.475Z","fullName":"Nicolas RAVAT","lastName":"RAVAT","firstName":"Nicolas","_id":"629752c001ea30d73eac0624","values":["Twitter"]},{"date":"2022-04-06T18:45:21.179Z","fullName":"Patricia Boulet","lastName":"Boulet","firstName":"Patricia","_id":"624ddd6109f87f5319ead167","values":["Facebook"]},{"date":"2022-01-01T09:51:30.695Z","fullName":"Cornélia Meillaud","lastName":"Meillaud","firstName":"Cornélia","_id":"61d020ea09f87f5319ead02c","values":["URL"]},{"date":"2021-07-18T10:11:21.238Z","fullName":"Érick Pouget","lastName":"Pouget","firstName":"Érick","_id":"60f3f87ce8699a0639b924aa","values":["Twitter"]},{"date":"2021-05-08T10:42:05.384Z","fullName":"David Maerz","lastName":"Maerz","firstName":"David","_id":"60966a35c88ffb6810ef7e4d","values":["URL"]},{"date":"2021-04-18T19:57:49.776Z","fullName":"Nathalie Guyonvarch","lastName":"Guyonvarch","firstName":"Nathalie","_id":"607c8c07d1c9a4c815cd6975","values":["Email"]},{"date":"2021-02-28T15:55:44.421Z","fullName":"Isa Huart","lastName":"Huart","firstName":"Isa","_id":"603bbc4f8043c4e17f8ba206","values":["Facebook"]},{"date":"2021-01-28T15:02:07.022Z","fullName":"Luc Goossens","lastName":"Goossens","firstName":"Luc","_id":"6012bc8f8d3e71490e17da1e","values":["URL"]},{"date":"2021-01-28T13:18:00.485Z","fullName":"Cécile CASTERA","lastName":"CASTERA","firstName":"Cécile","_id":"6001687b8d3e71490e17d901","values":["Facebook"]},{"date":"2021-01-16T16:06:33.566Z","fullName":"Gérard Meguerditchian","lastName":"Meguerditchian","firstName":"Gérard","_id":"60030cb78d3e71490e17d913","values":["URL"]},{"date":"2020-12-27T08:45:05.522Z","fullName":"Christine Mugica","lastName":"Mugica","firstName":"Christine","_id":"5fe848298fafeb7d1abf27e0","values":["Email"]},{"date":"2020-12-25T08:06:59.305Z","fullName":"yannis morin","lastName":"morin","firstName":"yannis","_id":"5fa2fc922c885ed773d77adc","values":["URL"]}],"lastDonators":[{"date":"2022-02-06T23:01:55.601Z","fullName":"Solen Jousset","lastName":"Jousset","firstName":"Solen","_id":"6200515501ea30d73eac04e2"}]},"couldBeTopListed":false,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"58c6d2f9087d398d320c4ae4","commitment":"ENGAGEMENTS ET ACTIONS
En ce qui concerne les conditions d’élevage, les animaux proviennent d’exploitations locales situées à moins de 50 km. Le bâtiment de 1 980 m2, accueille aujourd’hui 400 jeunes bovins. Il garantit une ventilation optimale ainsi qu’un éclairage et une luminosité adaptés au confort des animaux. L’autorisation d’une extension à 800 jeunes bovins suit l’évolution réglementaire et permettra à la Ferme de trouver son équilibre économique.
Les jeunes bovins sont une douzaine au maximum par subdivision. Ils peuvent ainsi se coucher, bouger, manger et dormir en toute tranquillité, dans une surface moyenne de 4,20 m2 par animal (aire de couchage supérieure à la norme européenne). Autant que possible, les jeunes bovins arrivant des différentes fermes sont laissés ensemble, tout au long de leur séjour, afin d’éviter le stress.
Les éleveurs/naisseurs viennent régulièrement à la Ferme suivre de près la croissance de leurs animaux. La Ferme contribue ainsi au lien social entre les éleveurs de la région.
Pour l’alimentation, la Ferme s’appuie sur une solution d’autonomie et de proximité proposée par des fermes situées en Limousin, Auvergne et Centre, ce qui assure le maintien d’emplois et de revenus régionaux.
La ration alimentaire quotidienne est équilibrée, garantie sans OGM et comprend eau à volonté, blé, tourteaux de colza, maïs grains, pulpe de betterave, paille et minéraux.
Sur le plan sanitaire, le fumier est évacué régulièrement et les aires paillées en permanence de façon à garantir un espace de vie toujours propre. Les effluents sont traités par une unité de méthanisation désormais opérationnelle sur le site.
Durant tout leur séjour à la Ferme de Saint-Martial, les animaux sont régulièrement et scrupuleusement suivis par des vétérinaires. Mis en quarantaine à leur arrivée, ils sont vaccinés. Leur carnet sanitaire tient compte de tous les traitements éventuels ou problèmes de santé et assure une traçabilité parfaite. En cas de maladie ou de blessure, le jeune bovin est isolé dans une case « infirmerie » pour être soigné, afin de respecter les délais en cas de traitements antibiotiques qui ne sont administrés que lorsque c’est nécessaire.
Après leur passage à la ferme, les jeunes bovins, devenus des taurillons, poursuivent leur avancée dans la filière, selon des modes de production conventionnels et dans le respect des réglementations requises en France.
La récente certification de la Ferme de Saint-Martial qui répond désormais à la « Charte des bonnes pratiques d’élevage » nous conforte dans nos choix.
Cette initiative d’éleveurs solidaires nous a paru responsable et nous a donc semblé digne de faire partie de nos approvisionnements. D’autres décisions prises de notre part dans la pêche durable, les conditions d’élevage des poules pondeuses ou la rémunération des producteurs de lait sont les preuves de notre engagement pour le mieux manger et le mieux produire.
Sincèrement et durablement.
Frédéric Thuillier - Secrétaire général
","content":"MESSAGE DE L’ENTREPRISE
Bonjour à toutes et à tous,
Suite à la publication sur votre site d’une campagne lancée initialement par l’association L-PEA, vous trouverez ici des précisions concernant la Ferme de Saint-Martial.
Située à la limite de la Creuse et de la Corrèze et ouverte depuis mai 2016, la Ferme de Saint-Martial est un atelier d’élevage de jeunes bovins. A l’origine du projet se trouve un collectif de 50 exploitations locales, qui représentent 80 éleveuses et éleveurs creusois et corréziens essentiellement de races à viande limousine voire charolaise.
En effet, la configuration des exploitations dans cette région ne permet pas économiquement d’élever des jeunes bovins individuellement et cette solution mutualisée s’est naturellement imposée afin de conserver l’activité localement, contrairement à d’autres éleveurs contraints d’envoyer leurs bêtes dans des centres d’engraissement situés à l’étranger.
La Ferme de Saint-Martial participe à la constitution d’un cercle vertueux. En relocalisant sur place des activités d’élevage auparavant réalisées en Italie, elle redonne du dynamisme économique à des territoires ruraux généralement en déclin et des perspectives d’avenir à des agriculteurs qui entendent bien pérenniser leur activité sur l’ensemble de la chaîne de valeur.
Cette démarche qui amène leurs jeunes bovins à maturité sur place, dans un cadre durable, est garant de la bientraitance des animaux et respectueux de l’environnement.
En outre, toutes les pratiques d’élevage mises en œuvre à la Ferme de Saint-Martial sont conformes à la réglementation existante et contrôlées régulièrement par les services vétérinaires.
Nous avons été séduits par cette initiative dès son origine parce que portée par des éleveurs locaux, au service de l’économie locale et de la pérennité d’une activité agricole qui nous est chère. Cela, parce que nous sommes acteurs et promoteurs de la proximité et de la vitalité économique des territoires et que cette vision de l’économie, au service des communautés humaines locales, est la nôtre.
La journée portes ouvertes organisée par les éleveurs de la Ferme de Saint Martial l’été dernier et qui avait réuni plus de 2000 personnes nous semble être la meilleure preuve de la pertinence de ce projet collectif.
","votes":{"done":true,"no":1220,"yes":195},"followers":{"waiting":1682,"total":10544,"current":10349,"goal":7000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2018-10-04T16:17:15.141Z","submitted":"2018-09-20T16:17:15.141Z","delay":7,"created":"2017-03-13T17:12:25.589Z"},"sources":["https://www.youtube.com/watch?v=bGDeql5vW48","https://wetransfer.com/downloads/c3884d1d158ee6c858373d6cd0f1cea520180918085246/7637dc6973d18ba8933082db0764d16420180918085246/c5a9e3?utm_campaign=WT_email_tracking&utm_content=general&utm_medium=download_button&utm_source=notify_recipient_email"]},{"_id":"5bb68ff043cd7dc86b0ead8f","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2018-10-04T22:10:56.786Z"},"sources":[]}],"actualities":[],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":637,"occasional":967,"loyal":392,"waiting":0,"total":18362,"current":18167,"goal":2000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/58bea1354b4aa90126c12d1d.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/h4z3n59","hashtag":"boycottMousquetaires1000Veaux"},"sources":["https://l-pea.org/?page_id=3589","http://france3-regions.francetvinfo.fr/economie/agriculture/ferme-1000-veaux?r=nouvelle-aquitaine","https://www.youtube.com/watch?v=GfCsjELD4c4","http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/la-ferme-des-1000-veaux-est-lancee-en-creuse-767967.html","https://lpeaorg.files.wordpress.com/2016/08/la-terre-avril-14.pdf","https://www.mediapart.fr/journal/france/100816/dans-la-creuse-la-ferme-des-mille-veaux-sur-la-sellette?onglet=full","http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/07/29/la-justice-suspend-l-autorisation-d-exploiter-une-ferme-des-mille-veaux-dans-la-creuse_4976453_3244.html","http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/08/05/la-prefecture-suspend-l-autorisation-d-exploiter-une-ferme-des-mille-veaux-dans-la-creuse_4979050_3244.html?xtmc=1000_veaux&xtcr=3","https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/la-ferme-des-1-000-veaux-visee-par-une-enquete-1450719981","http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse-segolene-royal-manuel-valls-donnent-leur-feu-vert-doubler-capacite-accueil-ferme-1000-veaux-1152427.html","http://www.lepoint.fr/environnement/saint-martial-le-vieux-la-ferme-des-1-000-veaux-et-des-1-000-maux-26-07-2016-2057028_1927.php?M_BT=195681111517&m_i=9%2BDW68G6kLwO25OuiUBILbymlGrg0cIxosA%2BQ%2BWZNcuZvoz8aYEvhGwKMqLSEEBbHzDtOjS0YKM%2BEv5IL1HLGZtnyeXK9q#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160726","http://www.lamontagne.fr/limousin/actualite/departement/creuse/2012/12/04/la-courtine-le-groupe-jean-roze-intermarche-s-engage-sur-le-centre-d-engraissement-de-jeunes-bovins-de-saint-martial-le-vieux_1360243.html"],"company":{"name":"Les Mousquetaires Intermarché","email":"apostros@mousquetaires.com"},"categories":["alimentation","animals","environment"],"date":{"lastCompanyContact":"2025-05-03T10:00:00.413Z","statusUpdated":"2018-10-04T22:10:56.786Z","created":"2017-03-07T12:01:57.467Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"58bea1354b4aa90126c12d1d"},{"slug":"panzani-et-lustucru-la-cruaute-animale","title":"Panzani et Lustucru : la cruauté animale","content":"Contre l'utilisation des oeufs de poule élevées en cage dans nos aliments :
\r\nLes fournisseurs du groupe Panzani et sa marque Lustucru sont à l'origine d'une maltraitance animale, cela a été révélé grâce à L214 Ethique et animaux. Les poules dont les oeufs servent à la fabrication des pâtes sont élevées en cage pour une production intensive et dans des conditions terribles. Elles n'ont évidemment pas la place nécessaire pour vivre en bonne santé, restent enfermées et surtout ne sont jamais soignées quel que soit leur état.
\r\n
\r\nDes poux sont retrouvés partout sur elles et leurs oeufs, elles sont déplumées, affaiblies, et certaines mortes à côté de leurs congénères.
D'après L214 Ethique et animaux 90% des français sont contre l'élevage des poules en cage. Mais dans notre alimentation quotidienne nous ne savons pas toujours d'où proviennent les ingrédients utilisés et quelle est leur qualité, comme ici.
\r\n
\r\nFaites passer le message autour de vous en appelant au boycott de la marque Lustucru et du groupe Panzani jusqu'à ce que ces conditions d'élevage changent ! Aucun être vivant ne devrait être traité ainsi.
La vidéo sur la page facebook de L214 Ethique et animaux ici :
\r\nToutes les marques du groupe Panzani à boycotter en attendant que cela cesse ici : http://www.groupe-panzani.fr/nos-marques/
","author":"5926c0d1a1996030736c38a6","lang":"fr","nbSupporters":0,"feedback":"","resume":"Victoire : cette campagne est une réussite !\r\n\r\nPanzani et Lustucru ont pris des engagements qui ont convaincu les consom'acteurs :\r\n•\tLa société Geslin possède plusieurs élevages mais l’élevage incriminé n’a jamais fourni le moindre produit à la société Lustucru Frais ;\r\n•\tLe Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal consistant à développer l’élevage en plein air des poules avec l’objectif d’être à 100 % d’œufs hors cage au plus tard d'ici 2025.\r\n\r\nSOURCES :\r\n- https://www.l214.com/communications/20170530-elevage-poules-cages-groupe-panzani\r\n\r\n- http://www.groupe-panzani.fr/engagement-groupe-panzani/","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[],"lastDonators":[]},"couldBeTopListed":false,"status":"FINISHED","messages":[{"_id":"592f0d5aa1996030736c39bd","commitment":"Selon ses mots :
« Le Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal. Nous soutenons l'élevage en plein air des poules avec l'objectif d'être à 100% d’œufs hors cage au plus tard en 2025. »
C'est à présent à vous de jouer pour clôturer la campagne de boycott. Bien sûr, il s’agit de veiller ensemble au respect de ces engagements, et d’être prêts à renouveler la campagne s’ils ne sont pas pris en compte !
Vous êtes les acteurs de cette victoire !
Boycotter seul c'est bien, ensemble c'est le pouvoir et avec bienveillance c'est le changement.
","content":"Grâce à votre mobilisation, Panzani a pris des engagements pour évoluer !
Afin de statuer sur cette campagne, nous avons besoin de votre contribution.
Voici la situation :
Dialoguer avec les consom'acteurs boycottants est un phénomène nouveau pour une entreprise et peut susciter une certaine appréhension.
Or, en l'absence de réponse de la part de l'entreprise cible, nous nous devions de vous tenir informés des décisions positives prises par le groupe Panzani.
En tant que boycottants, vous avez participé à un mouvement citoyen déclenché par L214, qui a amené l’entreprise à s’exprimer à travers un communiqué de presse. Dans ce cadre, à la suite d’une pétition, l’association L214, qui suit de très près la campagne, a souhaité féliciter cette avancée.
","votes":{"done":true,"no":91,"yes":38},"followers":{"waiting":200,"total":789,"current":751,"goal":558},"done":true,"date":{"voteLimit":"2017-06-22T14:19:57.479Z","submitted":"2017-06-15T14:19:57.478Z","delay":7,"created":"2017-05-31T18:37:14.972Z"},"sources":["http://www.groupe-panzani.fr/engagement-groupe-panzani/","https://www.l214.com/communications/20170530-elevage-poules-cages-groupe-panzani"]},{"_id":"5a70deb45f40273f0b302b38","commitment":"Groupe Panzani :
« Le Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal. Nous soutenons l'élevage en plein air des poules avec l'objectif d'être à 100% d’œufs hors cage au plus tard en 2025. »
Lustucru :
«Les Pâtes Lustucru s'engagent à utiliser exclusivement des œufs de poules et ovoproduits provenant d'élevages alternatifs aux cages d'ici 2025. »
C'est à présent à vous de jouer pour clôturer la campagne de boycott. Bien sûr, il s’agit de veiller ensemble au respect de ces engagements, et d’être prêts à renouveler la campagne s’ils ne sont pas pris en compte !
Vous êtes les acteurs de cette victoire !
Boycotter seul c'est bien, ensemble c'est le pouvoir et avec bienveillance c'est le changement.
","content":"Victoire ! Panzani et Lustucru ont pris des engagements !
Le 30 janvier dernier, vous avez décidé de continuer le boycott des entreprises Panzani et Lustucru, estimant que les mesures prises n'étaient pas encore assez convaincantes.
Après les engagements pris par le groupe Panzani, aujourd'hui, et grâce à votre mobilisation, Lustucru a également décidé d'évoluer !
Afin de statuer sur cette campagne, nous avons besoin de votre contribution.
Voici la situation :
Dialoguer avec les consom'acteurs boycottants est un phénomène nouveau pour une entreprise et peut susciter une certaine appréhension.
Or, en l'absence de réponse de la part de l'entreprise cible, nous nous devions de vous tenir informés des décisions positives prises par le groupe Panzani ainsi que par l'entreprise Lustucru.
En tant que boycottants, vous avez participé à un mouvement citoyen déclenché par L214, qui a amené tout d'abord, le groupe Panzani à s'exprimer à travers un communiqué de presse le 30 mai 2017, puis à l'entreprise Lustucru de prendre un engagement public.
","votes":{"done":true,"no":343,"yes":168},"followers":{"waiting":56,"total":4366,"current":4160,"goal":8898},"done":true,"date":{"voteLimit":"2018-04-05T11:52:26.127Z","submitted":"2018-03-29T11:52:26.127Z","delay":7,"created":"2018-01-30T21:08:04.252Z"},"sources":["https://www.l214.com/distributeurs-bannissant-oeufs-batterie","http://www.groupe-panzani.fr/engagement-groupe-panzani/","http://www.lustucru.fr/la-fabrique-lustucru/"]},{"_id":"5ac711fbacf955340423dd66","commitment":"Cet engagement fort du Groupe Panzani en faveur d’un programme responsable sur le soutien de l’élevage en plein air des poules est sur son site :
http://www.groupe-panzani.fr/engagement-groupe-panzani
L’association L214 a d’ailleurs salué notre engagement, qui correspond totalement à ses attentes, et a décidé de retirer la vidéo incriminée et a appelé à ne plus boycotter les produits de la société Panzani
https://www.l214.com/communications/20170530-elevage-poules-cages-groupe-panzani
De plus, la société Lustucru est en avance sur son engagement puisqu’aujourd’hui toutes les pâtes sèches fabriquées pour les cantines et restauration collective sont produites avec des œufs issus de poules hors cage.
Nos cahiers des charges avec nos fournisseurs d’œuf ont été revus pour favoriser les œufs issus de poules hors cage et accentuer encore nos exigences concernant le bien-être animal.
","content":"Suite au communiqué du 29 mai 2017 de l’association L214 sur les mauvaises conditions d’un élevage d’œufs qui aurait fourni la société Lustucru Frais, celle-ci a apporté à L214 ainsi qu’aux consommateurs les précisions suivantes:
- La société Lustucru Frais partage l’indignation des consommateurs face à ces images insoutenables et ne cautionne en aucune mesure de telles pratiques
- La société Geslin possède plusieurs élevages mais l’élevage incriminé n’a jamais fourni le moindre produit à la Société Lustucru Frais.
- La société Lustucru Frais va porter plainte pour diffusion de fausses informations
- La société Lustucru Frais rappelle qu’elle est fortement engagée dans un programme responsable sur le bien-être animal consistant à développer l’élevage en plein air des poules avec l’objectif d’être à 100 % d’œufs hors cage d’ici 2025.
","votes":{"done":true,"no":298,"yes":396},"followers":{"waiting":239,"total":6273,"current":5671,"goal":3898},"done":true,"date":{"voteLimit":"2018-10-23T20:37:09.580Z","submitted":"2018-10-16T20:37:09.580Z","delay":7,"created":"2018-04-06T06:21:47.520Z"},"sources":["http://www.groupe-panzani.fr/engagement-groupe-panzani/","https://www.l214.com/communications/20170530-elevage-poules-cages-groupe-panzani"]}],"actualities":[],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":0,"occasional":0,"loyal":0,"waiting":0,"total":6512,"current":5910,"goal":3898},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/592d5d19a1996030736c3955.jpg","share":{"hashtag":"iboycottpanzani"},"sources":["https://panzani-lustucru.stopcruaute.com/"],"company":{"name":"Lustucru Panzani","email":"valerie.beauchene@lustucrufrais.fr"},"categories":["alimentation","animals"],"date":{"lastCompanyContact":"2018-10-04T16:00:00.786Z","statusUpdated":"2018-10-23T22:00:00.143Z","created":"2017-05-30T11:52:57.958Z"},"isDeleted":false,"isFinished":true,"isVoting":false,"isWaiting":false,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"592d5d19a1996030736c3955"},{"slug":"mcdonald-s-l-evasion-fiscale-a-quel-prix","title":"McDonald's, l'optimisation fiscale, à quels prix?","content":"Les frères Mcdonald ont ouvert leur premier fast-food en 1937 aux États-Unis avant de se faire racheter en 1955 par Ray Kroc. Aujourd'hui, McDonald's est présent dans de très nombreux pays avec, par exemple, 1380 fast-foods rien qu'en France. Il y aurait de nombreuses raisons de lancer cette campagne de boycott. On pense notamment à l'affaire \"McDonald's Restaurants contre Morris & Steel\" dans les années 1980, où deux activistes avaient distribué des tracts pour alerter les consommateurs sur la qualité de la nourriture, les impacts environnementaux ou encore la politique sociale des fast-foods McDonald's. Plus récemment, en 2004, le film \"Super Size Me\" avait pour but de mettre en avant les dangers liés au fait de manger trop régulièrement dans des fast-foods. A l'heure ou la précarité bat des records en France, il nous semble cohérent de concentrer nos efforts sur la politique d'optimisation fiscale de McDonald's.
\nLe principe de l'optimisation fiscale c'est d'utiliser les failles du système fiscal, de manière légale, pour réduire le montant de l'imposition (contrairement à l'évasion fiscale, qui est illégale).
\nPar exemple, en 2014, 80% des restaurants McDonald's étaient des franchises. Selon le Huffingtonpost, ces franchises \"versent des redevances exorbitantes à une société défiscalisante basée au Luxembourg à hauteur de 22% du chiffre d’affaires en moyenne. Le bénéfice est donc impossible\" (1). Selon un rapport publié par des fédérations syndicales européennes, McDonald's aurait économisé environ 1 050 millions d'euros entre 2009 et 2013 au sein de l'Union européenne. Dans son rapport, la commission européenne explique comment McDonald's parvient à échapper à l'impôt non seulement au sein de l'union européenne mais également aux États-Unis.
\nLe siège européen de McDonald's (étant à l'époque implanté au Luxembourg d'où il percevait toutes les recettes de ses restaurants européens) disposait d'avantages fiscaux l'exonérant d'impôts. McDonald's transférait ensuite ses recettes vers la Suisse où le taux d'imposition est faible puis redirigeait les flux vers le siège des États-Unis où l'entreprise était une nouvelle fois exonérée d'impôts en vertu du principe juridique de la non-double imposition (selon lequel une personne physique ou morale ne peut être imposée deux fois).
\nD'après Gabriel Zucman, interviewé par France 24, \"sur la période 2009 - 2013, McDonald's a évité un milliard d'euro sur 20 milliards de chiffre d'affaire réalisé en Europe.\" (2)
\nLe rapport présenté pas les trois fédérations syndicales européennes cité précédemment nous apprend que sur les 1 050 millions d'euros économisés par McDonald's, entre 386 et 713 proviendraient des restaurants français de la firme internationale.
\nEn Décembre 2015, Eva Joly, députée au parlement européen et avocate affirme que McDonald's économiserait environ 75 million d'euros par an et dépose une plainte au parquet financier pour « blanchiment de fraude fiscale en bande organisée » ce qui, par la suite, a provoqué la perquisition de dossiers importants au siège français de McDonald's à Guyancourt (Yvelines).
\n
D'une part, ce système d'optimisation fiscale porte directement préjudice aux employés des franchises McDonald's, comme l'explique Maître Pecoraro : \"les plus grands fraudeurs sont aussi ceux qui payent le moins les salariés, donc ces mêmes salariés vont avoir recours plus que les autres aux aides publiques\" (3). D'autre part, c'est le système français (et donc chaque français) qui doit payer le manque à gagner ; d'autant plus que l'enseigne McDonald's profite déjà de certaines aides françaises : d'après le ReAct et la CGT : \"À cela, s’ajoute les aides fiscales du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) – l’équivalent de 0,7% de son chiffre d’affaires en 2013 pour « création d’emploi » alors même que le groupe connaît un turn-over de près de 60%.\" (4).
\n
Bien évidemment, l'optimisation fiscale est une grande injustice pour les PME et TPE françaises comme le confirme Maître Pecoraro : \"C'est une concurrence parfaitement et délibérément injuste à l'égard des entreprises locales. [....] Les créateurs d'entreprise et d'emploi en France, eux ils payent leur 33, 5% d’impôts sur les sociétés mais pas McDonald's\" (3).
\n
Enfin, d'après l'équipe d'Osons Causer, chaque année l’État français perd 60 milliards d'euros de recette fiscale.
\n(Pour comparaison, les recettes de l'impôt sur le revenu représentent 69 milliards d'euros et le budget de l'éducation nationale 68 milliards d'euros).
\nLe manque à gagner pour chaque contribuable français est de 1635 € par an, soit 136,24 € par mois.
\nEn comparaison, la fraude au RSA représente au maximum 0,23 € par mois par contribuable. En comparaison, la cour des comptes évalue les fraudes liées à \"l'assistanat\" (maladies, retraites, aides familiales), à 3 milliards d'euros par an soit 6,81 € par mois par contribuable. La priorité des français est donc bien l'optimisation et l'évasion fiscale. (5)
\nLe libre consentement à l'impôt et la contribution du citoyen à l’État en fonction de ses facultés sont des principes constitutionnels français en vertu des articles 13 et 14 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen.
\n
\n
Depuis de nombreuses années, McDonald's semble s'intéresser au développement durable. En effet, d'après les données du rapport RSE 2016 (6), les McDonald's Français s'approvisionnent à 73% en France, ils commencent à instaurer le tri sélectif et depuis 2010, des fruits sont proposés en dessert. Nous saluons cette politique de développement durable et nous sommes certains que McDonald's ne sera pas insensible au message d'espoir que nous souhaitons lui faire passer.
\nNous aimerions que McDonald's soutienne les Français, qui sont en partie aussi ses employés et ses clients. En effet, la France était le deuxième meilleur marché de McDonald's en 2009 et elle était en 2015 l'un des seuls pays qui présentait une croissance en hausse des actions de McDonald's.
\nNous aimerions que McDonald's paye ses impôts en France pour que les français puissent vivre mieux, d'une part parce que leur impôts seront réduits, et d'autre part parce que le service public sera de meilleur qualité.
\nAvec la participation d'Anatole Tilly.
\nSources :
\n1 Article du Huffingtonpost : http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/18/mcdonalds-fraude-fiscale-plainte-eva-joly_n_8836084.html
\n2 Interview France 24 : https://www.youtube.com/watch?v=ojbIDf9ACUE
\n3 Interview France 24 : https://www.youtube.com/watch?v=0Y28x_Sba-Q
\n4 Article Bastamag : https://www.bastamag.net/Chez-McDo-la-lutte-contre-l-evasion-fiscale-rejoint-celle-pour-de-meilleures
\n5 Osons causer : https://www.youtube.com/watch?v=DHyUFtX_Mqs
\n6 Rapport RSE 2016 de McDonald's : http://www.synergence.net/mcdo/mcDo_JDD2016/mcdonalds_developpement_durable_rapport2016_html/index.html#2/z
\n
Site de McDonald's : https://www.mcdonalds.fr/entreprise/historique
\nAffaire McDonald's Restaurants contre Morris & Steel : http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20050216.OBS9021/deux-militants-anti-mcdo-gagnent-leur-proces.html
\nFilm Super size me : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=56838.html
\nJT M6, le 12 45 : https://www.youtube.com/watch?v=hm6fCoTjYns
\nJT TF1 : https://www.youtube.com/watch?v=pHJ-aK8tos4
\nFrance 24 : https://www.youtube.com/watch?v=0Y28x_Sba-Q
\nLe figaro économie (4 Décembre 2015) : http://www.lefigaro.fr/societes/2015/12/04/20005-20151204ARTFIG00016-comment-mcdo-echappe-a-l-impot-avec-la-complicite-du-luxembourg.php
\nLe Parisien (20 Janvier 2016) : http://www.leparisien.fr/economie/impots-mcdo-france-passe-a-table-20-01-2016-5467869.php
\nDéclaration des droits de l'homme : http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/la-constitution/la-constitution-du-4-octobre-1958/declaration-des-droits-de-l-Homme-et-du-citoyen-de-1789.5076.html
\n
\n
Deux bonnes nouvelles sur le terrain de l’optimisation fiscale.
\nLa première concerne l’UE. La majorité des États membres sont favorables à une directive forçant les multinationales à plus de transparence. L’objectif est d’obliger les plus grandes entreprises européennes à révéler publiquement leur chiffre d’affaires, leurs bénéfices, l’assiette fiscale et les impôts payés dans chaque pays où elles sont présentes.
\nLa seconde concerne l’ONU et le rapport « Facti Panel ». Le rapport, réalisé par des experts financiers venus de 17 pays, expose des recommandations à mettre en place pour arriver à une intégrité financière et une transparence fiscale mondiale. Tous les ans, l’optimisation fiscale coûte 500 à 600 milliards de dollars.
\nL’instauration d’un nouvel ordre financier mondial permettrait d’atteindre les objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU. La fin de l’optimisation fiscale pourrait donc ouvrir la voie à un monde plus équitable mais aussi plus respectueux de notre planète.
\nAujourd’hui, nous avons le pouvoir de faire cesser ces pratiques. Des entreprises comme Amazon, Starbucks ou McDonald’s ne peuvent pas continuellement s’en sortir sur le plan fiscal. Nous pouvons dès aujourd’hui leur faire entendre notre voix en les boycottant !
\nSources :
\n- UE : Les États membres soutiennent une meilleure transparence fiscale des multinationales, Le Figaro, 25/02/2021. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/ue-les-etats-membres-soutiennent-une-meilleure-transparence-fiscale-des-multinationales-20210225
\n- Les recommandations de l’ONU pour un nouvel ordre financier, L’Orient-Le Jour, 27/02/2021. https://www.lorientlejour.com/article/1253453/les-recommandations-de-lonu-pour-un-nouvel-ordre-financier.html
","_id":"603fcf410670dcbd20fc116e","created":"2021-03-03T18:02:41.034Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":766,"occasional":1067,"loyal":277,"waiting":0,"total":15842,"current":15842,"goal":2000},"comments":{"accounted":0,"total":1},"image":"/cdn/image/campaigns/59bfd2e038fc1ad20fc7193e.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/y7q8twy8","hashtag":"iBoycottMcdonalds"},"sources":["http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/18/mcdonalds-fraude-fiscale-plainte-eva-joly_n_8836084.html","https://www.youtube.com/watch?v=ojbIDf9ACUE","https://www.youtube.com/watch?v=0Y28x_Sba-Q","https://www.bastamag.net/Chez-McDo-la-lutte-contre-l-evasion-fiscale-rejoint-celle-pour-de-meilleures","https://www.youtube.com/watch?v=DHyUFtX_Mqs"],"company":{"name":"McDonald's","email":"nawfal.trabelsi@fr.mcd.com"},"categories":["finance","justice"],"date":{"lastComment":"2017-09-20T07:53:01.245Z","lastCompanyContact":"2025-04-19T04:00:00.629Z","statusUpdated":"2017-11-01T07:09:14.547Z","created":"2017-09-18T14:06:24.358Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"59bfd2e038fc1ad20fc7193e"},{"slug":"apple-le-cout-de-la-nouveaute","title":"Apple : le coût de la nouveauté","content":"En 2017, le SMIC, en légère hausse, est passé à 1153€ net. Il faudra alors plus d’un mois de travail à un smicard pour s’offrir le nouvel arrivant d’Apple, l’iPhone X. Dix ans après la sortie du premier iPhone, après être passé au travers de succès et scandales, Apple sort l’iPhone X. Son prix sera de 1159€ pour 64 Go et environ 1329€ pour la version 256 Go, en faisant ainsi le smartphone le plus cher au monde [1]. Obsolescence programmée des appareils, conditions de travail difficiles des ouvriers, optimisation fiscale … le prix exorbitant de l’iPhone X n’est pourtant qu’une infime partie des raisons pour lesquelles il est temps de boycotter Apple.
\n1) Obsolescence programmée
\nD’après le rapport d’IFixit commandé par Greenpeace sur l’obsolescence programmée[2][3], parmi les marques de téléphones, tablettes et ordinateurs portables les plus vendues, la palme du cancre revient à Apple[4].
\nPourquoi ? Le rapport met en lumière les réparations parfois impossibles, les produits fragiles, les batteries irremplaçables et les coûts de réparation excessifs des produits. La conclusion de ce rapport n’est pourtant pas une surprise puisque l’obsolescence programmée des appareils Apple a souvent été pointée du doigt. En 2012 déjà, Apple scandalisait ses utilisateurs avec la sortie de l’iPhone 5[5] et le changement de connectique des chargeurs. Plus récemment, les utilisateurs d’iPhone n’ayant pas le dernier modèle en date se sont plaints de mises à jour iOS (notamment iOS9 [6][7] et iOS11 [8][9]) qui semblent les inciter à passer au modèle suivant, constatant, dès la mise à jour effectuée, des ralentissements, bugs dans les applications, ou encore une chute impressionnante de l’autonomie [10].
\nPourtant, depuis la loi sur la transition énergétique de juillet 2015, l'obsolescence programmée est officiellement interdite par la loi.
\n2) Conditions de travail difficiles
\nLes conditions de travail dans les usines de productions et d'assemblage des appareils Apple sont régulièrement dénoncées. En 2016, Deijan Zeng, un étudiant américain, s’est fait employer pendant 6 semaines dans une usine Pegatron située en banlieue de Shanghai, (fabrication des iPhone 6S, 7 et 8).
\nSon témoignage a été publié sur le site américain Business Insider et traduit notamment par zdnet.fr [12] :
\n« Début du travail à 19h30 jusqu'à 7h30, les pauses ne sont pas payées. L'étudiant évoque des répétitions de geste abrutissantes, comme par exemple l'insertion de vis au dos d'iPhone 6s et 7 pendant 12 heures pour un salaire effectif calculé sur 10,5 heures. Deijan Zeng aurait vissé 1.800 vis par jour pendant cette période [de 6 semaines]. L'étudiant pointe également un règlement qui oblige les ouvriers à rester silencieux et à ne pas quitter leur poste même quand l'assemblage d'un téléphone ne leur est pas confié. Deux heures peuvent ainsi s'écouler dans une solitude que Deijan Zeng apparente à de la \"torture\". Surtout que la sanction en cas de manquement à ce règlement consiste à se voir retirer sa chaise. L'attente continue ainsi debout. […] Les heures de travail terminées, Deijan Zeng a partagé un dortoir avec 7 autres employés de Pegatron sur le site de l'usine. Il dénonce là aussi des conditions de vie spartiates. L'étudiant évoque un turnover important, avec des employés qui arrêtent leur travail au bout de quinze jours. »
\nPar ailleurs, dans les dortoirs, les douches n’étaient quasiment alimentées qu’en eau froide et il arrivait parfois qu’il n’y ait pas d’eau du tout.[13] Deijan Zeng raconte également qu’il est interdit de s’allonger pendant la pause de midi (50 minutes) sous peine d’écoper d’une diminution de salaire. Le média belge lesoir.be revient sur son témoignage quant aux horaires : « il a constaté que les journées de travail durent 12 heures et en une semaine, l’ouvrier doit donc prester 60 heures. Cependant, selon Apple, ce sont “seulement” 43 heures en moyenne qui seraient effectuées par les ouvriers. Le reste correspondant à des heures supplémentaires.»
\nDes conditions de travail déplorables pourtant déjà signalées dans un rapport de l’ONG China Labor Watch (CLW) en juillet 2013, qui détaillait les violations de droit du travail dans trois usines de Pegatron Group. Pourtant, dans le dernier rapport d’évolution sur la responsabilité des fournisseurs d’Apple, Jeff Williams, le COO de la firme, affirme : « Apple s’engage à ce que tous les employés de sa chaîne logistique soient traités avec la dignité et le respect qui leur sont dus. Année après année, notre équipe met la barre toujours plus haut pour améliorer les conditions de travail, offrir des opportunités de formation, améliorer les conditions de vie et protéger les droits de l'Homme »[14]
\n3) Optimisation fiscale
\nApple ne contribue pas à l’économie européenne comme elle le devrait. En effet, accusée d'avoir bénéficié d'une disposition particulière lui permettant de payer moins d'impôts en Irlande entre 1991 et 2014, l’entreprise a été condamnée le 30 août 2016 par la Commission Européenne à verser 13 milliards d’euros d’impôts impayés à l’Irlande.[15]
\nD’après Channel News, dans un article de juin 2017 : «En vertu de deux accords signés avec le fisc irlandais, l’un en 1991, l’autre en 2007, cette dernière n’aurait versé en moyenne que 2% d’impôts sur les bénéfices réalisés par ses filiales locales alors que le taux officiel est de 12,5%. Grâce à différents montages financiers, le fabricant n’aurait ainsi payé en 2014 que 0,005% d’impôt sur tous les bénéfices des ventes européennes rapatriés dans le pays. »[16] Depuis, l’exécutif européen a attaqué le gouvernement Irlandais, pour «non-exécution de la décision de la commission européenne » pour ne pas avoir récupéré la somme qu’Apple aurait du leur payer.[17] Comme le rappelle l’association ATTAC dans sa dernière campagne « Il y a un pépin dans l’Apple »[18] : « Le prix des iPhones ne cesse d’augmenter alors qu’Apple réalise une marge de près de 40% et a accumulé un pactole indécent de plus de 200 milliards d’euros dans les paradis fiscaux » Alors, que faire ?
\nNous réclamons qu’Apple :
\n- Participe à l'effort fiscal en France en mettant fin à l'optimisation fiscale agressive
\n- Facilite la réparation et augmente la durabilité de ses appareils
\n- Améliore les conditions de travail de ses employés et sous-traitants
\n[2] https://www.greenpeace.fr/obsolescence-programmee-lautre-virus-secteur-it/
\n[3] https://www.rethink-it.org/en/#
\n\n[5] https://www.consoglobe.com/obsolescence-programmee-appareils-cg/2
\n[6] http://www.journaldugeek.com/2015/12/31/plainte-apple-obsolescence-ios9-iphone-4s/
\n\n[8] http://www.zone-numerique.com/ios-11-batterie-iphone-plombee-par-le-nouvel-os.html
\n\n[10] https://www.wandera.com/blog/ios-11-battery-drain/
\n[11] http://www.liberation.fr/debats/2015/09/23/l-iphone-6s-deja-obsolete_1389035
\n\n[13] http://hitek.fr/actualite/etudiant-denonce-usine-iphone_12653
\n[14] https://images.apple.com/fr/supplier-responsibility/pdf/FRFR_Apple_SR_2016_Progress_Report_SR.pdf
\n\n[16] https://www.channelnews.fr/lirlande-embarrassee-collecter-13-milliards-dapple-74598
\n\n[18] https://france.attac.org/se-mobiliser/apple-iphonerevolt/article/il-y-a-un-pepin-dans-l-apple
","author":"59c5391763652481591908fd","lang":"fr","nbSupporters":2,"feedback":"","resume":"Plusieurs scandales existent concernant la société Apple :\r\n•\tObsolescence programmée (réparations parfois impossibles, produits fragiles, batteries irremplaçables, coûts de réparation excessifs, mises à jour iOS qui engendrent des ralentissements, des bugs ou une baisse de l'autonomie de la batterie) ;\r\n•\tConditions de travail difficiles, plusieurs fois dénoncées dans les usines de production et d'assemblage en Chine (témoignage de Deijan Zeng, rapport ONG China Labor Watch) ;\r\n•\tOptimisation fiscale (condamnation en 2016 par la Commission Européenne à verser 13 milliards d'euros d'impôts impayés).\r\n\r\nNOS REVENDICATIONS :\r\n•\tApple doit cesser l'optimisation fiscale qui nuit aux Français en ne contribuant pas à l'effort fiscal du pays, ce qui détruit le service public et oblige les contribuables (nous !) à payer le manque à gagner ;\r\n•\tApple doit faciliter la réparation et augmenter la durabilité de ses appareils ;\r\n•\tApple doit s'assurer de l'amélioration des conditions de travail de ses employés, y compris ceux de ses sous-traitants.\r\n\r\nSOURCES :\r\n- https://www.greenpeace.fr/obsolescence-programmee-lautre-virus-secteur-it/\r\n\r\n- https://www.zdnet.fr/actualites/un-etudiant-americain-denonce-les-conditions-de-travail-\r\ndans-les-usines-d-un-prestataire-d-apple-39851266.htm\r\n\r\n- http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2016/08/29/32001-20160829ARTFIG00234-l-europe-\r\ns-apprete-a-sanctionner-les-pratiques-fiscales-d-apple.php","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2024-10-07T16:20:09.449Z","fullName":"Pauline Palayret","lastName":"Palayret","firstName":"Pauline","_id":"67040879a6e306a33977209b","values":["URL"]},{"date":"2022-04-07T18:40:19.656Z","fullName":"Patricia Boulet","lastName":"Boulet","firstName":"Patricia","_id":"624ddd6109f87f5319ead167","values":["Facebook"]},{"date":"2021-02-14T20:55:23.283Z","fullName":"Johanna Delmelle","lastName":"Delmelle","firstName":"Johanna","_id":"60298d5a0670dcbd20fc1078","values":["URL"]},{"date":"2021-02-14T19:18:13.386Z","fullName":"Ju Pi","lastName":"Pi","firstName":"Ju","_id":"602976980670dcbd20fc1076","values":["URL"]},{"date":"2021-01-30T17:05:48.849Z","fullName":"Anne-Marie Musha","lastName":"Musha","firstName":"Anne-Marie","_id":"601590feb8ffac3b7a1ecb42","values":["Email"]},{"date":"2021-01-30T12:17:01.902Z","fullName":"Julien Leconte","lastName":"Leconte","firstName":"Julien","_id":"60154cc2b8ffac3b7a1ecb36","values":["URL"]},{"date":"2021-01-20T15:04:31.890Z","fullName":"Vincent REIGNER","lastName":"REIGNER","firstName":"Vincent","_id":"6007f8d58d3e71490e17d933","values":["URL"]},{"date":"2021-01-18T07:16:18.096Z","fullName":"SIMON LOUISTISSERAND","lastName":"LOUISTISSERAND","firstName":"SIMON","_id":"600533f2cd3062493819e2be","values":["URL"]},{"date":"2020-12-28T06:19:34.088Z","fullName":"Pierrick DOERLER","lastName":"DOERLER","firstName":"Pierrick","_id":"5f3093f756331eb502476772","values":["Facebook"]}],"lastDonators":[]},"couldBeTopListed":true,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"5a2038ee9dd40d833855c222","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2017-11-30T16:59:26.434Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"AMENDE HISTORIQUE : APPLE PASSE À LA CAISSE !","content":"La somme sera répartie entre la Californie et les 33 autres Etats ayant entamé des poursuites judiciaires à l’encontre d’Apple. Dans un communiqué, Xavier Becerra, procureur général en charge de l’affaire, se félicite de la décision du groupe.
\n« Apple a dissimulé des informations sur les batteries qui ralentissaient le fonctionnement des iPhone en laissant croire à des mises à jour. Ce type de comportement nuit au portefeuille du client et réduit sa capacité à faire des achats en toute connaissance de cause. L’accord conclu aujourd’hui assure aux acheteurs un accès à l’information dont ils ont besoin pour acheter et utiliser des produits Apple » (Xavier Becerra)\n
\nEn attendant que la firme stoppe définitivement sa politique d'obsolescence programmée, le combat continue !!! En cette fin d'année, nous appelons toute notre communauté à relayer cette campagne auprès de vos proches et ami.e.s ! Apple a peut-être une image de qualité à vos yeux mais en réalité la firme fait tout pour que vous rachetiez leurs produits année après année. Quel monde voulez-vous ? Un monde où un smartphone, une tablette ne marche bien que pendant un ou deux ans ?
\nPour cette raison : #BoycottApple #StopObsolescence
Le documentaire « Markencheck » diffusé le 16 octobre sur la chaine allemande ARD (https://www.youtube.com/watch?v=DAWl00eJX00) dévoile les dessous effrayants de certains ingrédients de la marque HARIBO. Nous demandons à l’entreprise HARIBO de contrôler la production de la gélatine (et d'évoluer vers l'utilisation d'une gélatine végétale) et de la cire de carnauba pour les raisons suivantes :
\r\n\r\nLes bonbons HARIBO sont confectionnés avec un ingrédient importé de très loin : la cire de carnauba. Elle donne de l’éclat aux bonbons et permet d’éviter qu’ils ne collent. La cire de carnauba vient du Brésil et elle est récoltée dans des conditions de travail que l’on pourrait qualifier d’esclavage moderne. Elle est extraite de palmiers qui poussent dans des régions extrêmement pauvres du pays (Piaui, Ceara, Maranhao, Bahia et Rio Grande do Norte). La récolter et la travailler est un travail dangereux où les ouvriers se blessent et y gagnent en moyenne dix euros par jour. Ils ne bénéficient d’aucune protection et gagnent leur vie en fonction de leur récolte. Souvent, ils sont logés dans des conditions désastreuses : ils n’ont pas d’accès aux sanitaires, boivent de l’eau non filtrée de la rivière, dorment dans des camions, travaillent dans des conditions épouvantables. En bref, leur dignité humaine est bafouée. Le travail d’enfants et le travail illégal ne sont pas rares dans ces plantations. Les travailleurs brésiliens, poussés par la pauvreté, y vivent dans dans des conditions inhumaines : « Les personnes sont traitées comme des objets, même pas comme des animaux », témoigne Sergio Carvalho du ministère du travail Brésilien. Les détenteurs de ces palmeraies, punis par la loi, feignent d’ignorer les conditions. Parallèlement, la région gagne beaucoup d’argent avec l’export de cette même cire (d’une valeur de 100 millions d’euros).
\r\nLa gélatine qu’utilise HARIBO (« Gelita ») est fabriquée à partir d'os et de couenne de porcs élevés par \"Westfleisch\" à Münster. Des images du reportage d’ARD dénoncent une réalité intolérable : les animaux y vivent dans leurs propres excréments, manquent de toute évidence de soins (les yeux infectés et les plaies ouvertes), n’ont pas accès à l’eau potable et les petits ne sont pas séparés des adultes qui les agressent jusqu’à la mort.
\r\n(https://tierretter.de/haribo/)
\r\nNous invitons l'ensemble des consommateurs et consommatrices à ne plus acheter ces produits HARIBO tant que ces pratiques non éthiques subsistent.
\r\nNous invitons HARIBO a réagir et évoluer vers des pratiques plus durables :
- Cire de carnauba : Améliorer les conditions de travail
\r\n
\r\n- Gélatine de porc : Changer de fournisseur à court terme et utiliser de la gélatine végétale sur le long terme.
\r\n
\r\nNous souhaitons qu'HARIBO comprenne qu'un consommateur satisfait est aussi un consommateur qui sait que ses dépenses contribuent au cercle vertueux de l'économie et servent de l'intérêt général.
\r\n
CONDITIONS DE TRAVAIL DANS LA FILIÈRE CARNAUBA
La cire de carnauba est extraite du palmier de Carnauba, présent dans le Nord-Est du Brésil. Utilisé comme ingrédient, la cire de carnauba permet d’enrober nos bonbons pour éviter qu’ils ne collent entre eux.
Nous travaillons exclusivement avec des fournisseurs de cire de carnauba membres de l’Union pour le Biocommerce Ethique qui respectent la norme de BioCommerce Ethique, dont la certification est obligatoire et régulièrement évaluée grâce à des organismes indépendants. Cette norme garantit le respect des principes établis par l’Organisation Internationale du Travail et définit des dispositions précises en matière de droit du travail comme le respect de l’âge minimum légal des travailleurs, la protection des rémunérations, la fixation des salaires minima, ou encore l’accès à une sécurité sociale.
Pour aller plus loin, Haribo a contribué activement à l’Initiative Carnauba Responsable. Cette initiative a pour objectif de développer de nouvelles approches encore plus ambitieuses face aux enjeux sociaux et environnementaux de la production de cire de carnauba. Ces travaux ont été présentés à la conférence de l’Union pour le BioCommerce Éthique à Paris en juin 2018. Nous avons mis en place un plan d’action spécifique renforcé pour la saison de récolte 2018 de cire de carnauba (qui a lieu d'août à décembre), afin d’améliorer les conditions de travail, la transparence et la traçabilité dans la filière.
Enfin, nous accompagnons nos fournisseurs de cire de carnauba dans le déploiement d’actions locales concrètes : formations au droit du travail et à la sécurité, distribution d’équipements de protection individuels ou encore installations de blocs sanitaires pour la période de récolte.
BIEN-ÊTRE ANIMAL DANS LA FILIÈRE GÉLATINE
La gélatine est un ingrédient d’origine animale qui constitue un liant et un gélifiant essentiel à la texture (malléabilité et fermeté) unique de certains de nos bonbons. Il s’agit donc d’un ingrédient indispensable à la confection de certains de nos produits
Nous avons renforcé les contrôles de nos fournisseurs et à la fin de l’année 2018 nous aurons audité sur site chacun d’entre eux à l’aide de vérificateurs externes indépendants, en portant une attention particulière sur le respect du bien-être animal.
Nous exigeons de nos fournisseurs de gélatine la certification de leurs propres fournisseurs en matière de bien-être animal et le respect de ces normes fait l’objet d’audits réguliers.
En parallèle, et parce que le respect du bien-être animal nous est essentiel, nous poussons cette exigence auprès de l’Association Européenne des Producteurs de Gélatine qui représente 98% de la production européenne. Nous avons mis en place un groupe de travail afin d’améliorer les pratiques de l’ensemble de la filière, au-delà de nos simples fournisseurs, en conformité avec les Cinq Libertés Fondamentales du droit des animaux reconnues par l’Organisation Mondiale de la Santé Animale.
","content":"Bonjour à toutes et à tous,
Les images diffusées en octobre 2017 dans le reportage « Markencheck » de la chaine de télévision allemande ARD, montraient des conditions de production de la cire de Carnauba inhumaines et illégales, ainsi que des élevages de porc sans aucune considération du bien être animal. Ces images nous ont marqués et ont suscité dans nos équipes surprise et indignation, de telles pratiques étant totalement incompatibles avec nos valeurs de joie de vivre, de plaisir et de partage, indissociables d’une éthique irréprochable tout au long de notre chaîne d’approvisionnement.
Suite à la diffusion du reportage, nous avons donc très vite enquêté en interne, ainsi qu’à l’aide d’observateurs externes indépendants, avec pour but de se doter d’une vision exhaustive des conditions d’exploitation dans notre filière d’approvisionnement (chez nos fournisseurs directs bien sûr, mais aussi chez leurs sous-traitants) pour pouvoir traiter les éventuels écarts . Les investigations menées par les auditeurs indépendants n’ont pas permis de confirmer que les situations décrites dans le reportage se déroulaient chez nos fournisseurs de cire de carnauba ou de gélatine de porc. Pour autant, nous ne sommes pas restés inactifs et avons en place des mesures concrètes afin de nous assurer que nos fournisseurs présents et à venir respectent et respecteront nos exigences en matière de responsabilité sociétale, notamment en garantissant des conditions de travail décentes aux travailleurs de notre chaîne d’approvisionnement et en respectant le bien-être animal. En parallèle, nous contribuons activement à la diffusion de bonnes pratiques dans l’ensemble de ces filières, au-delà de notre approvisionnement direct.
Aujourd’hui nous partageons avec vous l’ensemble des actions mises en place lors de ces derniers mois et vous présentons notre démarche de progrès continu sur ces sujets.
Soyez sûr que Haribo prend ces sujets avec le plus grand sérieux et y porte une attention toute particulière : nos standards sociaux et éthiques sont non négociables dans nos relations avec nos fournisseurs.
L’ensemble de nos collaborateurs est mobilisé afin de garantir l’exemplarité des modes de production de nos produits.
Bien cordialement,
Jean-Philippe André
Président de Haribo France
","votes":{"done":true,"no":846,"yes":350},"followers":{"waiting":971,"total":9815,"current":9465,"goal":7000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2019-01-07T13:45:47.363Z","submitted":"2018-12-21T13:45:47.363Z","delay":7,"created":"2017-12-10T09:57:17.492Z"},"sources":["https://www.ethicalbiotrade.org/initiative-for-responsible-carnauba","https://www.ethicalbiotrade.org/resources","https://www.ethicalbiotrade.org/annual-conference/","https://www.gelatine.org/fr.html","http://www.oie.int/fr/bien-etre-animal/le-bien-etre-animal-dun-coup-doeil/"]},{"_id":"5c3383b7850f320c3b82a6be","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2019-01-07T16:52:07.574Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"HARIBO nie les faits ","content":"HARIBO a pris position face aux révélations du documentaire ARD MARKENCHECK. L'entreprise juge les accusations démesurées. Ni les conditions de travail au Brésil, ni les conditions de vie des animaux ne seraient à déplorer. Selon l'entreprise aussi bien les fermes brésiliennes que les abattoirs allemands seraient irréprochables.
\nHARIBO avoue néanmoins avoir pris connaissance de cas isolés au Brésil, où les salaires minimum ne seraient pas respectés. Un porte-parole de la grande enseigne affirme qu'HARIBO va faire le nécessaire pour garantir une rétribution raisonnable, sans quoi ils se verraient obligés de changer de fournisseurs.
\nCes chiffres vous paraissent excessifs ? Indécents ? Intolérables ? Ils ne concernent malheureusement que les restaurants français de McDonald’s !
\n
\nMais ce n’est clairement pas le seul acteur de la restauration rapide française à l'image de Burger King, Quick, KFC ou encore Starbucks. Tous ces acteurs participent en s'accaparant les ressources nécessaires et en ne recyclant pas leur déchets, à polluer massivement l’environnement. Toutefois, McDonald’s est l'enseigne la plus connue et implantée en France sur laquelle il y a la plus grande documentation à ce sujet, voici pourquoi la campagne porte sur McDonald's.
\nLa multinationale McDonald’s est déjà ciblée par la communauté I-boycott dans une première campagne, concernant l’optimisation fiscale car en plus de participer à la destruction de l’environnement, McDonald's se dispense de payer ses impôts sur les sociétés en France ! Quelle HONTE ! Lien de l'autre campagne de boycott : https://www.i-boycott.org/campaigns/mcdonald-s-l-evasion-fiscale-a-quel-prix
\nMais McDonald’s c’est aussi des scandales notamment pour ses pratiques sociales, anticoncurrentielles, ainsi que pour les effets néfastes sur notre santé désormais bien identifiés. L’association Zéro Waste France (ayant pour principaux objectifs de promouvoir la réduction des déchets et de permettre une meilleure gestion de nos ressources) a publié, à l'occasion de l'assemblée générale annuelle de McDonald's à Chicago en 2017, un rapport (de 42 pages!) analysant la politique déchets de l’enseigne. Leur rapport est sans équivoque : \"McDonald's doit porter la responsabilité de tous les déchets produits.\"
En France et sans faire de distinction entre la vente sur place (environ 50% des ventes selon la société) et la vente à emporter, la nourriture de ce géant du fast-food est emballée, et ce, systématiquement. Tous ces emballages génèrent une quantité de déchets considérable.
\nExemple : pour chaque repas servi, la société utilise en moyenne 57,5 grammes d’emballages en restaurant.
\nDe plus, certains de ces emballages semblent pourtant bien inutiles, comme le démontre bien le packaging d’un Happy Meal : un emballage superflu, qui pourrait purement et simplement disparaitre. L’enseigne affirme que le but est de procurer l’élément de surprise aux enfants qui découvrent leur jouet… Jouet qu’ils ont pourtant eux-mêmes choisi lors de la commande en caisse… Effet de surprise, vraiment ?
\n==> Selon le rapport de Zéro Waste : 80 millions d’emballages Happy Meal ont été vendu en 2015 en France.
\n
\nLe saviez-vous ? Mcdonald's est le premier producteur de jouets au monde!!!
\n
\nLa célèbre chaîne a vu ses déchets croître et parallèlement son taux de recyclage baisser. Une conclusion inquiétante qui va à l’encontre des promesses de la marque américaine.
\n
\nDans la réalité, ces emballages/déchets ne représentent que 25% d’un tri en vue d’un recyclage.
\nEn comparaison : 90% des déchets sont recyclés dans nos pays voisins : en Allemagne, Belgique et Pays-bas.
\n
\nCes emballages sont également souvent abandonnés sur la voie publique. Il existe pourtant une convention incitant les professionnels à oeuvrer contre les emballages abandonnées. Seulement 18% des restaurants français ont signé une convention de Lutte contre les emballages abandonnés. Les résultats de cette lutte contre les emballages abandonnés dans les quelques restaurants français ayant signé ce dispositif ne sont pas consultables, on ne peut donc pas identifier clairement l’efficacité de cette convention.
\n
\nEt les bio-déchets ? L’association Zero Waste France dénonce également une augmentation du gaspillage alimentaire : la part des bio-déchets côté cuisine représentait ainsi 13% de la totalité des déchets en 2013 et a bondi pour atteindre 20,3% en 2015. Pourtant depuis janvier 2016, en vertu de la réglementation en vigueur, tout producteur produisant plus de 10 tonnes de biodéchets par an est soumis à une obligation de tri pour valorisation. Cette obligation concernerait la plupart des restaurants français de l’enseigne. McDonald's indique, quant à elle, que le tri de ses biodéchets pour valorisation se déploie progressivement dans ses restaurants, sans donner pour autant plus d’éléments chiffrés ni d'échéancier. McDonald’s doit assumer ses responsabilités sociétales et ne pas exercer dans l’illégalité.
\nMcDonald’s n’a généralisé ni le tri pour les emballages recyclables (carton-papier) jetés dans ses restaurants, ni le tri des biodéchets produits dans les cuisines...
\n
\nLa politique déchet de McDonald's France se caractérise ainsi par une certaine opacité : l'enseigne ne communique ni sur la quantité de déchets produits par ses restaurants chaque année, ni sur l’évolution de celle-ci dans le temps, ni sur le nombre de restaurants ayant mis en place le tri.)
\nEn comparaison : En Allemagne, la politique déchet est clairement communiquée, ainsi que les données chiffrées.
\n
Pour McDonald’s, la vente à emporter implique par nature l’utilisation d’emballages jetables. La responsabilité de l’utilisation de ce type d’emballages pèserait davantage sur le client et ses propres habitudes de consommation que sur l'enseigne, selon cette dernière.
\nResponsabilité partagée avec le consommateur ? Certes, les clients des \"fastfoods\" sont en partie responsables des déchets laissés sur la voie publique alors qu’on ne peut nier aujourd’hui que dans la majorité des villes françaises des poubelles sont installées à chaque coin de rue. Le consommateur est donc techniquement responsable des déchets une fois en possession de sa commande. Mais McDonald's est également responsable de ce qu’il vend, surtout dans de telles proportions.
En ne faisant pas évoluer ses pratiques vers une réutilisation des emballages, la société entretient ses clients dans des habitudes de consommation qui ne permettent pas de réduire les déchets, alors que les consommateurs peuvent pourtant bien faire évoluer leurs pratiques. Si l’enseigne agit en ce sens, les consommateurs seront enclins à changer leurs habitudes et à devenir de vrais éco-citoyens, ne pensez-vous pas ?
\nExemple : En 2014, en Suède, la société a lancé une opération ponctuelle de marketing promotionnel incitant le public à ramener des canettes vides en contrepartie d’un hamburger ou cheeseburger (10 canettes) ou d’un Big Mac (40 canettes).Ces systèmes de gratification apparaissent avoir été mis en œuvre de manière toujours ponctuelle par McDonald’s, sous la forme d’opérations promotionnelles très bien accueillies par le public, sans pour autant reconduire ou surtout systématiser ces opérations.
\n
La vente sur place constitue le terrain le plus évident pour mettre en place un système de vaisselle ou d’emballages réutilisables.
\nMais cet éventuel système constituerait un coût pour McDonald’s en ce qu’il obligerait une adaptation des pratiques et de ses restaurants aux contraintes du réutilisable (préparation des commandes, lavage, nécessité de plus d’employés,…). Pourtant la société a vraisemblablement les moyens d’agir en ce sens au regard de sa santé financière excédentaire.
\nEn comparaison : En Allemagne, McDonald’s a mis en place l’utilisation de vaisselle réutilisable dans ses McCafés. Pourquoi ne pas le généraliser à tout type d’achat sur place ?
\n
\nMcDonald’s c’est aussi des engagements… Dans le cadre de son \"Plan Déchets\", McDonald’s communique abondamment sur la sélection de matières d’origine renouvelables ou recyclées pour ses emballages.
\nEn France, McDonald’s indique que 90 % de ses emballages sont en papier ou en carton. Ceci est une bonne nouvelle, mais le mieux serait quand même de limiter l’impact écologique de ses emballages en changeant le modèle économique du \"tout jetable\" notamment.
\nQu'en est-il des ressources naturelles lorsque celles-ci se retrouvent dans une poubelle - ou dans la nature - après à peine 10 minutes d’utilisation ?
\nDans un monde aux ressources finies, nous savons tous aujourd’hui que ce modèle économique n’est pas viable !
\nIl est important de souligner enfin que peu importe l’origine des emballages (McDonalds se servant trop facilement de cet argument pour dorer son image) l’objectif de l’enseigne devrait être la réduction massive des emballages et des déchets qu’ils génèrent ensuite.
\n
\nLE MEILLEUR MOYEN DE RESOUDRE LA QUESTION DES DECHETS EST, AVANT TOUTE CHOSE, D'EN PRODUIRE LE MOINS POSSIBLE : UN EMBALLAGE NON PRODUIT = UN DECHET DE MOINS !
Par ailleurs, l’analyse des informations sur la composition des emballages communiquées montre que la société utilise davantage de ressources qu’auparavant… Ce qui n’est pas très encourageant.
\nPourtant, lorsqu’on prend connaissance de leur site internet, la firme McDonald's nous laisse penser qu’elle agit concrètement depuis 1992 afin de concilier l’environnement et leurs responsabilités concernant leur activité. McDonalds se félicite d’avoir créé son « Plan déchets », sensé répondre concrètement aux problèmes de la sur-consommation d’emballages liés à son activité. Voici quelques extraits trouvés sur le site officiel de McDonald's France :
\n
\n« McDonald's travaille depuis de nombreuses années à limiter les impacts environnementaux des déchets produits par son activité, en s'attachant à agir sur l'ensemble de la filière en partenariat avec ses fournisseurs. Le plan déchets repose sur trois objectifs clés :
\n› Éco-conception des emballages : réduction du poids et du volume des emballages, sélection de matière d'origine renouvelable, substitution du plastique par le carton...
\n› Gestion des emballages abandonnés sur la voie publique en partenariat avec les collectivités et les acteurs locaux : Programme Emballages Abandonnés (PEA).*
\n› Valorisation en fin de vie de l'ensemble des déchets : cartons, huiles de friture, emballages, déchets organiques… ».
\n
\nNous sommes également assaillis depuis ces dernières années par des campagnes de publicités successives affichant l’esprit « green » de la marque, et sa très forte implication concernant les enjeux environnementaux. McDonald's peut-il vraiment se mettre efficacement au green tout en continuant ses activités ? Ne serait-ce pas plutôt typiquement du « green-washing » ?
\nComment concilier la protection de l’environnement et la réduction des emballages tout en continuant la course aux bénéfices ?
\nMcDonald’s France manque de transparence dans la communication de certaines données qui pourraient permettre de réellement évaluer les effets de son Plan déchet.
\nMais avec ce chiffre assourdissant des 115 Tonnes de déchets quotidiens générés par la firme, rien qu’en France, on peut se demander si leur but est de véritablement réduire leur considérable impact écologique…
\n
\nAu niveau mondial, c’est près de 2,8 tonnes d'emballages jetables utilisés par MINUTE.
\n
McDonald’s porte une responsabilité particulière, au regard de sa domination mondiale et de ses pratiques qui peuvent avoir des effets gigantesques sur l’environnement et servir de norme de référence pour les différents acteurs du secteur de la restauration rapide.
\n==> Ayant un marché mondial et français très prospère, McDonalds se doit à l’heure d’aujourd’hui de montrer par des engagements concrets sa volonté de réduire ses déchets et de proposer un système global de meilleure gestion des ressources et des déchets, ceci en donnant, bien évidemment, toute transparence sur ses données.
==> Enrichissement colossal favorisé par l’optimisation fiscale que pratique la firme, également dénoncé par I-boycott dans une autre campagne de boycott bienveillant. Ce n’est évidemment pas la seule entreprise à polluer massivement l’environnement et à profiter de systèmes fiscaux plus qu’avantageux, mais nous ne devons pas céder face à cette multinationale leader mondial dans le secteur de la restauration rapide depuis des décennies.
\n
\nNos revendications :
\n
\n1 - Adoptez une politique de réduction des déchets plus ambitieuses et différenciée selon que le client consomme sur place ou à emporter :
\n - Proposez des couverts lavables et réutilisables pour vos commandes faites sur place
\n - Utilisez des matériaux bio-dégradables (fabriqués à partir d’algues par exemple) pour vos emballages à emporter.
\n - Supprimez le packaging du happy meal, totalement inutile.
\n2 - Mettez en place une politique de sensibilisation de vos clients à la question des déchets : incitez les gens à venir avec leur propre sac, utilisez des verres réutilisables sous consigne, pourquoi pas instaurer un système de remise pour les clients les plus « écolos » utilisant leur propre sac, verre, contenant, faire une campagne de pub concernant les déchets abandonnés sur la voie publique, ou encore visant le trajet de vie d’un emballage depuis sa conception jusqu’au recyclage…
\n3 - Uniformisez le tri de vos déchets dans l'ensemble de vos restaurants français
\n4 - Respectez la loi en vigueur sur les bio-déchets
\n5 - Faite preuve de davantage de transparence dans les données communiquées concernant la gestion de vos déchets
\n6 - Communiquez davantage sur tous vos engagements afin d'inciter vos concurents à s'aligner sur ces nouvelles bonnes pratiques.
\n
De nombreuses associations européennes relaient aujourd’hui le 26 Mars des images tournées dans 6 élevages producteurs de porcs destinés aux trois AOP italiennes : Jambon de Parme, San Daniele et Prosciutto Toscano. Ces images ont été filmées dans des élevages situés dans les provinces de Brescia, de Cremone et de Mantoua, entre décembre 2017 et février 2018.
\n\nLe Consortium du jambon de Parme (Consorzio del Prosciutto di Parma) est l'organisme officiel chargé de la réglementation et la promotion de l'Appellation d'Origine (AOP) \"Prosciutto di Parma\". En 2016, Le Consortium a généré un chiffre d'affaires de 1,7 milliard d'euros. Le secteur entier emploie 50 000 personnes, compte 4 000 exploitations porcines, 118 abattoirs et 150 entreprises de transformation de viande crue. La même année, 8,7 millions de jambons de Parme entiers et 79 millions de paquets de produits « pré-tranchés » ont été commercialisés représentant près de 11, 848 millions de porcs.
\nLe Consortium du jambon de San Daniele a été constitué en 1961 à l’initiative d’un groupe d’habitants hétérogène composé de producteurs de jambon, d’industriels d’autres secteurs. Les éleveurs agréés aux fins de l’AOP « Prosciutto di San Daniele » ne sont guère plus de 4000 et ils se trouvent dans les 10 régions du centre et du nord de l’Italie prévues par le Cahier des charges de production. Ils produisent une annuellement environ 8,5 millions de porcs certifiés avec 70 abattoirs inscrits, 31 établissements de production et 8 ateliers de tranchage, tous situés dans les limites géographiques de la commune de San Daniele del Friuli (province d’Udine) pour une production d’environ 2 600 000 jambons par an et de 17 millions barquettes de jambon San Daniele conditionné en tranches.
\nLe Consortium du Prosciutto Toscano fût créé en 1990 par un groupe de producteurs toscans, conscients du besoin de protéger le Prosciutto Toscano contre une prolifération incontrôlée d’autres jambons qui rien n’avaient à faire avec la tradition toscane. En 1996 le Prosciutto Toscano a obtenu la reconnaissance.
\nLe jambon de Parme est l'un des produits de charcuterie porcine les plus renommés au monde. Certifié dans le cadre du régime AOP (Appellation d'Origine Protégée), il est promu comme un produit de haute qualité, le produit régional par excellence, fabriqué selon des méthodes traditionnelles. Plus des deux tiers de la production est consommée directement en Italie soit 68%, le reste étant exporté dans le monde entier. Parmi les pays importateurs, on retrouve le podium les Etats-Unis, la France et l'Allemagne.
\nLa France est donc le premier importateur Européen et le deuxième mondial de Jambon de Parme. Pourtant, les porcs destinés à cette production sont élevés dans des conditions illégales et immorales.
\nDans la vidéo que nous diffusons, six élevages de porcs destinés la production de jambon cru d'origine (AOP), y compris le jambon de Parme, utilisent des pratiques totalement inacceptables. Les mutilations sont importantes : coupe systématique des queues et castration. Or réglementairement selon la Directive 2008/120/CE du 18 décembre 2008, la section partielle de la queue peut causer une douleur immédiate, ces méthodes ne peuvent être réalisées sur la base de routine c’est-à-dire systématiquement ce qui pourtant est le cas dans nos images. Des mesures peuvent être prises pour prévenir la caudophagie (Anomalie de comportement des porcelets qui se mordent la queue les uns les autres.) en prenant en compte les densités et en enrichissant le milieu afin que les animaux puissent exprimer leurs besoins éthologiques par l’accès à des matériaux permettant des activités de recherches et de manipulations suffisantes : paille, foin, bois… Sanitairement, ces élevages sont loin d’offrir à leurs animaux des conditions satisfaisantes. Les sols sales, glissants ne permettent pas à certains porcs de pouvoir se relever sans chuter, occasionnant des blessures, des fourbures aggravant l’état d’individu déjà visiblement mal en point. Là encore la directive est explicite, les sols doivent être lisses mais non glissants de manière à ce que les porcs ne puissent pas se blesser et doivent être entretenus. De plus, nous ne pouvons que constater que les corps d’animaux morts sont laissés dans les cases, certains sont à des stades de décomposition avancée (gonflement abdominale dû à la décomposition interne). Les conditions générales épouvantables et l’abandon de cadavres au sein même d’un groupe d’individus sociaux sont immoraux.
\nCes images difficilement soutenables, prises en 2017 et 2018, montrent un manque d'hygiène et de soins vétérinaires. Les porcs sont maintenus dans des conditions qui rendent tout niveau de bien-être impossible. La plupart des consommateurs ne sont pas conscients des conditions déplorables dans lesquelles des millions de porcs sont élevés. Ces révélations sont d'autant plus choquantes que cette industrie reçoit des millions d'euros de subventions européennes et nationales, et est basé dans une ville à laquelle l'UNESCO a donné le label de « ville créative de la gastronomie » tout ceci sans devoir garantir des critères de bien-être pour leurs animaux élevés pour leur produit phare si raffiné. Il est impensable qu’un produit phare de la gastronomie italienne, de renommée internationale, n’impose pas à ses producteurs le respect des normes minimales de protection des porcs.
\nNous vous demandons ainsi de mettre au plus vite un terme à ces pratiques inacceptables et de prendre de vrais engagements en faveur du bien-être des porcs, à la hauteur de l’image de marque dont le jambon de Parme bénéficie, notamment : ·
\nEn France, près de 24 millions de porcs sont élevés chaque année et 90% d’entre eux vivent sur caillebotis c’est-à-dire sur du béton nu, sans aucun accès extérieur et avec 1m² par animal. Les porcs élevés intensivement sont souvent gardés dans des bâtiments surchargés et où l‘environnement est appauvri. De la paille est fournie à moins de la moitié des porcs élevés en Europe. Bien souvent, ils sont gardés dans des bâtiments où l‘éclairage est faible. La plupart ne verront jamais la lumière naturelle et dès leur naissance, ils subissent de nombreuses mutilations.
\nQuels sont les problèmes de bien-être pour les porcs élevés industriellement ?
\n\n
WELFARM est engagée depuis 2010 sur cette thématique auprès des professionnels et a notamment rejoint la liste des signataires de la déclaration de Bruxelles. Ce texte d’engagement volontaire multiparties prenantes prévoit de mettre fin à la pratique de la castration à vif des porcelets d’ici 2018. Malheureusement, force est de constater que nous sommes arrivés aujourd’hui à un point de blocage, et ce malgré la proximité de l’échéance de 2018. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer au printemps 2016 une campagne à destination de l’intégralité des acteurs (citoyens, éleveurs, transformateurs, distributeurs et politiques), chacun ayant le pouvoir, voire la responsabilité de mettre un terme à cette pratique éthiquement condamnable dès aujourd’hui. Dans ce cadre, WELFARM souhaite mener une démarche de dialogue avec les représentants de l’élevage, les transformateurs et la grande distribution pour les accompagner vers la commercialisation de viande de porc issue d’élevages ne réalisant pas la castration à vif.
\nDepuis plusieurs années, le parc Nigloland (Dolancourt, Aube) n'a pas trouvé meilleure idée que de confier ses animations estivales à des dresseurs d'animaux sauvages.
\r\nLongtemps animés par la compagnie de montreurs d'ours et de loups Aïtawak, de Sylvie et Benoît Motton, ces spectacles sont désormais assurés par la compagnie Arkann créée par Benoit Motton suite à sa séparation. Malgré les nombreux messages reçus par le parc Nigloland, l'exploitation d'animaux sauvages est devenue une attraction récurrente.
\r\n
Comme d'habitude, l'exploitation animale est justifiée par une pseudo-sensibilisation du public... quoi de mieux en effet pour comprendre ce qu'est un ours que de le voir au bout d'une laisse faire du toboggan ?
\r\n
Cette année encore, un ours noir et des ratons-laveurs vont devoir répéter inlassablement leurs numéros dans l'espoir d'obtenir pour récompense quelques fraises Tagada, tournant en rond dans un enclos trop petit pour eux.
\r\nAVES France rappelle que la place de ces animaux n'est pas dans des fêtes de village ou des parcs d'attractions. Les animaux ne sont pas des clowns.
\r\n
Demandons à Nigloland de mettre un terme définitivement à leurs spectacles animaliers.
","author":"59aec42430ab7a5775ae645b","lang":"fr","nbSupporters":0,"feedback":"","resume":"Victoire !\n\nCette campagne est une réussite.\nNigloland a annoncé mettre un terme aux spectacles animaliers dans son parc. Plus aucun animal ne sera mis en scène dans les spectacles du parc Nigloland.\n\nMerci à toutes et à tous pour votre mobilisation ! \n\nNous vous invitons à rejoindre et à suivre d’autres campagnes de boycott afin d’amener encore plus d’entreprises à changer leurs pratiques vers plus d’éthique et de responsabilité sociétale et environnementale.","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[],"lastDonators":[]},"couldBeTopListed":false,"status":"FINISHED","messages":[{"_id":"5b5960c7f8fab41d6ca65318","commitment":"Suite à cette campagne de boycott, à une pétition en ligne signée par 75 000 personnes, ainsi qu’aux actions mises en place par l’association AVES France, Nigloland a annoncé mettre un terme aux spectacles animaliers dans son parc.
Plus aucun animal ne sera mis en scène dans les spectacles du parc Nigloland.
Notre message a été clair : les parcs de divertissement ne sont pas des lieux adéquats pour les animaux sauvages, qui n’ont pas leur place dans des spectacles. En cessant cette exploitation, Nigloland ouvre la voie aux autres entreprises pour qu’elles prennent elles aussi une décision conforme aux attentes de la société.
La revendication portée par la campagne a été entendue.
C'est à présent à vous de jouer afin de clôturer la campagne de boycott à l'encontre de Nigloland ! Nous resterons bien sûr vigilants à l’avenir et comptons sur notre communauté pour s’assurer de la pérennité de cette décision.
N'oublions pas : boycotter seul c'est bien ; ensemble, c'est le pouvoir et avec bienveillance, c'est le changement !
","content":"VICTOIRE !
Grâce à votre mobilisation, Nigloland a annoncé renoncer aux spectacles animaliers dans son parc !
Afin de statuer sur cette campagne victorieuse lancée par l’association AVES France, nous avons besoin de votre contribution.
Voici la situation :
Dialoguer avec les consom'acteurs boycottants est un phénomène nouveau pour une entreprise et peut susciter une certaine appréhension.
Le parc Nigloland a su répondre favorablement à vos revendications, mais a fait le choix de ne pas répondre directement à la campagne.
En l'absence de réponse de la part de l'entreprise cible, nous nous devions de vous tenir informés des décisions positives prises par Nigloland et de vous inviter à clôturer cette campagne qui constituera alors la septième victoire d’I-boycott et de l'ensemble des boycottants ayant participé à cette campagne.
Cette victoire, c'est la vôtre !
« La direction du parc Nigloland nous a ignorés pendant des années, mais notre mobilisation a fini par payer. Au nom de l’association AVES FRANCE, je tiens à vous remercier pour votre soutien. Cette victoire est un premier pas », Association AVES France.
","votes":{"done":true,"no":16,"yes":292},"followers":{"waiting":17,"total":3049,"current":2757,"goal":1000},"done":true,"date":{"voteLimit":"2019-06-04T12:59:39.165Z","submitted":"2019-05-28T12:59:39.165Z","delay":7,"created":"2018-07-26T05:48:55.828Z"},"sources":["https://www.facebook.com/i.boycott.org/posts/977476732449274","https://twitter.com/Nigloland/status/1121382763624529920"]}],"actualities":[{"title":"Nigloland abandonne les spectacles animaliers !","content":"Victoire !
\nLa direction du parc Nigloland nous a ignorés pendant des années, mais notre mobilisation a fini par payer. Grâce à une pétition qui a été signée par plus de 75 000 personnes et à cette compagne de I Boycott, le parc a décidé qu’il n’y aurait plus de spectacle animalier.
\nAu nom de l’association AVES FRANCE, je tiens à vous remercier pour votre soutien. Cette victoire est un premier pas. Il nous reste encore du travail pour convaincre le gouvernement d’interdire les spectacles avec animaux sauvages. Nous nous y employons. J’espère pouvoir vous annoncer de bonnes nouvelles dans quelques mois, lorsque François de Rugy aura rendu ses arbitrages sur l’amelioration du bien être des animaux sauvages captifs. Nous nous battons évidemment pour obtenir l’interdiction des spectacles d’ours et de loups.
\nPour nous soutenir : www.aves.asso.fr
","_id":"5cc207caf389a90f6344c67a","created":"2019-04-25T19:17:30.874Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":45,"occasional":9,"loyal":2,"waiting":0,"total":3066,"current":2774,"goal":1000},"comments":{"accounted":0,"total":0},"image":"/cdn/image/campaigns/5b488eeed347618021c4407b.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/ybbyx8g4","hashtag":"Nigloland"},"sources":["https://www.aves.asso.fr/lours-kitchak-de-benoit-motton-arkann/","https://www.mesopinions.com/petition/animaux/nigloland-exploitation-animaux-sauvages/45828"],"company":{"name":"Nigloland","email":"contact@nigloland.fr"},"categories":["animals"],"date":{"lastCompanyContact":"2019-05-24T10:00:00.304Z","statusUpdated":"2019-06-04T16:00:00.529Z","created":"2018-07-13T11:37:18.437Z"},"isDeleted":false,"isFinished":true,"isVoting":false,"isWaiting":false,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"5b488eeed347618021c4407b"},{"slug":"heineken-scandale-en-afrique-prostitution-et-corruption","title":"Heineken : scandale en Afrique, prostitution et corruption !","content":"Olivier van Beemen, journaliste économique, a enquêté cinq ans dans douze pays africains pour dévoiler les pratiques d’Heineken en Afrique. Deuxième brasseur mondial derrière le belge ABInBev, fleuron de l'industrie néerlandaise, Heineken est implanté depuis plus d'un siècle en Afrique, dispose d'une cinquantaine de brasseries et exporte ses bières partout sur le continent. La multinationale a profité de la faiblesse des Etats et des réglementations pour se développer et a pratiqué l'exil fiscal à grande échelle. Le tout sur fond de corruption, prostitution et massacres. Elle aurait ainsi continué à produire de la bière dans son usine au Rwanda pendant le génocide des Tutsis en 1994 et collaborerait toujours avec le régime au Burundi, accusé de crimes contre l’Humanité par les Nations unies en 2017.Elle aurait également formé 2.500 prostituées au Nigeria pour inciter leurs clients à boire de la Legend, sa bière locale. Elle aurait enfin obligé ses vendeuses à avoir des relations sexuelles avec ses dirigeants en République démocratique du Congo (RDC).
\nEn Afrique, Heineken emploie environ 4.000 hôtesses dans treize pays. Ces jeunes femmes sont chargées de promouvoir les marques de bière du groupe dans les bars et les clubs. Heineken s'est engagé à ce qu'elles ne subissent plus aucune forme de harcèlement sexuel ou d'incitation à la prostitution. L'entreprise a précisé que si ce n'était pas le cas fin juin, elle cesserait toute activité de promotion, via des hôtesses, en Afrique.Une enquête interne, menée par Partner Africa, a été diligentée par la multinationale. Le rapport, remis début juillet, a révélé des cas de harcèlement sexuel au Mozambique, mais reconnaît seulement du harcèlement \"physique\" dans les douze autres pays, sans donner de précisions sur le distinguo entre \"sexuel\" et \"physique\". Aucun cas de prostitution ou de pressions à avoir une relation sexuelle avec son supérieur hiérarchique ne sont signalés.
\nHeineken a pourtant pris quelques mesures… l'activité de « promotion » a cessé au Mozambique, et dans quatre autres pays, qui n'ont pas été communiqués par Heineken. Jean-François van Boxmeer, le patron, a promis du \"soul searching\", un projet de recherche, mené avec l'Université de Leyde, sur l'impact moral de la firme en Afrique. Mais Heineken n'est toujours pas devenue vertueuse. Au Kenya à l’été 2018, l’auteur a recueilli le témoignage de six jeunes femmes qui ont affirmé que rien n'avait changé. Elles étaient toujours obligées de porter des jupes très courtes, d'accepter les avances des \"sugar daddies\" et des \"sponsors\" dans les bars et les clubs, de subir des attouchements sexuels. Heineken a pris un nouvel engagement : les hôtesses seront désormais vêtues de tee-shirts plus amples.
\nLes pratiques d’Heineken en Afrique sont scandaleuses. Il apparaît dans l’enquête que la Compagnie est au courant depuis 15 ans et elle s’engage seulement maintenant à mener une enquête. Il faut que cette enquête soit rendue publique, que les consommateurs soient informés des mesures prises pour que les reponsables soient sanctionnés et ces pratiques bannies.
\nIl est impératif qu’une enquête internationale soit également menée par la Cour de Justice européenne et que les responsables soient jugés à la hauteur de leurs actes. Si Heineken mène sont enquête, elle doit informer la justice de ces conclusions.
","author":"576653a12261f97469dc9678","lang":"fr","nbSupporters":1,"feedback":"","resume":"La multinationale a profité de la faiblesse de nombre d’États africains et des réglementations pour se développer sur le continent et a également pratiqué l'exil fiscal à grande échelle.\nElle est condamnée pour des pratiques immorales : \n-\tProduction de la bière dans son usine au Rwanda pendant le génocide des Tutsis en 1994 et collaboration avec le régime au Burundi (accusé de crimes contre l’Humanité par les Nations Unies en 2017). \n-\tFormation de 2.500 prostituées au Nigeria pour inciter leurs clients à boire sa bière locale.\n-\tObliger ses vendeuses à avoir des relations sexuelles avec ses dirigeants en République démocratique du Congo (RDC).\n\nNOTRE REVENDICATION : \n•\tUne enquête publique doit être menée afin que les responsables soient sanctionnés et que leurs pratiques immorales soient bannies. ","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2023-07-02T06:26:26.476Z","fullName":"Jran-Yves DEBBIA","lastName":"DEBBIA","firstName":"Jran-Yves","_id":"58bad4d0c9b9e6d5236475ac","values":["Email"]},{"date":"2023-05-05T17:06:08.423Z","fullName":"Remo Haguenin","lastName":"Haguenin","firstName":"Remo","_id":"6455362b88783dc83f795dd1","values":["Twitter"]},{"date":"2022-12-17T06:50:34.731Z","fullName":"Cédric Postel","lastName":"Postel","firstName":"Cédric","_id":"5bdc18c9762b68ee3861628c","values":["URL"]},{"date":"2021-01-30T12:16:09.756Z","fullName":"Julien Leconte","lastName":"Leconte","firstName":"Julien","_id":"60154cc2b8ffac3b7a1ecb36","values":["URL"]},{"date":"2021-01-17T22:21:47.584Z","fullName":"helene courriades","lastName":"courriades","firstName":"helene","_id":"6004b3678d3e71490e17d91a","values":["URL"]}],"lastDonators":[{"date":"2021-11-24T22:21:34.323Z","fullName":"Anna-lena Fortin","lastName":"Fortin","firstName":"Anna-lena","_id":"57740e94d59f52596b2e1a08"},{"date":"2020-12-04T15:11:13.353Z","fullName":"Sahar Rouhani","lastName":"Rouhani","firstName":"Sahar","_id":"5fc7f3d9eb56885572d858de"}]},"couldBeTopListed":true,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"5be078f6199450105c607f41","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2018-11-05T17:08:06.604Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"8 mars - journée internationale des droits de la femme ! ","content":"Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, faites un geste... Boycottez Heineken !
\nLa prostitution des femmes en Afrique pour faire de l'argent, ne peut pas passer inaperçue voire être tolérée.
\nLa défense des droits des femmes, la liberté de disposer de son propre corps ne sont pas des combats réservés à des sociétés européennes dites \"développées\".
\nSous couvert de faire des affaires, le capitalisme affiche un néocolonialisme qui se permet tout.
\nNous pouvons l'en empêcher en refusant de les soutenir financièrement. En étant consomm'acteur.
\nDiffusez la campagne de boycott autour de vous !
\nLikez la page Facebook https://www.facebook.com/BoycottHeineken-308614476402067/
\nCe combat-là doit être le notre partout dans le monde !
","_id":"5c824f96e326819728baa2f8","created":"2019-03-08T11:18:46.322Z"},{"title":"Un samedi soir sans Heineken ! ","content":"Le 3 novembre utilisons tous les réseaux sociaux pour mettre en avant l'opération de boycott contre la compagnie Heineken et faire connaitre les différentes marques de bières qui font partie de la compagnie.
\nEn France : Heineken, Desperados, Pelforth, Affligem ou Fischer , Slavia, Adelshoffen, Amberley, Anchor Pils, CK Perle, Pearl, Record, Mutzig, Harvest, Kriska, La Dry , Panther ou encore Porter 39 et le 1er système pression pour la maison BeerTender.
\nRejoignez la page Facebook Boycott Heineken
\nhttps://www.facebook.com/BoycottHeineken-308614476402067/
\net l'événement pour le 3 novembre
\nhttps://www.facebook.com/events/176447479906312/
\nEn instaurant un samedi soir sans Heineken, l'idée est de montrer la possibilité de consommer autrement et d'ancrer ainsi de nouvelles pratiques. Bières locales, artisanales, bio méritent d'être connues et soutenues pour des qualité de production et la volonté d'une éthique.
","_id":"5bdb0e8d199450105c6079d2","created":"2018-11-01T14:32:45.415Z"}],"mentors":[],"impact":{"occasionalValue":0,"loyalValue":0,"show":false},"followers":{"notCustomer":288,"occasional":365,"loyal":138,"waiting":0,"total":3637,"current":3637,"goal":1000},"comments":{"accounted":5,"total":5},"image":"/cdn/image/campaigns/5bb6158543cd7dc86b0eac47.jpg","share":{"tinyUrl":"http://tinyurl.com/ychpx94o","hashtag":"BoycottHeineken"},"sources":["https://www.youtube.com/watch?v=w43inYuRJoI","https://www.nouvelobs.com/monde/afrique/20181003.OBS3364/en-afrique-heineken-n-est-toujours-pas-devenue-vertueuse.html","https://www.franceinter.fr/emissions/l-interview/l-interview-01-septembre-2018"],"company":{"name":"HEINEKEN","email":"pressoffice@heineken.com"},"categories":["woman","man","justice"],"date":{"lastComment":"2018-10-14T08:55:55.247Z","lastCompanyContact":"2025-04-19T10:00:01.107Z","statusUpdated":"2018-11-05T17:08:06.604Z","created":"2018-10-04T13:28:37.031Z"},"isDeleted":false,"isFinished":false,"isVoting":false,"isWaiting":true,"isPublished":false,"isIncubation":false,"isDraft":false,"id":"5bb6158543cd7dc86b0eac47"},{"slug":"lactalis-faites-du-beurre-ethique-pas-toxique","title":"Lactalis : Faites du beurre éthique, pas toxique !","content":"Quatre ans après avoir lancé une campagne de boycott qui avait mobilisé plus de 20 000 consom'acteurs et consom'actrices sur la trop faible rémunération de ses fournisseurs de lait, nous avons du nouveau sur la multinationale Lactalis !
\r\nDes révélations graves et inédites nous sont parvenues et de tels agissements ne peuvent être ignorés plus longtemps. Par conséquent, nous avons décidé de lancer une nouvelle campagne de boycott contre le géant du lait.
\r\nPour rappel, Lactalis est une entreprise française du secteur de l'agroalimentaire. Il s'agit du premier groupe laitier et fromager mondial. Chaque année en France, Lactalis transforme 5 milliards de litres de lait en produits qui inondent les rayons des supermarchés.
\r\n\r\nDepuis des années, Lactalis vante une image d'entreprise locale et bienveillante :
\r\nNous sommes l’addition de centaines d’entreprises locales. Nos services centraux restent réduits : on délègue beaucoup. (Emmanuel Besnier)\r\n
Stratégie de proximité, respectueuse de son environnement, de ses hommes et exigeante en matière de qualité sanitaire. (Lactalis)\r\n
Cette communication officielle cache en réalité une véritable culture du secret sur les pratiques du géant laitier. Cette opacité avait déjà été révélée il y a quelques années, lorsque l'on apprenait les pressions inacceptables qu'exerçait Lactalis sur ses fournisseurs de lait ou les refus répétés d'Emmanuel Besnier (PDG de Lactalis) de publier les comptes de l'entreprise.
\r\nDisclose, média d'investigation et ONG à but non lucratif, a enquêté sur le système Lactalis pendant un an et a recueilli des informations qui devraient toutes et tous nous interpeller. Avec le recueil de témoignages inédits ainsi qu'un travail rigoureux d'analyse de centaines de documents administratifs et judiciaires, il a été découvert que Lactalis multipliait les dérives graves depuis des années : manquements à la sécurité alimentaire ; pollution massive des rivières ; dissimulation d’informations ; faillite des mécanismes de contrôle ; course aux profits ; évasion fiscale à grande échelle ; chasse aux lanceurs d’alertes…
\r\nCette nouvelle campagne de boycott est évolutive, ce qui signifie que l'on vous révélera au fur et à mesure les révélations inédites de Disclose. Nous vous invitons donc tous et toutes à rejoindre cette campagne pour recevoir toutes les futures informations et révélations de de Disclose sur le géant laitier Lactalis.
\r\nDepuis dix ans, Lactalis déverse des rejets toxiques dans les cours d’eau français. Plus de la moitié des usines du groupe laitier ont été ou sont toujours en violation du code de l’environnement. Avec des conséquences dramatiques. (Disclose)\r\n
Entre 2010 et aujourd’hui, Disclose a découvert que 38 usines Lactalis ont été ou sont toujours en infraction avec le code de l’environnement, le recueil de lois qui encadre le droit en la matière. Soit plus de la moitié des 60 établissements recensés et analysés dans le cadre de cette enquête. La particularité de ces usines : ce sont toutes des installations classées pour la protection de l’environnement, ou ICPE.
\r\nPour faire cet état des lieux, Disclose a obtenu et analysé des centaines de documents publics issus de la DREAL et de la DDSCPP, les deux services de l’Etat chargés du contrôle des installations classées, sous la tutelle des préfectures. Les infractions relevées sont lourdes de sens : prélèvement en eau et rejets d’effluents supérieurs aux volumes autorisés, pollutions délibérées de cours d’eau, négligences ayant entraîné la destruction de la faune et la flore.
\r\n\r\n(Image fournie par @upian @disclose)
\r\n\r\nCes défaillances répétées dans le temps sont d'autant plus condamnables que Lactalis a touché de l'argent publique pour moins polluer. Selon Disclose, sur les 18 dernières années, Lactalis aurait ainsi touché 40 millions d'euros de la part des Agences de l'eau française pour mettre aux normes les 38 sites polluants ou non-conformes recensés. Une mise au norme que Lactalis n'a jamais suivi dans les faits...
\r\n\r\n(Image fournie par @upian @disclose)
\r\n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec le code de l'environnement
\r\n- La mise en place d'opérations de dépollution des cours d'eaux concernés
\r\nAu travers de son enquête, Disclose a recueilli les témoignages d'anciens salariés et fournisseurs de Lactalis. Ces témoignages montrent que Lactalis pratique non seulement les licenciements abusifs mais surtout une politique interne dangereuse et illégale dans les processus de fabrication de leurs produits.
\r\nYohann Quesnel, 40 ans, éleveur de Vaches à Montaigu-les Bois, dans la Manche a travaillé 17 ans pour l'usine Lactalis de Sainte-Cécile. Après avoir été licencié abusivement en septembre 2016 par Lactalis, il poursuit le géant laitier devant les prud'hommes d'Avranches.
\r\n\r\n(Photo fournie par @Nicolas Serve @disclose)
\r\nDans le dossier qu'il prépare pour sa défense Yohann conserve précieusement une note confidentielle de Lactalis : une feuille A4 rédigée en août 2016 à destination des salariés de l'usine de Sainte-Cécile et intitulée \"Orientation fromages au sol\". Ce document précise la marche à suivre pour les fromages tombés par terre. Pour les camemberts manifestement « souillés avec corps étrangers de type bois, graisse ou eau », la note indique qu’ils doivent partir à la poubelle. Pour ceux ayant une « apparence » un peu plus acceptable, les salariés sont tenus de les mettre dans un bac bleu destiné à être remis dans le circuit destiné à la filière humaine. En revanche, un « jour d’audit », la consigne est claire : tous les fromages doivent être « mis à la poubelle » sans distinction.
\r\n\r\nCette note de service prouve que Lactalis a menti. Pendant dix-sept ans, j’ai vu des produits souillés partir à la fonte pour en faire du fromage à pizza ou de La Vache qui rit alors qu’ils auraient dû aller à l’alimentation animale… Mais ce n’était pas la politique de l’entreprise. (Yohann Quesnel)\r\n
Avant d'être licencié, Yohann avait signalé le problème en interne mais rien n'a été fait. Lors d'une inspection effectuée par la la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) de la Manche, l'anomalie est également constatée dans un rapport de décembre 2016 : « Le recyclage des fromages tombant au sol n’est pas clairement défini dans le plan de maîtrise sanitaire [de l’usine] ». Pour son enquête, Disclose a contacté la DDSCPP suite à ce rapport, la réponse du service a été de dire que le problème avait été corrigé depuis son inspection. Cependant, à la lumière des différents scandales qui ont entaché Lactalis et l'opacité qui règne en interne, rien ne nous assure que le problème a été réellement corrigé.
\r\nLe 21 décembre 2018, la Société fromagère de Sainte-Cécile (appartenant à Lactalis) est condamnée à verser 20 000 euros à Yohann Quesnel pour \"licenciement abusif\" en raison de son engagement syndical.
\r\n\r\nCeux qui dérangent, on les élimine. (Yohann Quesnel)\r\n\r\n
Dominique Czerkies, un ancien employé sur le site Lactalis de Cuincy (département du Nord) a lui aussi été victime de licenciement abusif en mai 2018. Tout comme Yohann, il a lui aussi contesté son licenciement devant les prud'hommes.
\r\n\r\n(Photo fournie par @Nicolas Serve @disclose)
\r\nActuellement en l'attente du jugement, il a décidé de révéler à Disclose des pratiques inacceptables du géant laitier. Dominique a travaillé pendant 20 ans sur le site de Cuincy. Ce site est particulièrement connu pour produire les fameux desserts La Laitière, qui représentent pour beaucoup de français un dessert typique et de qualité.
\r\nAu nom de l'intérêt général, Dominique a décidé de livrer un secret bien gardé de fabrication : le recyclage des crèmes desserts. Selon cet ancien employé, quand les tuyaux de l'usine sont rincés avec de l'eau, le mélange d'eau et de produit lacté serait stocké dans un bac avant d'être renvoyé dans des cuves dites de recyclage pour être réinjecté par petite dose dans les cuves destinées à la fabrication de nouveaux desserts.
\r\n\r\nDans la liste des ingrédients des crèmes desserts Lactalis il n’y a aucune trace d’eau. (Dominique Czerkies)\r\n
Ce témoignage inédit d'un ancien employé a été confirmé par un ancien cadre de l'usine, qui a décidé de témoigner sous couvert d'anonymat. Selon lui, le recyclage vise un seul objectif : le profit, au détriment de la qualité.
\r\nLe recyclage sert à gagner toujours plus d’argent et jeter toujours moins de produit. Ce qu’on donnait aux cochons à l’époque, on le met dans les petits pots et quand ce sont des milliers de litres qui retournent tous les jours dans des pots, ça fait beaucoup de petits pots produits en plus. (Ancien cadre du site Lactalis de Cuincy)\r\n
Dans son enquête rigoureuse, Disclose a obtenu un document confidentiel sur les procédés de fabrication des fromages. Dans ce guide de 386 pages destiné aux techniciens du groupe, un chapitre est consacré au \"calcul de la standardisation\". La standardisation est un processus courant dans l'industrie laitière, il s'agit d'obtenir un lait de qualité identique toute l'année. La plupart du temps, il s'agit d'enlever de la matière grasse des produits laitiers pour l'utiliser dans la fabrication des produits dérivés comme le beurre. Ce processus permet des gains de rentabilité et une optimisation des coûts de matières. Cette pratique est strictement encadrée par la loi. Or, il s'avère que Lactalis irait encore plus loin que ce qui est prévu par la loi. Dans le fameux guide de Lactalis, nous pouvons lire aux pages 142 et 143, que \"dans la réalité industrielle, les standardisations sont souvent plus complexes\" et que par conséquent il peut s'avérer nécessaire d'ajouter de l'eau et des protéines dans le lait.
\r\n\r\n(Image fournie par @upian @disclose)
\r\nCependant, comme nous l'apprend Claudine Yedikardachian, rédactrice en chef de Lamy, une revue spécialisée en droit alimentaire, cette pratique de \"mouillage du lait\" (couper du lait avec de l'eau) est strictement interdite.
\r\n\r\nLactalis standardise le lait entier en rajoutant du rétentat riche en protéine, de la crème riche en matière grasse et jusqu’à 15 % d’eau, ce qui est clairement interdit par la réglementation européenne et nationale. (Claudine Yedikardachian)\r\n\r\n
Le \"mouillage du lait\" n'est pas une nouveauté pour Lactalis puisque le géant laitier avait déjà été condamné en novembre 2008 pour falsification des denrées.
\r\n\r\nEncore une fois, Lactalis affirme que l'entreprise respecte \"strictement la réglementation qui interdit formellement le mouillage du lait\". La présence de ce guide interne où le contraire est affirmé laisse encore une fois planer des doutes sur l'honnêteté de la communication officielle.
\r\n\r\nDisclose a également découvert qu'il y avait une information judiciaire en cours contre Lactalis suite à une plainte datant de mai 2018 de l'entreprise Serval contre le géant laitier pour \"escroquerie, falsification de denrées et tromperie sur la marchandise\".
\r\n\r\nServal, une entreprise spécialisée dans l'alimentation pour jeunes animaux a découvert que plusieurs de ses veaux étaient tombés malades en 2016 après avoir été nourri avec de la poudre de lactosérum, un liquide obtenu par coagulation du lait et riche en protéines, fabriquée dans l'usine Lactalis de Forlasa, en Espagne. L'entreprise Serval fait donc analyser le lactosérum et découvre que le produit serait en réalité composé de lait de vache mélangé à du lait de chèvre et de brebis. Or, il est impossible de réaliser ce mélange puisque le cahier des charges à respecter indique que \"la poudre est obtenue à partir de lactosérum de vache\". L'autre découverte de cette analyse : le taux de protéines est plus élevé que la normale pour ce type de produit. Serval soupçonne donc très vite Lactalis de rajouter du perméat à la préparation. Dans le cadre de cette information judiciaire, Serval aurait avancé des preuves que Lactalis livrait bien un mélange mixte (et donc illégal) contenant \"en moyenne 70% de lactosérum et 30% de perméat\". Pour l'instant, seule une perquisition a eu lieu dans les locaux de Lactalis Ingrédients le 1er avril 2019 et aucune mise en examen a été prononcée.
\r\n\r\n- Le respect de la loi encadrant le recyclage de fromages souillés
\r\n- L’arrêt immédiat du “mouillage du lait”
\r\n\r\nDans son enquête, Disclose revient sur l'affaire des produits infantiles contaminés à la salmonelle. Après étude des documents et audition du patron de Lactalis Emmanuel Besnier, le média d'investigation lève le voile sur les dissimulations du géant du lait.
\r\n\r\nEn décembre 2017, un scandale sanitaire éclatait en France. Des centaines de produits infantiles étaient contaminés par la Salmonella Agona, dite salmonelle, une bactérie potentiellement mortelle pour les nourrissons. \r\n\"Fièvre 40 °C, diarrhée, sang dans les sels, hospitalisé depuis hier. Test par l’hôpital positif à la salmonelle.\", déclare un signalement du 4 novembre 2017, la situation est critique. En l’espace d’un mois, pas moins de 32 800 appels sont archivés par les standardistes du numéro vert mis en place pour répondre aux familles des victimes. \r\nPourtant, il a fallut attendre plus d'un mois avant que l'intégralité des produits fabriquées dans l'usine contaminée parte à la destruction.
\r\n\r\nDisclose, après consultation de l'enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) notamment, nous partage des conclusions accablantes.
\r\n\r\nD'après l'enquête, Lactalis avait connaissance de la présence de salmonelle dans cette usine des mois avant l'alerte. Le groupe n'aurait coopérer que partiellement lorsque les autorités leur demandait l'état des lieux sanitaires de l'usine en décembre 2017. En effet, le géant du lait avait retenu certains résultats de ses autocontrôles.
\r\n\r\nL’entreprise nous communiquait les résultats de ses autocontrôles sur les produits finis. Tous ces résultats étaient négatifs, explique-t-elle. [On] se demandait comment la salmonelle avait pu se retrouver dans les produits incriminés. [On] a insisté pour savoir si l’entreprise n’avait pas connaissance de résultats positifs. C’est suite à cette demande qu’[elle] a évoqué deux résultats positifs (Inspectrice de la DGCCRF)\r\n\r\n
Cette révélation interpella la DDCSPP qui avait contrôlé le site trois mois auparavant, à elle aussi, le groupe avait dissimulé ces résultats positifs.
\r\n\r\nLe verdict de la DGCCRF est sans appel, il s'agissait là d'une stratégie qui aurait consisté à :\"maîtriser la communication en limitant les intervenants autorisés, en limitant les réponses au strict sujet des questions posées, en ne diffusant pas spontanément les informations même lorsque cela concerne des produits non-conformes ou le statut sanitaire de l’usine”.. Et ce afin de \"minimiser voire dissimuler les défaillances de Célia et du groupe\".
\r\n\r\nAlors que la déclaration des premiers cas de salmonellose remontent à l'été 2017, le groupe laitier se gardait bien de prendre des mesures sanitaires pour freiner la bactérie. Une inaction d’autant plus troublante que les analyses positives du mois d’août était déjà connues en interne.
\r\n\r\nUne fois le scandale au coeur des débats, Lactalis organisa la visite d'un expert en sécurité sanitaire des aliments dans l'espoir de se dédouaner de sa responsabilité dans cette affaire.
\r\n\r\nMalgré les efforts des employés de l'usine pour mettre l'usine au carré, le rapport d'expertise ne ment pas : \"Il y a un manque de culture de la sécurité alimentaire\", une \"refonte complète du plan de maîtrise sanitaire reste encore à faire\".
\r\n\r\nNe pouvant laisser de telles jugements paraître aux yeux de tous, la direction de Lactalis a jugé bon de revoir avec l'auteur du rapport sa version finale afin de modifier quelques \"tournures de phrase\", parmi elles une hypothèse embarrassante : une souche de salmonelle vieille de douze ans qui aurait contaminé plusieurs tonnes de lait en poudre.
\r\n\r\nEnfin, la fabrication du lait nécessitant un vigilance accrue, le groupe dispose d'une direction qualité (DQG) pour assurer le respect du plan de maîtrise sanitaire. Entre 2008 et 2017, cette direction a contrôlé 29 fois le site de Craon. Et presque à chaque fois, des problèmes d’hygiène ont été soulevés. En 2014, le DQG lançait une alerte à la salmonelle, la cause : les équipements ainsi que les égouts n'étaient pas nettoyés correctement.
\r\n\r\nOui, il y a eu des manquements en matière d’hygiène chez Lactalis (…). Des problèmes existant en [2015] existaient toujours en 2017. (Responsable des achats de Régilait)\r\n\r\n
Pourtant, les 14 cadres et dirigeants du groupe Lactalis, lorsqu'ils furent entendus sous le régime de la garde à vue, affirmèrent le contraire, Emmanuel Besnier le premier.
\r\n\r\n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec les normes d'hygiènes en vigueur relatives à la fabrication de ses produits
\r\n- La reconsidération du dédommagement versé aux victimes de la contamination à la salmonelle et à leurs familles
\r\n\r\nDe 2017 à 2019, Lactalis a évadé plus de 1,3 milliard d’euros du chiffre d’affaires de sa branche française et plusieurs centaines de millions d’euros de ses filiales européennes par différents mécanismes vers une société écran Luxembourgeoise détenue par la famille Besnier. (Disclose)\r\n\r\n
Selon des documents inédits que s'est procuré Disclose, Lactalis aurait monté une ingénierie financière colossale pour échapper à l'impôt français. Ce montage financier aurait permis au géant laitier de faire échapper 220 millions d'euros au fisc français entre 2013 et 2018.
\r\n\r\nL'ogre du lait n'est pas uniquement dans la course ultime au profit vis-à-vis de ses fournisseurs. Chez Lactalis, du verre de lait à l'assiette fiscale, il n'y a pas de petites économies. (I-buycott)\r\n\r\n
Les usines françaises de la multinationale sont constituées sous une forme juridique atypique, la société en nom collectif (SNC). Un statut qui permet de ne pas payer d’impôt sur les sociétés et de faire remonter les bénéfices vers des sociétés holding françaises payant leurs impôts en France. Théoriquement, cela ne pose pas de problème. Cependant, la réalité est bien différente car selon les informations contenues dans l'enquête de Disclose, Lactalis fait remonter les bénéfices de ses usines vers la Belgique.
\r\n\r\nLe procédé d'évasion fiscale commencerait dès la collecte du lait par les camions de Lactalis jusqu'à l'acheminement vers les laiteries et fromageries Lactalis. Puis, les usines Lactalis produisent des factures d'achat du lait qui partent vers la maison mère du groupe, la société BSA France. Disclose a réussi à obtenir les comptes 2019 de la société BSA France. Cette société affiche un bénéfice net de 80,5 millions d’euros. C'est donc elle qui paye le lait aux producteurs mais ces derniers attendent leur règlement quarante jours.
\r\n\r\nDes délais excessivement longs qui s'expliqueraient par la mise en oeuvre du montage financier. Ces délais permettent à Lactalis de créer une dette fictive au sein même du groupe. Une dette que BSA France va ensuite faire remonter vers sa holding belge, BSA International. Pour la seule année 2019, la dette liée au paiement des éleveurs a atteint la somme colossale de 906 millions d’euros dans les comptes de la société Belge.
\r\nSelon Disclose, une autre évasion de bénéfices serait à l'oeuvre mais cette fois sous la forme de remboursement de prêt. Dans les comptes BSA France de 2019, près de 1,3 milliard d’euros ont été empruntés auprès d’une autre société du groupe Lactalis : Nethuns. Une succursale financière basée au Luxembourg et détenu par BSA International. Ces prêts sont des emprunts participatifs, c’est-à-dire des prêts entre deux sociétés d’une même entité. Ces prêts sont bien connus pour être utiliser dans des montages financiers frauduleux pour faire remonter les bénéfices d’une société A vers une société B. Selon Disclose, Lactalis aurait également eu recours à cette méthode. Cet emprunt participatif permet de générer une baisse du bénéfice de la société en France et donc mécaniquement une baisse de son impôt sur les sociétés.
\r\n\r\nEntre 2018 et 2019, le résultat net de BSA France passait ainsi de 100 millions d’euros à 80,5 millions d’euros. Une diminution permettant à l’entreprise de payer un impôt sur les bénéfices de 33 millions d’euros, soit 55 % de moins qu’en 2018, lorsqu’elle s’était acquittée de 74 millions d’euros d’impôts.
\r\n\r\nLes agissements de Lactalis ne se limite pas à la France. Disclose s'est également procuré des informations montrant que le géant laitier pratique l'évasion fiscale à toutes les échelles. Selon le média d'investigation, la multinationale du lait utiliserait le même mécanisme pour diminuer sa feuille d’impôt dans plusieurs pays européens. Au Royaume-Uni, le groupe procède à la remontée de bénéfices de sa filiale Lactalis McLelland par les 17,8 millions d’euros de l’emprunt contracté auprès de Nethuns. Des remontées de bénéfices qui s’opéreraient également depuis Lactalis Iberia, leader sur le marché espagnol. En 2018, l’entreprise a emprunté plus de 600 millions d’euros auprès de Nethuns, selon des documents financiers obtenus par Disclose.
\r\n\r\nCe qu'a découvert Disclose est que la holding belge BSA International est le point névralgique du montage financier du géant laitier au niveau mondial. Domiciliée dans la ville d’Anderlecht, cette holding détient l’ensemble des filiales françaises et internationales du groupe Lactalis. Pour réaliser l'opération à toutes les échelles, Lactalis utilise un système de facturation entre les différentes filiales et BSA International. Les filiales de Lactalis deviennent donc des clientes de BSA International envers qui elles ont des créances pour le paiement de leur facture. En 2017, les créances de BSA International atteignaient plus de 1,4 milliard d’euros. Selon les calculs de Disclose, près de 32 % de ces créances étaient de la facturation entre les différentes sociétés du groupe Lactalis.
\r\n\r\nLes créances accumulées par BSA International sont ensuite à leur tour remontées vers la société Nethuns détenue conjointement par la holding belge et la Société Général Bank and Trust (SGBT).
\r\n\r\nEn 2016, cette société (SGBT) avait été épinglée lors du scandale des Panama Papers pour s’être spécialisée dans la création de société offshore au Panama, dans les îles Vierges et aux Seychelles. Interrogé sur ses pratiques fiscales, Lactalis a affirmé à Disclose que la banque SGBT apportait uniquement son \"expertise bancaire\" au géant laitier. Pourtant l'implication de la SGBT au sein de Nethuns est avérée. Selon Disclose, cette banque serait sûrement la clé de voûte du système d’évasion fiscale mis en place par Lactalis.
\r\n\r\nC'est ici que se jouerait l'opération la plus complexe du montage fiscale Lactalis : la conversion de créance en capital. Les créances de BSA International sont converties d’une part en actions financières dans Nethuns pour BSA international et d’autre part en dividendes pour les bénéficiaires cachés derrière la banque SGBT. Disclose a interrogé Lactalis pour savoir qui se cache derrière la Société Général Bank and Trust. Dans sa réponse, le groupe assure qu’« aucun membre de la famille Besnier n’est bénéficiaire de la société Nethuns ». Une affirmation fausse. Disclose a obtenu des documents inédits du registre du commerce du Luxembourg, qui dévoilent qu’Emmanuel Besnier, Marie-Madeleine Besnier et Jean-Michel Besnier sont tous les trois bénéficiaires effectifs de la société écran.
\r\n\r\n(Image fournie par @upian @disclose)
\r\nEn parallèle de cette évasion fiscale massive, Lactalis a également touché des aides publiques considérables. Depuis 2000, Lactalis a touché plus de 191 millions d'euros d'argent public :
\r\n- 44 311 888 euros de la part des Agences de l'eau
\r\n- 29 836 899 euros de la part des Collectivités et du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER)
\r\n- 800 000 euros (en 2013), 13.8 millions d'euros (en 2014), 20.9 millions d'euros (en 2015), 60 millions d'euros (de 2016 à 2018) provenant du CICE (Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi)
\r\n- 21.5 millions d'euros (en 2016) de la PAC (Politique Agricole Commune)
\r\n\r\n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec le droit fiscal français et européen
\r\n- La coopération de Lactalis pour tout éventuel redressement fiscal
\r\n\r\nEn attendant la suite des évènements, nous vous invitons tous et toutes à consulter l'enquête de Disclose en intégralité ici : https://lactalistoxique.disclose.ngo/fr/
\r\nPour aller plus loin :
\r\n- Podcasts de Disclose sur Lactalis diffusés par France Culture : https://www.franceculture.fr/personne/disclose
- Replay Envoyé Spécial sur Lactalis du jeudi 22 octobre sur France 2 : https://www.france.tv/france-2/envoye-special/2048745-emission-du-jeudi-22-octobre-2020.html
Au sein de notre application mobile BuyOrNot, un simple scan vous permet de retrouver facilement tous les produits Lactalis concernés par cette campagne de boycott !
\r\nSoyons tous et toutes acteurs du changement ! #BoycottLactalis
","author":"aaaaaaaabbbbbbcccc00000b","lang":"fr","nbSupporters":15,"feedback":"","resume":"Pourquoi boycotter Lactalis ?\n\nLe géant laitier est à nouveau dans le viseur des scandales après une enquête inédite du média d'investigation Disclose : \n- Pollution massive de rivières\n- Tromperie des consommateurs (fromages souillés et desserts coupés à l'eau)\n- Inactions graves dans l'affaire des produits contaminés à la salmonelle (problèmes d'hygiène importants dans les usines de production)\n- Évasion fiscale massive (1,3 milliard d'euros évadés entre 2017 et 2019)\n\nNOS REVENDICATIONS : \n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec le code de l'environnement \n- La mise en place d'opérations de dépollution des rivières\n- Le respect de la loi encadrant le recyclage de fromages souillés\n- L’arrêt immédiat du “mouillage du lait” (couper du lait avec de l'eau)\n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec les normes d'hygiènes en vigueur\n- La reconsidération du dédommagement versé aux victimes (bébés) de la contamination à la salmonelle et à leurs familles\n- La mise en conformité immédiate de Lactalis avec le droit fiscal français et européen\n- La coopération de Lactalis pour tout redressement fiscal\n\nRejoignez cette campagne et interpellez vos proches et élus locaux sur les dérives graves de Lactalis ! \nSoyons toutes et tous acteurs du changement !\n\nPour plus d'informations, nous vous invitons à lire le descriptif complet ! ","isFollowing":false,"hasCommented":false,"activities":{"lastSharers":[{"date":"2023-06-12T12:57:04.205Z","fullName":"lise Rochat","lastName":"Rochat","firstName":"lise","_id":"648715739a2ce9150a562c4c","values":["URL"]},{"date":"2022-06-01T11:56:36.917Z","fullName":"Nicolas RAVAT","lastName":"RAVAT","firstName":"Nicolas","_id":"629752c001ea30d73eac0624","values":["Twitter"]},{"date":"2022-05-28T05:04:40.099Z","fullName":"Yanis Bair","lastName":"Bair","firstName":"Yanis","_id":"6290d78e09f87f5319ead1eb","values":["URL"]},{"date":"2022-01-19T16:16:25.358Z","fullName":"Margaux Deschatrette","lastName":"Deschatrette","firstName":"Margaux","_id":"61e8345d01ea30d73eac0496","values":["URL"]},{"date":"2021-11-28T11:02:29.755Z","fullName":"Karim Armanouss","lastName":"Armanouss","firstName":"Karim","_id":"61a3603009f87f5319eacfcb","values":["Facebook"]},{"date":"2021-08-18T10:37:39.704Z","fullName":"Dunwael Le Jossec","lastName":"Le Jossec","firstName":"Dunwael","_id":"611ce27de8699a0639b9253c","values":["URL"]},{"date":"2021-07-19T19:29:16.334Z","fullName":"Edith Ringard","lastName":"Ringard","firstName":"Edith","_id":"5abf6bbdacf955340423dc37","values":["Facebook"]},{"date":"2021-07-15T15:57:22.867Z","fullName":"I-boycott Association","lastName":"Association","firstName":"I-boycott","_id":"aaaaaaaabbbbbbcccc00000b","values":["URL"]},{"date":"2021-05-29T06:21:42.596Z","fullName":"Pellot Anne","lastName":"Anne","firstName":"Pellot","_id":"6040a1500670dcbd20fc1177","values":["Email"]},{"date":"2021-05-07T12:25:06.435Z","fullName":"Carole Garry","lastName":"Garry","firstName":"Carole","_id":"60953119671e749460a0cb36","values":["URL"]},{"date":"2021-04-29T09:57:00.233Z","fullName":"Armelle Long","lastName":"Long","firstName":"Armelle","_id":"601becabb8ffac3b7a1ecbc1","values":["Facebook"]},{"date":"2021-04-28T17:01:03.595Z","fullName":"PASCALE XOUILLOT","lastName":"XOUILLOT","firstName":"PASCALE","_id":"5dd8f52f8d5c141923f29e0a","values":["URL"]},{"date":"2021-04-26T07:42:31.735Z","fullName":"raphaël beuchot","lastName":"beuchot","firstName":"raphaël","_id":"60866e6d96f7b3806044a625","values":["Twitter","URL"]},{"date":"2021-04-23T14:13:31.071Z","fullName":"Pample Mousse","lastName":"Mousse","firstName":"Pample","_id":"57d59808979a428d12bda00d","values":["Facebook"]},{"date":"2021-04-07T14:22:10.340Z","fullName":"Robin Thiéfine","lastName":"Thiéfine","firstName":"Robin","_id":"5860f05c8b1a52531c773931","values":["Telegram"]},{"date":"2021-04-07T09:23:54.619Z","fullName":"Yves Dhorbait","lastName":"Dhorbait","firstName":"Yves","_id":"597905b8e518d876111247ea","values":["URL"]},{"date":"2021-03-24T21:46:34.069Z","fullName":"Bénédicte Bureau","lastName":"Bureau","firstName":"Bénédicte","_id":"5757306e4c74ab3f0877b009","values":["URL","Facebook"]},{"date":"2021-03-22T12:36:47.616Z","fullName":"Eric Gerard","lastName":"Gerard","firstName":"Eric","_id":"60588d2e7facb00d39e3d31a","values":["Facebook"]},{"date":"2021-03-16T16:58:21.787Z","fullName":"roland genreau","lastName":"genreau","firstName":"roland","_id":"6050e3427facb00d39e3d26d","values":["Facebook"]},{"date":"2021-03-05T09:26:47.676Z","fullName":"François Courcenet","lastName":"Courcenet","firstName":"François","_id":"601c0c356c13ce4f2237ca40","values":["Telegram"]},{"date":"2021-03-01T13:22:36.921Z","fullName":"Guillaume Ancery","lastName":"Ancery","firstName":"Guillaume","_id":"6022db280670dcbd20fc0fef","values":["URL"]},{"date":"2021-02-04T19:34:00.812Z","fullName":"Maria LADOUE","lastName":"LADOUE","firstName":"Maria","_id":"601c49b5b8ffac3b7a1ecbd2","values":["URL"]},{"date":"2021-01-17T22:17:34.762Z","fullName":"helene courriades","lastName":"courriades","firstName":"helene","_id":"6004b3678d3e71490e17d91a","values":["URL"]},{"date":"2021-01-16T16:01:55.259Z","fullName":"Gérard Meguerditchian","lastName":"Meguerditchian","firstName":"Gérard","_id":"60030cb78d3e71490e17d913","values":["URL"]},{"date":"2021-01-10T14:47:05.073Z","fullName":"Océane Lebreton","lastName":"Lebreton","firstName":"Océane","_id":"5ffb130c019892386425a94f","values":["Facebook"]},{"date":"2021-01-06T09:57:40.564Z","fullName":"DELPHINE JUGON","lastName":"JUGON","firstName":"DELPHINE","_id":"5ff588e08fafeb7d1abf284c","values":["Facebook"]},{"date":"2020-12-22T10:25:25.434Z","fullName":"Fabian Clerbois","lastName":"Clerbois","firstName":"Fabian","_id":"5fe1c6068fafeb7d1abf27be","values":["Facebook","Facebook"]},{"date":"2020-12-05T14:33:08.674Z","fullName":"Multon Clément","lastName":"Clément","firstName":"Multon","_id":"5bf396b1c0f4747304a83d4d","values":["Facebook","URL"]}],"lastDonators":[{"date":"2021-06-14T07:29:24.263Z","fullName":"Stéphanie Laurent","lastName":"Laurent","firstName":"Stéphanie","_id":"60829cdc6ad9450a0f8f2092"},{"date":"2021-03-30T12:16:38.479Z","fullName":"Louis Mattei","lastName":"Mattei","firstName":"Louis","_id":"6062fe26d1c9a4c815cd6892"},{"date":"2021-03-24T16:17:34.570Z","fullName":"Cyr Brd","lastName":"Brd","firstName":"Cyr","_id":"5c93c8e6a680f45d46db77d8"}]},"couldBeTopListed":false,"status":"WAITING_RESPONSE","messages":[{"_id":"5fae7e3a59a1dcd75d16d0d4","votes":{"done":false,"no":0,"yes":0},"done":false,"date":{"delay":7,"created":"2020-11-13T12:38:18.531Z"},"sources":[]}],"actualities":[{"title":"Origine du lait : Lactalis gagne le droit à l’opacité","content":"Le 11 mars, Lactalis a obtenu le droit de ne plus donner l’origine géographique du lait, y compris lorsque le lait est utilisé en tant qu’ingrédient dans un autre produit. Le Conseil d’Etat a annulé un décret qui imposait cet étiquetage. Cette annulation repose sur le fait que l’origine du lait n’impacte pas ses propriétés, alors même que l’administration a démontré l’importance de la transparence de traçabilité pour les consommateurs.
\nDepuis 2016 et jusqu’au 31 décembre 2021, une expérimentation demandait aux producteurs et aux industriels de donner l’origine du lait y compris en tant qu’ingrédient. Cette expérimentation est arrivée à la suite du scandale de la viande de cheval vendue comme viande de bœuf. Mais la loi européenne n'autorise cette traçabilité que si son omission peut induire en erreur le consommateur.
\nLa démarche de Lactalis était, selon l’industriel, « motivée par son attachement à ce qu’il ne soit pas porté atteinte à la libre circulation des marchandises […]. ». Pour Nicolas Girod (porte-parole de la Confédération paysanne) « c’est une décision favorable à ceux qui exportent mais pas à ceux qui privilégient la relocalisation et la montée en gamme. »
.
Lactalis a obtenu gain de cause contre la traçabilité du lait, en faisant au passage payer 6 000 euros à l’Etat pour couvrir les frais d’avocats. Cependant, nous pouvons toujours faire pression sur l’ogre du lait, les dérives de cette entreprise sont nombreuses, à nous d’agir pour que cela cesse.
\n","_id":"604f7d3a6019aa266770b805","created":"2021-03-15T15:28:58.032Z"},{"title":"Envoyé Spécial France 2 sur Lactalis (jeudi 22 octobre à 20h50)","content":"Ami.e.s boycottant.e.s et partenaires, l'association I-buycott vous invite tous et toutes à allumer votre TV ce soir à 20h50 sur France 2 pour regarder un reportage exclusif sur l'ogre du lait Lactalis dans le cadre du prochain numéro d'Envoyé Spécial présenté par Elise Lucet !
\nRetrouvons-nous tous et toutes sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Instagram) avec le hashtag #BoycottLactalis !
\n